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A propos de l'ECLJ
L’ECLJ est une organisation internationale non gouvernementale fondée en 1998 et dédiée à la promotion et la protection des droits de l’homme en Europe et dans le monde.
L’ECLJ est titulaire du statut consultatif spécial auprès des Nations Unies / ECOSOC depuis 2007. L’ECLJ agit dans les domaines judiciaires, législatifs et culturels et défend en particulier le droit à la liberté religieuse, la vie et la dignité des personnes devant la Cour européenne des droits de l’homme et à travers les autres mécanismes offerts par les Nations-Unies, le Conseil de l’Europe, le Parlement européen et l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
L'ECLJ fonde son action sur « les valeurs spirituelles et morales qui sont le patrimoine commun des peuples européens et la véritable source de la liberté individuelle, de la liberté politique et de la prééminence du droit, principes qui sont à la base de toute démocratie véritable » (Préambule du Statut du Conseil de l'Europe).
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Contre la démocratie directe, l’hystérie
On voit parfaitement comment la CEDH a créé un nouveau droit:
– celui “de la paix sociale (obligation des Etats-membres de l’UE, d’acheter la paix sociale) :
– par l’inversion, idéologique, des fondements de nos principes et lois démocratiques
(le sociologue Canadien Matthieu Bock-Côté est l’un des rares francophones, dans nos médias, à mettre en lumière ce mécanisme d’inversion idéologique),
droit que la CEDH s’arroge, sortant des bases de son cadre fondateur, au-dessus du principe de souveraineté de tout membre de l’UE (cf. l’arrêt de Carlsruhe cf. souveraineté, débouté par la Cour Eu), telle l’émettrice d’une loi divine suprême (mécanisme parallèle à celui de la charia)
– extension exécutive non prévue à sa création, qu’elle renforce maintenant par l’édiction de menaces de retorstions & amandes salées (cf Hongrie et Pologne),
et ce,
– au bénéfice d’une population d’immigrants installés depuis 30 ans et plus, au taux démographique à croissance dominante, préférant s’agglomer en communautés musulmanes sans contraintes d’intégration,
– face à leur potentiel de violences sociales,
cf gangs criminels arabo-musulmans Turcs, Albanais, Tchétchènes, Africains, ayant pris le contrôle de rues, de quartiers, en Suède, au Danemark, en centres urbains allemands, en agglos et en lieux ruraux français,
– autant qu’en réponse basculant dans le sans-frontiérisme, en guise de solution remplaçant le devoir de contrôle des frontières Schengen, à toute immigration sauvage, d’une UE incapable d’appliquer les règles de droit commun existant.
Cette accointance est dans l’intérêt, disons …. des gens … heu, du Peuple … heu, c’est pour l’intérêt général (et leurs porte-monnaies) !