Allemagne : Les clans criminels se fichent de la Constitution : “Nous ne suivons que la loi islamique”

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L'honneur, la vengeance du sang et la cocaïne

En Allemagne, les familles étendues ont formé une société parallèle qui vit selon ses propres règles. Les auteurs du Spiegel-TV Thomas Heise et Claas Meyer-Heuer se sont entretenus avec deux membres du clan. Le résultat est un documentaire sur la vie intérieure des familles élargies - et sur l'échec de la politique.

Dans la vidéo : "Votre fille est la nôtre !" - c'est ainsi que les mariages sont arrangés au sein des clans

Ali F. et Sherif B. viennent de deux familles étendues différentes ; ils ont presque perdu de vue la taille de leurs clans. Néanmoins, Sherif explique : "On peut déjà compter sur le fait que 70 à 80 % d'entre eux sont des criminels. Ali F. confirme : "C'est pareil pour moi. 80 % peut-être pas, mais 60 à 70 % facilement."

Les membres masculins du clan, en particulier, deviennent souvent des délinquants. Sherif a purgé neuf ans de prison pour trafic de drogue et agression. Les familles élargies comme les Al-Zeins, les Remmos ou les Miris sont connues de la police. Ali F. et Sherif B. parlent ouvertement dans l'interview des activités criminelles, de l'argent du sang et de la dote, des mariages au sein de leur famille et du trafic de drogue (voir la vidéo pour plus de détails). Une déclaration en particulier reste dans la mémoire.

"Nous ne nous soucions pas de la Constitution, nous ne faisons que suivre la loi islamique."

Lorsque Sherif B philosophe sur le fait que sa femme le trompe, il parle avec rage. "Si mon honneur est attaqué par ma femme qui me trompe, je le vois comme tout le monde le voit", dit-il. "Je la torturais très lentement, je l'étranglerais, je la tuerais, je la poignarderais, je lui tirerais dessus, quoi qu'il arrive. J'irais jusqu'au bout. Elle et le type avec qui elle me trompait, tous les deux. Là non plus, il n'y a pas de pitié, rien. Et je pense que tout le monde dans cette famille serait d'accord avec moi". Il ajoute, visiblement bouleversé : "Plantez un couteau dans la gorge et c'est tout. Si elle triche, elle n'a pas de chance. La Constitution ne nous intéresse pas. Nous ne suivons que la loi islamique".

C'est précisément cette attitude qui rend les clans si dangereux, affirme le professeur de droit et d'études islamiques Mathias Rohe de l'université d'Erlangen. "Le problème des sociétés parallèles au sens strict est qu'elles sont hermétiquement closes. On a son propre code de valeurs, son propre code de normes, qui peut alors également être dirigée contre ce qui est généralement applicable dans ce pays, à savoir le système juridique.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Rtl.de


Rappels :

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

Duisbourg (All.) : De grandes familles arabes menacent la police de mort « Allahu Akbar, tue tous les infidèles. »

Allemagne: Des clans libanais font la loi « Vous êtes des porcs, nous allons vous brûler et vous faire exploser. »

Suède : une star du groupe Abba s’inquiète de la criminalité clanique

Göteborg (Suède) : Des gangs de migrants criminels terrorisent et contrôlent la ville

Berlin : la gauche veut obliger la police à prouver son innocence en cas de soupçon de racisme

Dr Ralph Ghadban, expert en criminalité : « Pour la pègre arabe, la société ouverte de l’Allemagne est une proie facile »

 

 

 

 

 

3 commentaires

  1. Posté par Baechler le

    Voici enfin un petit groupe de touristes qui partagent avec clarté ce brin de problème qui réside dans le fait que les musulmans portent un système de lois totalement différent que celui qui est en vigueur dans les pays occidentaux (c.-à-d. une religion judiciaire) ;
    d’où cette incompatibilité d’adaptation en occident qui s’étend de l’expressivité culturelle, jusqu’aux modes vestimentaires (plages comprises en été et qui peuvent induire par ailleurs des vêtements particuliers et des horaires séparatistes dans des piscines), ainsi qu’aux modes d’abattage en boucheries, et choix alimentaires (jusqu’aux cantines scolaires), aux comportements au travail (par ex. hommes refusant de saluer les femmes par une cordiale poignée de main qui ici – hormis en temps de pandémie – est un geste de communication en guise de salutation, ou de remerciement ou d’accord), voire, une incompatibilité jusqu’à certaines pratiques alimentaires (qui peuvent impliquer des rythmes périodiques de jeûne qui posent un réel problème de sécurité sociétale – notamment lorsque l’hypoglycémie affaiblit la vigilance des conducteurs de véhicules motorisés, et augmentent par ailleurs, les risques d’accidents dans de nombreux milieux de travail), enfin, inutile de mentionner le choix du sexe du médecin…

  2. Posté par antoine le

    Déjà que la justice applique le 2 poids 2 mesures contre ces racailles …
    ”La Constitution ne nous intéresse pas. Nous ne suivons que la loi islamique”.
    La loi est la même pour tout le monde, quelle loi ?
    ”Tout le monde” avec toutes les exceptions liés à la présence de muzz radicalisés !!

  3. Posté par Chris le

    Loi islamique et loi tribale. On peut remarquer que le crime est licite en Islam du moment qu’il est dirigé contre les « mécréants » du dieu lune.

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