FLORIAN PHILIPPOT – Décapitation : rien ne sera fait, sauf augmenter la CENSURE !

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2 commentaires

  1. Posté par MÉLENNEC le

    LA JUSTICE EN FRANCE : ARTICLE DE LOUIS MELENNEC, PARU SUR FRANCE INTER . FRANCOIS MITTERRAND, SOCIALISTE, PROFESSEUR DE MORALE : encore lui !

    Malgré l’effroyable censure française, quelques bribes de vérité paraissent. France Inter a publié ce long commentaire de Louis Mélennec sur la Justice française, qui est une lettre qu’il adressa au juge Duchaine sur la crapulerie de l’Etat français, en 2002. Comment Mitterrand a échappé à la justice • L’affaire Luchaire : quand le Chef de l’Etat échappait à la justice Par Jean-Philippe Deniau Après la condamnation de Jacques Chirac dans l’affaire des emplois fictifs à la Mairie de Paris, après la mise en cause de Nicolas Sarkozy dans un des volets de l’affaire Bettencourt, on apprend aujourd’hui que François Mitterrand a échappé de peu à une enquête judiciaire qui aurait pu le mener au tribunal : l’affaire Luchaire. Tout commence le 28 février 1986 à Cherbourg. Ce jour-là, la Presse de la Manche révèle une affaire de trafic d’armes entre la France et l’Iran de l’Hayatollah Khomeiny.

    La société Luchaire aurait affrété 3 cargos bourrés d’obus à destination, non pas du Brésil et de la Thaïlande comme l’indiquaient les bons de livraison, mais vers l’Iran, contournant ainsi l’embargo avec, certainement, la complaisance des pouvoirs publics français et même, peut-être, l’accord du Président Mitterrand. A l’époque, il y a bien eu une enquête judiciaire pendant 2 ans, mais le journaliste Thierry Lévèque raconte aujourd’hui dans le magazine Crimes & Châtiments qu’une note écrite du Garde des Sceaux de l’époque, Pierre Arpaillange, a conduit le juge d’instruction, via le Procureur de Paris, à signer en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, une ordonnance de non-lieu. Car à l’époque, contrairement à ce qu’on pourrait s’imaginer, c’était certainement plus simple pour le pouvoir politique d’étouffer une affaire, constate Thierry Lévèque. •

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    LA JUSTICE EN FRANCE : le bon docteur MELENNEC confirme ses accusations, FONDEES SUR L’EXPERIENCE : Commentaire à propos de l’émission de France Inter, le 23 juin 2015, Extrait de son blog « Actualités et politique ».

    UN ETAT MAFFIEUX, auprès duquel les Siciliens et les Napolitains ne sont pas même des ENFANTS de CHOEUR : LA FRANCE, « inventrice » des DROITS DE L’HOMME .

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    LETTRE ECRITE EN 2002 A M. CHARLES DUCHAINE, juge au tribunal de grande instance de Bastia (Corse), ex-juge d’instruction de la Principauté de Monaco, alliée de la France, à l’occasion de la publication de son livre « Juge à Monaco » (Michel Lafon, 2002).

    M. Charles DUCHAINE, qui a occupé les fonctions de Juge d’instruction de la Principauté de MONACO de 1995 à 1999, a publié chez Michel Lafon, dans le courant de l’année 2002, un ouvrage qui fait sensation, sous le titre « Juge à Monaco ». Tiens donc ! A Monaco aussi ? Trafics en tous genres, blanchiment d’argent, corruption, impossibilité de poursuivre ou d’inquiéter les puissants, etc. Dans le cadre du feuilleton des « médecins au noir », et du colloque qu’il doit présider au Sénat en 2003, le docteur Mélennec réagit et lui écrit, dès la publication de l’ouvrage, la lettre que voici, rendue publique : ____________________________________________________

    Monsieur le Juge DUCHAINE,

    Nous sommes de plus en plus nombreux à souhaiter que la lumière soit faite sur le fonctionnement de nos tribunaux – toute la lumière -, dans ces affaires glauques et malsaines qui mettent en cause les puissants du jour. Des juges ont « cafté » (enfin !), ont répondu aux journalistes, ont publié des livres. Nous savions tout cela depuis longtemps, mais quiconque aurait parlé s’en serait repenti : l’appareil répressif se serait abattu sur lui avec férocité, et l’aurait broyé. Chacun courbait l’échine, tout en ayant honte, tous les matins, de se regarder dans la glace.

    Des travaux ( partiels ) ont été publiés sur les exactions du prétendu Président MITTERAND quant aux interventions personnelles quasi quotidiennes dont il se rendait coupable, pour infléchir le cours de la Justice. Rien n’échappait à la sagacité de ce brave homme – oh combien honnête ! – tout l’intéressait : non point seulement les tribulations, manoeuvres et entreprises douteuses de ses adversaires comme de ses amis politiques, non point seulement les affaires pénales, mais aussi les divorces, les faillites, les adoptions, les permis de chasse, les accidents de la voie publique, du travail, domestiques, les pensions civiles et militaires, les redressements fiscaux et les vérifications à diligenter, etc.

    Les nominations dans les hauts postes de responsabilité étaient à l’avenant : non pas dictées, comme le croyait le menu peuple, selon le mérite et la compétence des impétrants, mais chaque fois que cela était possible, en fonction des services rendus, de la complicité ou de la proximité politique, de l’aptitude, surtout, à rendre service chaque fois qu’on en aurait besoin. Ainsi vit-on – parmi d’innombrables exemples -, désigner en qualité de membre du Conseil supérieur de la magistrature, un « ami dont la loyauté (sic) nous sera totalement acquise », plutôt que tel autre, « d’un dialogue assurément plus difficile (re-sic) ». Des hommes éminents, intègres, d’une rigueur intellectuelle et d’une honnêteté irréprochable, furent sacrifiés par dizaines à l’insatiable appétit des nouveaux maîtres du pays. Les traces écrites de ces interventions en tous genres ont, par bonheur, été conservées, du moins pour un certain nombre d’entre elles. Pour les affaires les plus importantes, elles se sont déroulées, sans témoins, sous les lambris des palais nationaux, loin des témoins indiscrets et compromettants.

    Qu’il y ait eu de la crapule au sommet de l’Etat ne surprend personne : c’est chose ordinaire dans la démocratie française, le pain quotidien dont s’alimentent nos élus. Mais comment comprendre, comment admettre à l’autre bout de la chaîne, que l’appareil judiciaire lui-même ait pu fournir des complices pour accepter de jouer ce jeu répugnant ? Comment imaginer que l’Elysée ait pu adresser un bordereau au directeur de cabinet du ministre de la Justice pour « souligner que la requérante est une relation de M. le Président de la République » et « qu’il y a lieu d’attirer sur cette affaire l’attention de M. le procureur général » ?

    On frémit d’horreur en lisant de telles abominations, qui ont été légion au cours des deux dernières décennies, parmi quelques myriades d’autres, dans tous les rouages de l’Etat et de l’administration. Les procureurs généraux savent-ils qu’en infléchissant la justice en faveur du coupable, on condamne l’innocent à sa place ? Peut-on, si cela se produit, trouver le sommeil la nuit ? Non ! En matière de justice, les socialistes n’ont de leçons à donner personne. M. Amaud de Montebourg, à cet égard, devrait se montrer beaucoup plus discret.

    Je recommande à ceux qui lisent la présente lettre, de sécuriser l’article publié dans le journal le Monde, relatant les travaux de M. Alain Bancaud, relatant les interventions de François Mitterrand dans le fonctionnement de la justice : cette sorte d’articles est publié pour donner le change d’une presse démocratique ; mais le « système » les élimine peu à peu, car ils sont compromettants.

    On a beaucoup parlé de l’affaire des emplois fictifs à la mairie de Paris, et de l’implication de Jacques Chirac dans cette affaire. En voici une autre, infiniment plus grave, mais qui, relatée en son temps – à mon initiative -, dans plusieurs médias, est déjà tombée aux oubliettes, quoique plus que jamais d’actualité.

    Savez vous, monsieur le juge, que l’administration française emploie « au noir » plus de cinq mille médecins, qui ne sont déclarés ni aux caisses de sécurité sociale, ni aux caisses de retraite, ni aux ASSEDIC, pour lesquels l’Etat-employeur se dispense unilatéralement de verser les cotisations obligatoires que la loi met à sa charge, ne leur délivre pas de bulletins de salaire, ne leur verse ni indemnités journalières en cas de maladie, ni indemnités de congés payés, ni indemnités de licenciement, ni pensions ou rentes d’invalidité ou d’incapacité en cas de handicap grave et définitif, refuse de leur servir les pensions de retraite auxquelles ils ont droit, après trente années ou davantage de loyaux services ? Savez vous que l’Etat a été condamné à plus de trente reprises par les juridictions administratives et de l’ordre judiciaire, et qu’il a préféré laisser mourir les intéressés plutôt que de leur verser les dommages et intérêts qui leur étaient dus ? (1). Savez vous encore que, quoique vingt députés et sénateurs soient intervenus dans cette hallucinante affaire, l’administration délinquante continue son commerce en toute impunité, que les fonctionnaires impliqués vont à leurs affaires en toute liberté. ? Pire : que le parquet de Paris, saisi à plusieurs reprises, a éludé les plaintes des intéressés au motif, là où des infractions innombrables sont notoirement commises chaque jour, que « les relations de travail pour le compte de l’Etat ou d’organismes publics ne relèvent pas de l’application du Code du travail » (sic) ? Alors que toute concierge, même analphabète, sait que l’employeur qui ne déclare pas ses employés aux organismes sociaux, ne paie pas ses cotisations et ne délivre pas de bulletin de salaire est un employeur illégal, et qu’il relève de peines d’amende et de prison, par quel miracle le parquet de Paris, seul de son espèce, ignore que la loi pénale a une portée universelle, et que quiconque la viole – à plus forte raison s’il s’agit de personnes remplissant au nom des citoyens des fonctions de haute responsabilité -, relève ipso facto du tribunal correctionnel ? Serait-ce l’opération du Saint Esprit ?

    Après avoir, avec honneur, occupé les fonctions de juge d’instruction à MONACO, vous avez pris la responsabilité de livrer au public ce que vous avez appris sur le terrain : que la Principauté accueille avec complaisance des maffieux de tous poils, qu’il s’y traite des affaires aussi peu ragoûtantes que possible, que la hiérarchie judiciaire, bien loin d’aider ceux de ses juges qui refusent de taire avec complaisance ce qu’on ne veut pas savoir, s’ingénie à saper leur travail par tous les moyens légaux et illégaux dont elle dispose. Vous avez levé le voile sur de bien sales affaires, dont tout le monde savait, mais sans en avoir la preuve, qu’elles existaient.

    A quand un ouvrage, rédigé avec ceux de nos collègues juges d’instruction qui ont déjà révélé des bribes de vérité, qui traiterait de la justice de notre beau pays de France ?

    Marylise Lebranchu, ministre de la Justice, mon honorable compatriote, vous aura-t-elle félicité avant de repartir dans sa campagne bretonne ? J’ai quelques doutes là-dessus : je l’avais saisie, à trois reprises consécutives, in personam, de l’affaire des médecins « au noir ».
    Ma première lettre fut « perdue » ; pour la seconde, on me donna l’assurance que son cabinet travaillait avec ardeur à la recherche d’une solution ; mais le 3 mai, deux jours avant son départ définitif, mes trois lettres avaient à nouveau été perdues, corps et biens. Ah, la brave femme ! (2)

    Nous nous doutons bien, Monsieur le juge, que votre livre ne vous vaudra, ni brillante promotion, ni récompense d’aucune sorte. En tout cas pas tout de suite. Mais je veux vous dire que nous sommes des millions de citoyens – probablement des dizaines de millions – qui attendent avec avidité que des magistrats courageux révèlent au pays ce qu’on leur cache depuis toujours. Mesdames et messieurs Joly, Vichnievski, Gallot, Halphen, Jean-Pierre, Fenech, et d’autres, ont ouvert la voie : nous sommes en chemin vers une Justice plus saine et plus honnête. Viendra-t-il le jour où les fripons qui, dans l’appareil judiciaire, s’associent aux manoeuvres honteuses que vous dénoncez, seront placés en pension durablement là ou est leur place naturelle : derrière les barreaux ? Quelle peine mérité un chef de l’Etat, symbole de la Justice, qui la viole tous les jours ? La réponse est simple : ce n’est pas la simple destitution, c’est la plus grave des sanctions, qui a été abolie il y a quelques années, sans aucune sanction populaire, sans aucune consultation, alors que la grande majorité souhaitait son maintien pour les crimes sordides. Pour des situations aussi abominable, il faut la rétablir;

    Pauvres Bretons, qui croient tout ce qu’on leur dit !

    Croyez, Monsieur le Juge, à l’assurance de mes sentiments très sincères, Louis Mélennec. Ex consultant près le Médiateur de la République.

    Nota : le bon docteur, candidat aux fonctions de Médiateur de la République, en 1998 …. ne fut pas nommé ! Surprenant, tout de même, n’est-ce pas ?

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    (1) : Gazette du Palais, 28 mai 2002. (2) Au moment de la lettre ci-dessus, la Bretonne Marilyse LEBRANCHU étant ministre, son ministère employait des citoyens français au noir. Lire l’article : « Ils travaillent au noir au ministère ». Plus effarant : les services du Procureur, que j’avais saisi de l’affaire, employaient luimême des personnes au noir ! Lire l’article : « Ces délégués du Procureur qui travaillent au noir ».

    C’est un devoir pour moi de dire et de redire que dans mon travail de propreté intellectuelle, ce sont mes propres compatriotes bretons qui, de loin, ont été les pires.

  2. Posté par aldo le

    A voir la 2ème photo on pourrait croire qu’elle a inspiré Brassens et son gloire au gorille. https://pierrecassen.com/ Comme écrit Pierre Cassen, Il y a 5 ans, Hervé Cornara était décapité, et tout le monde s’en foutait ! Et maintenant cette nouvelle décapitation ne va pas tarder à sombrer dans l’oubli, au point que dans les recherches sur google les médias aux ordres ont en masse tous censuré le mot DECAPITATION pour le remplacé par ASSASSINAT. Et c’est aussi intéressant de voir que la tête de l’assassin de Victorine qui s’appelle Ludovic Bertin, mais c’est un CPF, une racaille…

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