Il s'agit du frère et de la soeur kosovars qui sont revenus en Suisse et dont nous parlions ici.
Le frère a continué à proférer des menaces à l'encontre de notre pays alors que nous leur avions offert l'hospitalité, le refuge et même des formations.
La soeur s'oppose à présent à sa "condamnation" qui est pourtant très légère. De plus, l'avocat s'appuie sur le manque de preuves pour exiger l'annulation de la condamnation car la Suisse ne sait tout simplement pas ce que ces individus ont fait lorsqu'ils faisaient partie de l'Etat islamique.
C'est ce que nous redoutions avec le retour des jihadistes. Cet élément n'est évidemment jamais évoqué par la gauche ou par la RTS.
A leur retour en Suisse, Vedad et Esra ont été condamnés pour avoir rejoint l'Etat islamique. E. s'oppose à sa condamnation. Elle ne veut pas non plus suivre de thérapie.
Alors qu'ils étaient encore adolescents, le frère et la sœur se sont rendus en Syrie en 2014 pour rejoindre la milice terroriste de l'Etat islamique.
Ce qu'ils y ont fait exactement reste aujourd'hui encore diffus. Selon la cour, le frère sous le nom d'Idris al-Albani fréquentait une école coranique et soutenait l'Etat islamique dans ses tâches logistiques en distribuant du matériel de secours et en coordonnant les transports.
La sœur, par contre, se serait occupée des enfants sous le nom de Djumara et leur aurait enseigné l'anglais. Le juge de Winterthour a déclaré : "Ils ont partagé et approuvé les idées de la milice terroriste de l'Etat islamique. Ils étaient également au courant des atrocités. C'est ce qui ressort clairement des discussions avec leur famille et leurs amis."
En février 2019, le tribunal pour mineurs de Winterthur les a condamnés à une peine d'emprisonnement avec sursis. E. a été condamnée à dix mois, son frère V. à onze mois.
La jeune femme s'oppose totalement à ce verdict, comme le rapporte la "Neue Zürcher Zeitung". La décision porte principalement sur l'obligation de poursuivre la thérapie. E. souhaite en être libérée dans le cadre de la procédure d'appel en cours.
"La thérapie obligatoire est absurde"
"Il est absurde de contraindre une personne à des entretiens psychothérapeutiques si elle n’est pas prête", affirme son défenseur Christoph Bertisch. Cela n’améliorerait certainement pas la sécurité en Suisse. Le Tribunal fédéral a rejeté l’affaire devant la Cour supérieure de Zurich. Si un recours est formé contre un jugement, il peut également être demandé de suspendre la mesure de protection conservatoire en cours, selon l'argumentation du recours.
L’avocat avait déjà vivement critiqué le verdict au printemps dernier, estimant qu’il était contestable sur le plan de l’État de droit et que le jugement était motivé politiquement. Car les autorités judiciaires ne savaient tout simplement pas ce que le frère et la sœur avaient fait en Syrie. "Pour le tribunal, le simple fait d’entrer est manifestement suffisant pour une condamnation, car on ne peut rien reprocher d’autre à ma cliente."
Le frère V. L. (21 ans) a également fait la Une des journaux en octobre. Il a été arrêté lors d'un raid anti-terroriste qui s'est déroulé dans trois cantons : Zurich, Berne et Schaffhouse. Le frère fait l'objet d'une nouvelle procédure pénale auprès du ministère public de la Confédération.
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Avant c’etait de la haute trahison. C intelligence avec l’ennemi. Avec ça ils devraient avoir la perpétuité.
je ne comprends pas pourquoi on ne les déchoit pas de leur nationalité. je ne comprends pas non plus que Carlo Sommaruga soit pour le retour des djihadistes afin qu’ils soient jugés ici (selon lui), alors que en tant qu’avocat, il sait très bien qu’on ne peut pas trouver de preuves pour les condamner en Suisse. Tout ceci est proprement ahurissant.
La Cruella a tout fait pour les faire venir allant même a se faire photographier tout sourire avec le président du kosovo mêlé au traffic d’organes des prisonniers Serbes. Nauséabond…
Ils ont choisi de partir en Syrie pour rejoindre l’Etat Islamique et maintenant ils sont de retour. Désolée mais ce n’est déjà pas acceptable. En plus, voilà qu’un avocat, certainement gauchiste, la soutient dans son délire de ne pas accepter la condamnation . De toute façon, ils devraient être en tôle tous les deux. On ne sait vraiment pas ce qui nous attend avec le retour accepté de tous ces anti-suisses. L’avenir nous le dira, mais çà fait peur.
Hommes, femmes et enfants (mineurs, adolescents, etc …) sont des bombes ambulantes.
Expulsion immédiate et effective de cette racaille !
Il faut protéger NOTRE population !
prison a vie ,,,,1 sortie pare jour d’1 heure ,,,pas de tele ,pas de journaux,pas de visite !!!!!!
Pourquoi ne pas simplement enlever la nationalité suisse à ces déchets et les expulser dans un pays où ils seront à l’aise, le Kosovo ?
Une geôle à vie en Albanie serait plus que suffisant. Le contribuable suisse n’a absolument pas à entretenir cette lie de l’humanité qui n’a absolument rien à faire chez nous et n’aurais jamais du y mettre ses sales pieds.
Outre des criminels, ce sont de LACHES MANIPULATEURS: terroristes volontaires
anti-Occident en parfaite connaissance de cause et qu’ils nient ici à postériori: ils prouvent leur mépris également de la Suisse qu’ils utilisent comme “base arrière” de leur stratégie de repli momentané, espérant ainsi être déclarés innocents.
Ce refus d’accepter le verdict = refus d’accepter leur culpabilité = refus de remise en question prouve que leur motivation terroriste (DONC LEUR DANGEROSITE) anti-Suisse et plus généralement anti-Occidentale est INTACTE!
Leur cas doit faire jurisprudence pour REFUSER TOUT FUTURS RAPATRIEMENT DE TERRORISTES en modifiant la loi si il le faut; leur impunité serait inadmissible.
Ils doivent être expulsés de Suisse avec leur famille pour apologie du terrorisme.
A croire qu’ils y faisaient du tourisme !
La seule question qui mériterait une réponse officielle : pourquoi laisser de tels déchets rentrer en Suisse.