Un demandeur d'asile érythréen aurait aidé à kidnapper des femmes au Soudan.
Il a été reconnu par une des femmes à Zurich.
Le tribunal de district de Bülach traitera mardi prochain un cas inhabituel d'extorsion. Un demandeur d'asile érythréen âgé de 25 ans, dont la demande a été rejetée, et qui est accusé par le procureur général de prise d'otages qualifiée, se présentera devant les juges.
Le crime remonte à avril 2015. A cette époque, deux jeunes femmes avaient fui l’Érythrée vers un camp de réfugiés en Ethiopie. De là, elles ont voyagé avec un groupe d'environ 50 réfugiés dans le but d'atteindre l'Europe. Après être passé en République du Soudan, le groupe a été attaqué par une bande armée de nomades arabes de la tribu des "Rashaidas".
Ces bandes de voleurs se sont spécialisées dans le kidnapping de réfugiés. Les hommes ont pris six femmes du groupe, dont les deux femmes mentionnées. Ils ont emmené les victimes en camionnette vers un lieu inconnu, vraisemblablement au Soudan du Sud.
Selon l'acte d'accusation, pendant les semaines suivantes, ils ont gardé les victimes à l'extérieur, sous un soleil de plomb et la plupart du temps attachées.
Les hommes ont battu, maltraité et violé les femmes. Les ravisseurs ont exigé par téléphone une rançon de 15'000 dollars à chacun des parents. L'accusé a servi d'interprète, car il parlait l'arabe en plus de sa langue maternelle, l'érythréen.
Libérées après huit semaines
Les trafiquants ont menacé les proches de tuer les femmes ou de les revendre dans un autre pays où les organes seraient prélevés. Durant des appels téléphoniques, les filles enlevées devaient également parler à leurs parents et étaient frappées par les hommes. Par la suite, les trafiquants ont réduit leurs exigences à 3'000 dollars car les parents et les proches ne parvenaient pas à réunir les 15'000 dollars. Cette somme a pu être payée.
Après avoir reçu l'argent, les victimes ont été libérées dans la région d'un camp de réfugiés au sud du Soudan au bout de six à huit semaines de captivité. Les deux femmes ont fui vers l'Europe.
Reconnu à Zurich
Selon l'acte d'accusation, l'Erythréen de 25 ans est accusé d'être le principal acteur de la bande de preneurs d'otages, son implication dans le crime a dépassé le cadre d'interprète. Il est accusé d'avoir contribué à la planification et à l'exécution de l'enlèvement et d'avoir participé à l'abus sexuel et au viol des deux femmes, ou du moins d'avoir tenté de le faire.
L'homme, qui n'a pas avoué, se trouve en garde à vue depuis août 2019 - l'une des deux victimes l'avait reconnu à Zurich et l'avait dénoncé à la police. L'homme s'était également rendu en Suisse en tant que demandeur d'asile. Cependant, sa demande a été rejetée et il a vécu dans un logement d'urgence dans les environs de Zurich.
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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Rappels :
Suisse : une Hongroise forcée à se prostituer par un Irakien qui profitait de notre aide sociale
France : Un Afghan demandeur d’asile armé d’un couteau menaçait la police.
http://www.tdg.ch/articles/13892640
Un demandeur d’asile érythréen âgé de 25 ans, dont la demande a été rejetée…
Rappelez-moi juste vite ce qu’il fait encore ici???
Et par la meme occasion, la smala reste ici aussi??
Voilà ce qu’on nous force à accepter!!mais quel est le but de ces criminels qui nous mettent sciemment en danger?sans compter ceux qui sont libérés des prisons !
Peuples européens il est temps de nous révolter car nous arrivons au point de non retour!!
Il ne risque absolument rien. Nos lois ne sont faites par des hommes et pour des hommes.
La plupart des migrants ne viennent pas avec des papiers et il est donc très difficile de savoir s’ils ont commis des crimes dans leurs pays d’origine. Il y en a des milliers comme ça qui viennent chercher fortune par le crime en Europe ou qui viennent perpétrer des actes terroristes.