La Hongrie est accusée par les ONG et l’UE de «discrimination» et de «mauvais traitements»

Accusée par les ONG et l’UE de «discrimination» et de «mauvais traitements», la Hongrie condamnée à verser des indemnités faramineuses à la minorité rom, aux criminels… et à leurs avocats

Cenator : Le lobby subversif américain de gauche, dont la pointe de l’iceberg est l’Open Society Foundations de Soros, mène une nouvelle offensive en Europe. L’un des éléments les plus marquants en est le mouvement des Sardines en Italie, qui puise ses méthodes dans les manuels de révolutions de gauche.

Un des phénomènes qui illustrent notre époque malade, ce sont les revendications d’indemnisations d’une minorité prétendument victime de l’homme blanc ordinaire, dans un passé proche ou lointain.

Une nouvelle attaque massive de ce genre vient d’atteindre la Hongrie, pays-cible favori de Soros, qui tente une fois de plus d’influencer la politique intérieure hongroise : c’est l’affaire de l’indemnisation des Roms d’une petite ville hongroise, Gyöngyöspata.
Le citoyen lambda, après avoir été victime de la criminalité, puis avoir casqué pour les frais causés par les criminels, est maintenant censé financer, par ses impôts, des indemnités à verser à ces mêmes criminels présentés comme « victimes.»

Avant la reprise du pouvoir par le Fidesz, la communauté rom de Gyöngyöspata posait beaucoup de problèmes aux habitants non-roms, que les Roms appellent « les paysans ».

Cette petite ville, perdue dans un cadre bucolique entre les montagnes du Matra et un lac, est actuellement au centre des débats en Hongrie à cause de cette affaire des indemnités. Les journalistes de gauche hongrois et européens y affluent depuis des semaines pour faire leur scoop sur les atrocités que les Hongrois d’Orban feraient subir aux Tsiganes.

Les ONG de Soros, après des années de procédures et de recours auprès des instances de justice européennes, ont enfin abouti : le gouvernement doit passer à la caisse et débourser des sommes faramineuses pour indemniser les victimes – des victimes créées de toutes pièces par les lobbies anti-gouvernementaux pour prouver que le gouvernement hongrois est raciste et criminel, pour semer la haine entre les communautés, et accessoirement piller les caisses de l’Etat.
Le but final, c’est acculer le gouvernement d’Orban, de pouvoir le faire condamner par la Cour de justice de l’UE, montrer qu’il n’y a pas d’Etat de droit en Hongrie, et la priver des fonds européenne.

Avec le verdict de la Cour européenne, il suffit désormais d’avoir été un Rom scolarisé, ou encore d’avoir été emprisonné pour n’importe quelle raison dans une cellule non-réglementaire : l’indemnité va devenir un dû, et l’argent devra couler à flots. Un assassin qui a fait huit ans de prison deviendra multi-millionnaire (en forints, mais cela fait tout de même des dizaines de milliers de francs), et bien sûr, il ne devra pas verser un centime à la famille de sa victime. Un véritable encouragement au crime !

Durant leurs "investigations", en effet, les ONG ont découvert que des gens avaient été avaient été incarcérés (parfois pour meurtre) dans des cellules ne correspondant pas aux normes européennes (lumière du jour avec une fenêtre placée trop haut, trop petite).

Un autre conflit entre roms et non-roms avait été instrumentalisé par des ONG à des buts subversifs, est la séparation des enfants roms à l’école primaire de Gyöngyöspata, qui était jugé comme « ségrégation » raciale. (placés dans des classes séparées). Maintenant, même des enfants qui ont manqué 500 heures en une année d’école auront droit aux indemnités, selon la décision de la Cour.

Ensuite, les ONG ont pris d’assaut la petite ville de Gyöngyöspata, plus exactement les membres de la communauté rom, et fait du porte-à-porte pour recueillir leurs doléances concernant les injustices, les discriminations, le racisme anti-rom dont ils auraient été victimes de la part des Hongrois. Les compensations promises par les ONG pour participer à leur « programme de dédommagement » étaient juste faramineuses. Il suffisait d’avoir un peu d’imagination pour constituer son dossier.

Une municipale de la ville avait été calomniée par des bobards roms. Elle a organisé une réunion entre la presse et les parents roms qui l’avaient calomniée. Les Roms ont fini par avouer devant les caméras comment les ONG ont présentés l’affaire.

Au sujet des classes séparées à l’école, il faut savoir que les enfants tsiganes (pas tous) semaient la terreur parmi les enfants des « paysans », les viols et autres violences physiques graves étaient quotidiens. Le vandalisme perpétré par les enfants tsiganes a obligé l’école à instaurer pour eux des WC à part et des classes spéciales de rattrapage et de socialisation. La majorité des parents qui pouvaient se le permettre – y compris des Roms – ont déplacé la scolarité de leurs enfants à des kilomètres de là, espérant un meilleur avenir pour eux. Cela a causé pour ces familles des dépenses et des efforts colossaux.

Il est exact qu’à l’école il y avait un étage pour les enfants roms et un autre pour les autres enfants. Cependant, cela s’est fait avant l’arrivée d’Orban au pouvoir. Maintenant, la gauche et les ONG veulent lui faire porter le chapeau !

Il faut remarquer aussi que la majorité des enfants tsiganes n’avaient jamais vu leurs parents travailler et que la précarité dans ces familles était extrême, étant donné qu’il y a souvent 9-10 enfants par famille. La situation s’est  améliorée depuis le retour du Fidesz au pouvoir. Il y a des témoignages de certains Roms de cette génération qui ont fait des études universitaires malgré les difficultés de la scolarité de base.

Voici encore quelques épisodes « banals » pour illustrer l’ambiance de terreur qui régnait dans la ville qui a déclenché l’enquête des ONG pour ségrégation raciale suite des mesures « anti-rom » des autorités et d’emprisonnements. (Ici, nous ne parlons pas des saccages et pillages des commerces, ni des assassinats.)

– Le pont de la ville de Gyöngyöspata était tenu à ses deux extrémités par de jeunes Roms qui bastonnaient tous ceux qui refusaient de payer une rançon de passage. Des personnes âgées ont été battues jusqu’au sang. D'autres groupes similaires, quasi paramilitaires ont régné sur la ville.

– Une maman témoigne que sa fille de 8 ans a été prise pour cible à l’école, promise à un viol collectif.

– Un petit garçon a été battu par des enfants roms, avec coups de pieds au visage, à la tête, puis poussé dans un escalier par un coup de pied ; il en garde des séquelles irréversibles à vie.

– Des parents roms ont battu les enseignants qui osaient faire échouer leurs enfants. Une enseignante a témoigné avoir été frappée par une grand-mère.

A noter que les Roms de Gyöngyöspata parvenaient à faire régner ce climat de terreur alors même qu’ils ne représentaient que 20% de la population.

Au sujet des indemnités, Orban a réfléchi aussi à ce qu’il fallait faire pour que l’argent ne parte pas en Mercédès et autres dépenses insensées. Aussi a-t-il décidé, avec son gouvernement, de ne pas verser l’argent directement, mais de l’investir dans la formation des jeunes Roms, en cours de langue, en rattrapages scolaires, en aides à l’obtention de diplômes.

Sources en hongrois :
A Soros-szervezetek és a gyöngyöspatai romák kártérítési ügye
A Soros-hálózat pénzeli a gyöngyöspatai romákat védő szervezetet
A kormány természetben szeretné kompenzálni a gyöngyöspatai gyerekeket
A jogvédők maradtak
Bayer Show. 26.01.220:
Fizikai bántalmazásra is volt példa Gyöngyöspatán
Gyöngyöspata: Azok is kaptak kártérítést, akik több száz órát hiányoztak
Orbán Viktor – miniszterelnöki interjú (Jó reggelt, Magyarország! – január 17.)
A Soros-videó bizonyítja, hogy Gyöngyöspata a Soros-hálózat politikai és pénzszerző akciója

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Extrait de l’interview de Viktor Orban du 31.01.2020

Orban refuse de verser des indemnités en argent. Les médias de gauche hurlent : voici la preuve qu’il n’y a pas d’État de droit, Orban refuse d’appliquer les décisions des juges.

Orban demande : Qui a intérêt à ce que cette ville vive de nouveau dans les tensions ethniques ? Les neuf dernières années, avec les lois en vigueur, les Roms se sont mis au travail et la situation s’est apaisée entre les non-Roms et les Roms.

Orban rappelle qu’à l’époque concernée par les plaintes, les 80% de la ville vivaient sous la loi des 20% de roms. Les enfants tsiganes étaient déscolarisés. A présent, ils devraient toucher de l’argent pour cela, alors qu’ils ont des lacunes scolaires énormes, sont sans métier et que les autres enfants ont dû être scolarisés ailleurs, tant la situation était intenable. Ceux qui osaient dire quelque chose, parents ou enseignants, ont subi des exactions toutes sortes et bien entendu, comme maintenant, ils étaient traités de racistes…
Orban dit qu’il veut défendre les 80% d’honnêtes gens, les minorités n’ont pas à faire la loi. Il veut casser le business de Soros et des ONG antiracistes. Il refuse de verser des  indemnités aux familles Rom qui n’ont pas élevé leurs enfants correctement.

Par contre, il y aura, pour les minorités qui réclament les indemnités, des cours de rattrapage scolaire et de l’aide pour acquérir une formation professionnelle. Orban est prêt à mettre le paquet pour cela.

Source (audio en hongrois) : https://hirado.hu/belfold/belpolitika/cikk/2020/01/31/elo-orban-viktor-interjut-ad-a-kossuth-radioban (depuis 18:00)

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Ingérence dans les affaires hongroises: les médias de Soros publient une vidéo sur l’affaire des indemnisations de Gyöngyöspata

Bálint Bordács 27.01.2017

[…]

« Aucune société ne peut se considérer comme ouverte tant que ses membres roms sont marginalisés. »

Tel est le slogan que diffuse une vidéo postée le 24 janvier sur le site de la Fondation. Ce clip de plus de quatre minutes sur l’intégration des Roms donne la parole à la crème du monde international de Soros […].

Nouvelle tentative d’intervention dans la politique hongroise

« Le moment est venu pour les Roms d’utiliser leur liberté politique et civique afin de se battre pour leurs droits et leur acceptation dans les sociétés européennes, et pour être pris au sérieux en tant que corps électoral. »

C’est en ces termes qu’Alexander Soros, fils du milliardaire américain, encourage les Roms à se battre. George Soros lui-même ajoute que les Roms sont le groupe le plus défavorisé d’Europe :

« Les Roms sont naturellement ceux qui souffrent le plus de discrimination, ils sont la minorité la plus opprimée d’Europe, et je me suis donné pour mission de les aider. »

Le moment choisi pour cette publication ne doit certainement rien au hasard, car le procès sur les indemnisations de Gyöngyöspata domine actuellement le discours public en Hongrie. Aussi cette initiative de Soros est-elle difficile à interpréter autrement que comme une nouvelle tentative du milliardaire pro-immigration d’influencer la politique intérieure hongroise.

Comme on le sait, la décision de décembre dernier de la Cour suprême hongroise, qui a ordonné à la municipalité de Gyöngyöspata et à la circonscription scolaire correspondante de verser des indemnités, a provoqué une grande indignation dans la société hongroise. Selon le jugement, la petite ville [de 2500 habitants environ] devra payer 100 millions de forints [plus de 300'000 francs suisses] aux familles roms dont les enfants ont été l’objet de « ségrégation » à l’école primaire locale. La municipalité serait mise en difficulté et probablement en faillite. Le gouvernement  tente de résoudre la situation tendue avec une solution de contournement, qui consisterait à remplacer l’indemnisation en argent par des avantages en nature, dont l’éducation. Fait intéressant, les opposants [...] n’ont pas soutenu cette proposition – ce qui donne à penser que l’argument de l’intégration des Roms était seulement exploité à des fins politiques.

Il y a un autre aspect intéressant à cette histoire: qui donc a soufflé sur le feu?
Le Fidesz en a accusé George Soros et les organisations qui lui sont affiliées, et non sans raison. Il s’est avéré en effet que c’est le Fonds pour les enfants handicapés (CFCF) qui a engagé cette procédure judiciaire, un Fonds dont les principaux sponsors sont la Fondation Soros hongroise et l’Open Society Institute de Budapest.

Article complet : Befolyásszerzés: Sorosék videóval kommentálják Gyöngyöspatát - Origo.hu

Voir aussi ce communiqué vidéo (en hongrois) : « La vidéo de Soros démontre que l’affaire de Gyöngyöspata est une action du réseau Soros à visées politiques et financières » (28.01.2020):
A Soros-videó bizonyítja, hogy Gyöngyöspata a Soros-hálózat politikai és pénzszerző akciója

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Voir également;  les nouveaux projet du « bienfaiteur » Soros :
George Soros annonce investir 1 milliard de dollars contre les «dictateurs» (Trump et Poutine) (30.01.2020)

Un responsable hongrois met en garde contre les plans de Soros de créer un nouveau réseau universitaire mondial (31.01.2020)

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Interview d’une famille qui exige des indemnités

Résumé de la vidéo: La mère demande de l’argent non seulement pour retaper la maison, pour une voiture, etc., mais aussi pour un permis de conduire pour son fils, bien qu’il ne sache pas écrire.

Le journaliste demande : Comment se fait-il qu’il ait terminé sa scolarité obligatoire, s’il ne sait pas écrire ?

Réponse de la mère : C’est la faute de l’institutrice, qui l’a mis dans une classe où il n’y avait que des enfants tsiganes et qu’elle appelait classe spéciale.

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Les difficultés de l’intégration: Ecole des métiers de la ville de Nagykata.

Un enseignant complètement dépassé par sa classe d’élèves tsiganes. Il tente d’expulser l’un d’eux mais en vain, il se fait seulement menacer et insulter :

Vidéo à voir, exemple du janvier 2020: https://pestisracok.hu/czervan-gyorgy-elfogadhatatlan-es-felhaborito-ami-a-nagykatai-iskolaban-tortent/

2 commentaires

  1. Posté par miranda le

    Mr SOROS, règle à sa façon l’hostilité qu’il éprouve à l’égard de celui qui ose RESISTER à l’immigrationnisme BRUXELLOIS.

    Toutefois, Il y a vraiment un problème ROMS dans certains pays de l’EST. Et quand ils arrivent dans nos contrées, nous constatons leur incapacité à se fondre dans la vie ordinaire. Et parfois d’être violents. Nous y avons goûté à la sortie de la porte de la chapelle à Paris (très courte et dangereuse) , où nous avons été bloqués par des roms faux laveurs de vitres rançonneurs et violents. Notre voiture a gardé les traces de leurs actes.

    Si nous prenons le cas des ELEVEURS NOMADES MONGOLS, par manque d’espace et de terre, leurs enfants ne pourront pas tous reprendre l’activité de leurs parents. Aussi les parents mongols acceptent que leurs enfants aillent en INTERNAT SCOLAIRE dès le commencement de la scolarité. Et ils sont content de voir leurs enfants évoluer. Seul, l’aîné prendra la suite du père éleveur.

    Mais essayez de faire cela avec des ROMS, c’est un combat de “haut niveau”. Ce peuple (peuple mendiant venu d’INDE) est tellement insécurisé-attaché à son mode de vie que s’accrocher à la tribu est quasi pathologique. Et le mépris des autres est une habitude. Aussi escroquer ou rançonner l’autre, celui qui est différent d’eux, est une activité “normale” pour eux.

    Si Mr ORBAN osait créer des internats de la république pour les enfants ROMS, la mise à distance de leurs parents engendrerait tout de suite des discours VICTIMAIRES. Et pourtant il n’y a que cela qui pourrait transformer le rapport entre les ROMS et la société. Eduquer les enfants à s’intégrer dans la société dès le plus jeune âge. Et ne les rendre aux parents que les week-end ou aux vacances scolaires.
    Mais cela paraîtrait AUTORITAIRE, DICTATORIAL aux yeux des bourgeois bohèmes de la communauté européenne.

    Mr SOROS Surfe sur l’incapacité des ROMS à s’adapter à la société Hongroise. IL FAIT FEU DE TOUT BOIS pour semer comme à son habitude “la discorde”. Plus ces mondialistes installent de la discorde, plus cela leur procure de la jouissance.

  2. Posté par toni le

    J’accuse les ONG et l’UE de crimes et de mauvais traitements en vers les européens et même de génocide, la preuve sont les nombreuses victimes des attentas perpétrés tous les jours par leurs protégés.

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