Nos lecteurs nous prient de rappeler : « Le secrétaire d’Etat d’Obama John Kerry risque la prison »

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L’ex secrétaire d’Etat d’Obama John Kerry risque la prison pour haute trahison

PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 8 MAI 2018

John McCain (sénateur républicain de l’Arizona, âgé de 81 ans), tout en se remettant d’une opération pour une infection intestinale, a déclaré ne pas vouloir que le président Donald Trump assiste à ses obsèques.

McCain, qui est un vétéran de la guerre du Vietnam, se bat contre un cancer du cerveau depuis plus d’un an. Pendant ce temps, un autre ennemi de Trump, John Kerry, s’est lancé dans une séries de rencontres diplomatiques secrètes dans le but de saborder la politique anti-iranienne de Trump.

En effet, le Boston Globe a révélé que l’ancien secrétaire d’État américain sous Obama, est en train de réactiver d’anciens contacts et de les mettre en ordre de bataille pour contrer le rejet par le président Donald Trump de l’accord nucléaire de 2015 avec l’Iran, que lui a passé des années à négocier sous l’Administration Obama.

Il semble que la diplomatie de l’ombre menée par Kerry aurait contribué à renforcer la ligne dure de Téhéran et sa conviction qu’à cause de sa position politique affaiblie (par l’affaire bidon de collusion avec la Russie et l’affaire Stormy Daniels), Trump ne se risquerait pas à sortir les États-Unis de l’accord nucléaire.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article de Charles Hurt paru le 6 mai, dans le Washington Times.

Jetez John Kerry en prison

La dernière fois que le sénateur John McCain était en train de mourir, il croupissait dans une cellule de prison nord-vietnamienne après avoir été brutalement torturé.

Plus tard, l’un des compagnons de guerre de M. McCain s’est rappelé que de braves Américains ont clairement entendu la voix d’un autre Américain, témoignant devant le Congrès que c’était les soldats américains comme John McCain – pas les Nord-Vietnamiens – qui avaient commis des tortures et des meurtres au Vietnam.

Des militaires américains « ont personnellement violé, coupé des oreilles, coupé des têtes, attaché des fils de téléphones portables aux organes génitaux humains et ouvert l’alimentation électrique, coupé des membres, et ont tiré au hasard sur des civils, rasé des villages comme l’aurait fait Gengis Khan. Ils ont abattu des bovins et des chiens pour s’amuser, empoisonné des stocks de nourriture, et ont généralement ravagé la campagne du Sud-Vietnam », a affirmé l’Américain, apparemment un officier de la marine américaine.

Un tel témoignage non vérifié entre les mains des Nord-Vietnamiens leur concédait une énorme victoire propagandiste.

C’était aussi un coup dévastateur pour les prisonniers de guerre américains, tels que John McCain, qui s’accrochaient à la vie dans des conditions abominables.

Paul Galanti, vétéran décoré de la Guerre du Vietnam, s’est rapellé plus tard que c’était la prononciation douce et efféminée de « Genghis Khan » qui lui avait révélé que le porte-parole n’était autre que John Kerry, qui deviendrait plus tard sénateur, puis candidat démocrate à la présidence, et finalement l’un des pires secrétaires d’État de l’histoire des États-Unis.

« Je ne me souviens pas d’avoir entendu son nom, mais il est le seul être humain que j’ai jamais entendu dire  »Genghis Khan » », se souvient M. Galanti « en prononçant « Jenjis Kahn ».

« Quand je l’ai entendu le redire il y a quelques mois, j’ai pensé : « Mon Dieu! C’est le même gars que les gens de Hanoï vantaient comme étant un grand ami ! » »

Alors que des héros tels que John McCain et Paul Galanti croupissaient dans des camps de prisonniers, John Kerry – de retour aux États-Unis – jetait ses médailles et accusait ses anciens compagnons de service de commettre les pires atrocités imaginables.
Tout cela afin de se bâtir une carrière politique.

Une fois de plus, l’Amérique trouve M. McCain se battant héroïquement pour sa vie, cette fois contre le cancer. Peut-être inspiré par ce courage, M. Kerry a dépoussiéré le vieux manteau de son placard français et rejoue le rôle du traître des États-Unis.

Selon le Boston Globe, M. Kerry a été repéré à New York complotant avec nos ennemis jurés dans le but de saper la politique étrangère des États-Unis.

Le bilan de M. Kerry en tant que secrétaire d’État du président Obama n’a rien de positif. Donc, au lieu de cela, il s’accroche à la barge d’égouts de sa carrière diplomatique : l’entente pourrie qu’il a contribué à négocier avec l’Iran.

Basé sur les mensonges d’une nation terroriste théocratique cherchant à détruire les États-Unis et Israël, «l’Accord» de M. Kerry a concédé à l’Iran des centaines de millions de dollars en argent des contribuables, plus des milliards pour financer les efforts terroristes du pays. Il ne nécessite que les inspections les plus insignifiantes et remet fondamentalement Téhéran sur le chemin de la construction d’une bombe nucléaire en moins de 10 ans.

Si Teddy Roosevelt parlait doucement, mais portait un gros bâton et le président Trump parle fort et porte aussi un gros bâton, alors M. Kerry parle fort et porte un petit bâton. Ou peut-être pas de bâton du tout. Ou pire, s’il a un bâton, il le donne à son ennemi.

L’homme est un imbécile, diplomatiquement et politiquement

Contrairement à M. Kerry, le président Trump a été élu président. Et, contrairement à M. Kerry, le président Trump a été élu président promettant de démanteler l’accord désastreux – voire traître – de M. Kerry avec l’Iran.

Alors qu’il n’a toujours pas été élu président, M. Kerry entre une fois de plus dans la clandestinité afin de conspirer avec l’ennemi et saboter la politique étrangère des États-Unis.

Selon le Globe, il y a deux semaines, à New York, « plus d’un an après son départ, il s’est engagé dans une curieuse diplomatie de l’ombre avec un haut fonctionnaire (iranien) ».

« Ces démarches inhabituelles entreprises par un ancien secrétaire d’État mettent en lumière ce qui est un enjeu personnel pour Kerry, mais aussi pour d’autres diplomates de l’ère Obama, consternés de voir ce qu’ils considèrent comme l’approche perturbatrice de la diplomatie de Trump. »

Essayez d’imaginer une seconde ce qui se serait passé si un diplomate non élu de l’Administration Jimmy Carter avait essayé de perturber les efforts du président Reagan pour mettre fin à la Guerre froide. Ou si Condoleezza Rice s’était réunie en cachette avec les dirigeants de l’Irak et de l’Afghanistan dans le but de saborder les politiques du président Obama dans la région.

Bien sûr, vous ne pouvez pas imaginer cela parce que c’est inimaginable que même Jimmy Carter ait embauché un bouffon qui mette toute son énergie à nuire aux États-Unis.

À présent que nous sommes remontés, vent debout, à l’égard de quiconque pourrait être en collusion avec un ennemi étranger pour miner la libre volonté du peuple et détourner le processus politique américain, nous devrions porter attention à M. Kerry.

S’il remet le pied aux Nations Unies, ou bien où que ce soit d’autre où se trouvent des leaders terroristes iraniens, M. Kerry devrait être arrêté et jeté en prison.

Ce sera un début.

(Post Scriptum: Rudy Giuliani, qui est membre de l’équipe juridique du président Donald Trump, a souligné que personne ne semble s’inquiéter du fait que l’ancien secrétaire d’État, par ses démarches entreprises afin de sauver l’accord nucléaire iranien, a enfreint la loi Logan laquelle considère comme illégale toute négociation avec des gouvernements étrangers par des personnes non autorisées.)

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Sources:

 

4 commentaires

  1. Posté par Diablotin le

    @Andre
    Vous faites confiance à un membre 33ème degré des Skulls and Bones, adorateur du hibou???

  2. Posté par Diablotin le

    @Andre
    Pourquoi? Car les medias de gauche le disent? Et vous remplacez Trump par qui, par Hillary Clinton ou une autre marionnette initiée du deep state??? Il convient de réfléchir un peu plus loin que le bout de son nez, de comprendre qui dirige véritablement les USA, avant de prendre des positions primaires!

  3. Posté par maury le

    Mais Kerry sème sa haine en eurabia aussi qui n’a pas besoin de lui pour haïr Donald Trump !il est venu je crois en France pour cracher son venin et je ne sais plus où, dire que « Prenez patience on va se débarrasser de lui » parlant du Président nouvellement élu !!c’est grave de déclarer ça car ça peut signifier que le Président peut être descendu à tout moment !SÛR QU IL DOIT ÊTRE MIS AU TROU!!!!!!!!!

  4. Posté par Andre le

    Du grand n’importe quoi.Destituons Trump le plus rapidement possible

Et vous, qu'en pensez vous ?

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