Mise en accusation de la société zougoise Crypto SA : L’UDC se joint aux « vierges effarouchées » de la Gauche !

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Cenator : Tout informaticien chevronné sait à quel point il est facile de « trouer » un soft sensible pour permettre de passer à travers ses sécurités prétendument inviolables.

Ce qui est révélé ici concernant Crypto SA doit faire mourir de rire les informaticiens chinois, particulièrement les concepteurs et les producteurs de toute les puces élémentaires dont tous les Smartphones sont munis.
Ce que font ces puces, tout le monde s’en félicite et en profite, c’est la partie visible de l’iceberg mais il y a encore toute la partie invisible de l’iceberg.

Ici, personne ne sait ce que le gouvernement chinois, le « KGB chinois» a exigé des concepteurs de puces dont sont équipés TOUS nos ordinateurs.

Maudite culpabilité chronique dont sont atteintes les prétendues « élites » suisses et dont les journalistes profitent pour sortir des révélations dévastatrices… révélations dont nous ne reparlerions plus jamais dans quelques jours si ce n’était l’existence de la maladie typiquement helvétique décrite ci-dessus.

Cette fameuse « image de la Suisse dans le monde », dont ne cesse de nous bassiner les journalistes – qui font tout pour la salir – est excellente et le restera.

Concernant l’affaire d’espionnage à Zoug, la personne qui va mener l’enquête est celle qui avait mené l’enquête sur « l’affaire des fiches » !
Les Verts réclament aussi une commission parlementaire.

Les journalistes jubilent, ils ont enfin un autre scandale à se mettre sous la dent ! L’année passée, la RTS a fêté les 40 ans de l’affaire des fiches et elle a jubilé de cette prétendue victoire de la gauche.

Après la chute du mur en 1989, lorsque l’affaire est devenue public, les médias se moqués et/ou se sont montrés scandalisés de l'existence de l’organisation secrète P26 (pour projet et 26 cantons), organisation devant organiser une résistance en Suisse en cas d’occupation de la Suisse par les armées soviétiques.

Avant, il y avait eu l’affaire des fonds en déshérence après la fin de la deuxième guerre mondiale, fonds dont le montant total s’est révélé minuscule par rapport au délire de ceux qui pensaient qu’il y avait de très nombreux comptes avec des montants très importants pour beaucoup. « En 1999, le rapport Volcker sera publié et révélera que les fonds en déshérence s'élevaient à 200−400 millions de francs (soit entre 134-268 millions de dollars - cours du 12 août 1998) distribués sur 53 886 comptes et répartis sur 59 banques appartenant à divers établissements bancaires suisses ».

Les revendications de transparence des gauchistes sont totalement ubuesques au regard de l’essence même des services secrets, des secrets liés à la défense d’une nation.

L’épisode de la fin du secret bancaire doit encore être signalé dans la suite de ces minis Bérézina pour la Suisse.

Parallèlement, l’immigration de masse de populations musulmanes détruit la cohésion nationale. Ces événements sont la pierre angulaire d’une société multiculturelle... société par essence multi-conflictuelles.

Ainsi, la Suisse perd chaque jour un peu plus son identité, son indépendance du fait de son intégration au cadre réglementaire de l’UE, sa volonté de survivre.

Les idéologies de gauche, le tiers-mondisme, la haine de soi, la haine de tout ce qui devrait faire la fierté du peuple suisse, comme le succès de ses banques, de ses multinationales, étant par ailleurs diabolisés.

En fait, le terrain a été préparé par le marxisme culturel qui a gangréné peu à peu toute la population par l’intermédiaire de l’école, des médias, des universités, des journalistes (devenus de fait le premier pouvoir), des politiciens lâches qui se mettent ensemble pour s’auto-flageller… la fierté nationale ayant été remplacée par la culpabilité nationale.

Pas sûr que l’adoption du « mariage pour tous » permettra de redresser la barre.

*****

Communiqué de presse L’affaire d’espionnage doit être tirée au clair

L’UDC s’inquiète des dommages à la réputation que cette affaire d’espionnage a causé à la Suisse en tant que pays neutre et médiateur reconnu au niveau international. Elle exige que les reproches adressés à la société zougoise Crypto SA soient totalement tirés au clair. Le public doit être complètement informé sur les résultats de l’enquête.

Selon des comptes rendus parus dans la presse, le service secret américain CIA, de même que le service de contre-espionnage allemand BND auraient durant des décennies espionné d’autres Etats via la société zougoise Crypto SA. L’UDC en prend acte et exige que cette affaire soit totalement tirée au clair. Le groupe parlementaire UDC des Chambres fédérales examine actuellement si l’enquête ouverte par le Conseil fédéral est suffisante ou s’il est nécessaire de constituer une commission d’enquête parlementaire ou une autre commission spéciale.

L’UDC s’inquiète des dommages que cette affaire d’espionnage peut causer à la réputation de la Suisse. Elle est heureuse de constater que le ministre de l’économie Guy Parmelin a su réagir rapidement. Informé l’an passé par le DDPS sur cette affaire d’espionnage, il a immédiatement ordonné une interdiction générale d’exporter contre l’entreprise internationale qui a repris les activités de Crypto SA.

source:

 

2 commentaires

  1. Posté par Cenator le

    Nous venons de voir l’émission Temps Présent à ce sujet.
    Une enquête minutieusement menée, de qualité, subtilement biaisée, qui entre dans les détails de l’affaire.
    Certainement la RTS ne manquera pas de la poster sur YouTube.
    Bien entendu, la question principale concernant la divulgation de ce secret d’État n’a pas été abordée sous l’angle de pourquoi maintenant (cf. commentaire d’aldo) ni de qui a commandité la diffusion de ce scandale d’État et dans quel but.
    L’affaire des fiches a permis à la gauche suisse d’échapper au bilan du communisme après la chute du mur. Les coupables n’étaient plus l’idéologie marxiste mais ceux qui avaient fiché les marxistes.

  2. Posté par aldo le

    Quelques petites observations qui devraient éclairer l’opacité de cette brusque affaire ne sortant pas par hasard, mais juste parce que la Sommaruga qui jouait à la toute puissante dans les sphères du gouvernement mondial aux mains de Soros, n’a pas pu s’exécuter dans les 9 jours et signer l’accord cadres qui était exigé par la bolchévo-nazie von der Leyen, sous la pression de divulguer l’affaire Crypto, sans penser un instant que l’assentiment des autres guignols était aussi une nécessité dans ce qu’il est convenu d’exiger dans une démocratie, même bananière. Et ce même si la Sommaruga avait son dossier de traîtresse taillé sur mesure par les services secrets allemands qui navigaient aussi à Zoug, lieu de naissance de cette privilégiée. Dossiers prêts à être déballés devant l’opinion publique après le premier coup de semonce que constitue la publication de l’affaire Crypto. Comme quoi on sait qu’avec cette affaire ce sont les journalistes qui font les politiques et non le contraire tout en recevant leurs ordres des services secrets étrangers, ce qui paraît normal vu tout ce que l’on sait déjà et ce que révèlent quotidiennement les comportement de nos traîtres associés. Si ces journalistes n’étaient pas tous à la botte de l’Europe UErss, ils se seraient abstenus comme ils savent si bien le faire en matière de censures. A compléter par :

    https://lesobservateurs.ch/2020/02/07/ultimatum-bruxelles-donne-neuf-jours-a-la-suisse-pour-signer-laccord-institutionnel/

    https://lesobservateurs.ch/2020/02/11/simonetta-sommaruga-la-trahison-de-la-democratie-suisse/

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