Une bombe financière à retardement qui vient d’Afrique !

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Les migrants économiques qui demandent l’asile à nos frontières obtiennent un libre accès à notre système social et notre système de soins, ce qui coûte très cher à la société. 78% de tous les bénéficiaires de l’aide sociale sont étrangers et près de la moitié d’entre eux viennent d’un pays africain. En raison de la non-intégration de ces gens sur le marché du travail (ou seulement après plusieurs génération), la politique d’asile de la Confédération coûte très chers aux contribuables.

J’étais parmi les premières personnes à mettre en garde, en 2014 déjà, contre les effets à retardement de cette « bombe financière » pour les communes. En ma qualité de responsable des affaires sociales à la commune d’Aarburg (AG), j’ai remarqué que de plus en plus de demandeurs d’asile en provenance d’Afrique (et plus particulièrement d’Erythrée) viennent en Suisse et restent durablement à l’aide sociale.

La Confédération, pourtant responsable de la politique d’asile et de l’accueil de ces personnes, ne les prend en charge que pendant 5 ou 7 ans ; passé ce délai, c’est la commune de résidence qui passe à la caisse. Pour ma commune, Aarburg, cette politique d’asile, ce sont 78% de bénéficiaires étrangers à l’aide sociale dont près de la moitié originaire d’Afrique !

L’asile s’est petit à petit transformé en une sorte de libre-circulation globale des personnes. Les migrants économiques arrivant en Suisse par ce biais n’ont même pas besoin de présenter un contrat de travail ; il leur suffit de dire « asile » à la frontière pour obtenir un accès illimité à nos assurances sociales et notre système de soin.

Aarburg n’est pas une exception, puisque les chiffres explosent aussi à l’échelle nationale, avec une augmentation de 130% des bénéficiaires africains en l’espace de 10 ans. Un quart des étrangers à l’aide sociale est d’origine africaine, alors que seulement 5% de la population résidante étrangère l’est.

Concrètement, cela signifie que le taux d’aide sociale chez les personnes originaires d’Afrique s’élève, selon le pays d’origine, à 80% ou plus.

 

Les contribuables suisses paient pour les familles nombreuses africaines

Cette charge financière pour les communes croît de façon constante. Chaque année, de nouveaux migrants viennent grossir la liste, ce alors que la Confédération s’en décharge financièrement.

88% des nouvelles demandes d’asile de personnes érythréennes ne proviennent plus de nouveaux migrants mais d’enfants nés en Suisse ou dans le cadre du regroupement familial.
Le taux de natalité des Érythréennes est 4x plus élevé que celui des Suissesses, entrainant non seulement des coûts plus élevés à charge de l’aide sociale mais aussi davantage de problèmes dans les écoles (un fait également constaté dans ma commune).
Tout cela bien entendu aux frais de la commune de résidence.

Le filet de sécurité social, initialement créé pour les Suisses dans le besoin, sert surtout aujourd’hui à repêcher des étrangers entre-temps installés. Conditionnés par une culture différente de la nôtre, nombre de ces étrangers fondent des familles nombreuses, aux frais des contribuables suisses.

Des générations à l’aide sociale

La Confédération a certes réagi, mais de loin pas comme l’UDC l’espérait. Tous les autres partis misent sur l’intégration en lieu et place d’une politique d’asile efficace et sélective. Des millions de francs d’argent public ont été consacré pour les questions supposées d’intégration, avec des objectifs très ambitieux.
Toutefois, les experts estiment que les Erythréens n’arriveront pas à s’intégrer sur le marché du travail suisse, même sur deux à trois générations. En clair, les jeunes Erythréens et leurs descendants coûteront encore très cher à l’aide sociale suisse, jusqu’à la retraite et même au-delà.

Face à ce constat, il est impératif de refondre complètement notre politique d’asile jusqu’ici généreuse et que nous cessions immédiatement d’accueillir des migrants économiques.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/editoriaux/une-bombe-financiere-a-retardement-qui-vient-dafrique/

Martina Bircher
UDC conseillère nationale (AG)

9 commentaires

  1. Posté par Serguei le

    Ce que vous écrivez, c’est ce qui a été prédit dans les années 70-80-90.
    Mais à ce moment-là, les gauchistes étaient déjà comme vous l’imaginez, menteurs, ignorant, avec le support des médias et des politiques, ils ont culpabilisé le peuple, (quelque peu idiots il faut tout de même le faire savoir) et voilà maintenant où l’on se trouve.
    L’inertie provoquée par ce mensonge de civilisation ne pourra s’arrêter que de deux manières, par la mort des tenants de cette idéologie ou des tenants de la résistance.
    Voilà, c’est aussi simple que cela.

  2. Posté par Waldo Tillerman le

    Cette analyse est absolument claire et on la voit aussi très bien dans tous les cantons romands. L’auteur se base sur les Érythréens, mais tous les migrants économiques (et ils le sont tous) présentent le même profil. Ce sont des musulmans non intégrables, et cela commence avec les Kosovars. Mais comme on cache cette réalité, ce petit jeu peut durer encore longtemps. La politique d’asile suisse est une faillite monumentale, et quand le peuple s’en rendra vraiment compte, il sera trop tard. Personnellement, je ne veux ni être métissé, et encore moins remplacé. Et c’est pourtant ce qui se passe. Merci à Martina de nous éclairer sur un sujet tu par tous les media mainstream.

  3. Posté par Anubis de la vallée le

    Les Suisses dépossédés de leurs acquis sociaux et civiques patiemment construits par des générations d’apprentis bâtisseurs et de petits épargnants et tous ont appris plus ou moins les bonnes pratiques civiles. Aujourd’hui entre les citadins plutôt jeunes se considérant eux-même comme des réfugiés sociaux et ce constat est valable même pour les BCBG, et les allumés du bulbe electrico-vert-intégrationnistes, sans intégrer rien du tout, se déconstruit sur le dos des classes moyennes à la retraite ou pas, suçant par tous les pores le peu qui reste.
    Les médias ne nous ont ils pas largement passé des collapsologues, qui loin du complotisme (sic) préparèrent les télévissés à ce futur intégré mais ruiné…..
    Tellement de bons sentiments derrière notre ruine future, mais heureusement Glencore et d’autres assurent le flot continu d’intégrables de tous horizons abrégeant rapidement les affres de la chute, des Suisses en exil dans leurs propres pays…….

  4. Posté par Sergio le

    Vous êtes bien aimable, Mme la conseillère nationale, de faire un constat aussi bienveillant. Vous passez sous silence que ces gens rentrent chez régulièrement eux en vacances, pour respirer un peu, comme ils disent. Sachez que quoi que vous fassiez, ce ne sera jamais assez. Vous aurez à faire à des barbus furieux et à des femmes voilées, toujours plus nombreux. Évoquer un travail ou même un effort d’intégration c’est gravement les offenser. Ils s’attendent à ce que l’État fasse son travail, c’est-à-dire d’être entretenus de A à Z. (« von Anwalt bis Zahnartz », Angela Merkel).

  5. Posté par Lucide le

    Et parlons des assurances maladie, ces migrants, avec en plus des taux de consanguinité très élevés, sont sans arrêt chez les médecins et ont en plus tout le temps pour y aller.
    Mais bien sûr, certains cabinets médicaux qui tournent à 80 ou 90 % avec des étrangers ne vont pas se plaindre, quoique leur personnel paie des impôts….

  6. Posté par Lucide le

    Faire payer des impôts aux citoyens pour entretenir des gens, nombreux, qui ne veulent rien faire, ça s’appelle du racket !
    Et quelque part, c’est aussi une mise en esclavage de ceux qui travaillent dur pour entretenir toute cette racaille consanguine inapte au moindre effort.
    Ces boulets auraient tort de se gêner, les responsables sont donc ceux qui les laissent faire.
    Et quand tous ces profiteurs commenceront à aller en EMS à 6’000 ou 7’000 francs par mois, ça va faire mal !
    Et en plus, on leur paie les vacances en Erythrée, qui ne semble donc pas être un danger pour eux.

  7. Posté par antoine le

     » …les experts estiment que les Erythréens n’arriveront pas à s’intégrer sur le marché du travail suisse, même sur deux à trois générations. »
    Les ONG qui accueillaient à bras ouverts ces migrants, nous ont pourtant assurés que c’était des docteurs, avocats et ingénieurs qui allaient payer notre AVS !
    Quelle bande de MENTEURS – manipulateurs !
    Se tromper à ce niveau-là ce n’est pas possible, c’est prémédité … !

  8. Posté par antoine le

     » … la politique d’asile de la Confédération coûte très chers aux contribuables. »
    Merci Mme Sommaruga (PS) ! Elle dépense l’argent qu’elle n’a pas et lorsque elle en a, c’est l’argent des CON-tribuables …
     »78% de tous les bénéficiaires de l’aide sociale sont étrangers »
    On ne peut PAS accueillir toute la misère du Monde ! En y réfléchissant un peu, la seule solution possible à long terme est l’aide sur place !
    Pas d’argent qu’on distribue aux dictatures centenaires en Afrique !
    Les aides en Suisse ne doivent être accordées que contre des prestations (tous les travaux d’utilité public) sinon pas d’allocs !
    Cela doit être du donnant / donnant.
    Gaspiller de l’argent durement acquis, incite des hordes à venir chez nous et risquer leur vie sur des rafiots pourris.
    STOP !

  9. Posté par Marie le

    C‘est également une rente providentielle pour tous les gôchistes qui vivent des innombrables services à la personnes créés par ce qu‘il faut bien appeler un marché. D‘autres y voient le moyen d‘alléger leur conscience contaminée par les campagnes publicitaires d‘ONG par ailleurs lobbyistes. Charity-Business au frais du contribuable! Les enjeux financiers sont grands, il sera difficile de combattre cette perversion du système social.

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