Meurtre d’Adrien Pérez : trop seul pour qu’on te craigne, trop pâle pour qu’on te plaigne [Tribune libre]

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« Ton cas est bien trop banal pour qu’on s’intéresse à toi, tu es né au mauvais endroit le tout sur fond de crise sociale » chantait le groupe de rock identitaire Vae Victis, dans les années 90, dans sa chanson « Casse sociale ». Une chanson dont le refrain illustre parfaitement, tragiquement même, le destin d’Adrien Perez, 26 […]

 

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3 commentaires

  1. Posté par kitty le

    Effectivement, je n’en ai pas entendu parler au J.T. Je pense aux parents de ce merveilleux jeune
    homme, quelle horreur tous ces meurtres, tous ces viols, toutes ces attaques. Les politiques sont
    les premiers coupables de toutes ces horreurs.

  2. Posté par Bussy le

    Macron a-t-il décoré Adrien Perez pour son geste héroïque ?
    Il devrait le faire, il a bien décoré une personne dont apparemment la seule qualité est de savoir grimper les façades…

  3. Posté par Léo C le

    J’avais déjà posté en réaction à la mort d’Adrien mais c’est passé à la trappe.

    En un autre endroit de France, ces lâches crevures seraient déjà coulées dans du béton ou dissoutes à la chaux vive, sans que personne n’aille contester. C’est ainsi qu’il faut rétorquer, c’est la bonne méthode pour que la peur change de camp.

    J’ai deux fils de quelques années de moins qu’Adrien; je ne peux donc m’empêcher de trembler lorsqu’ils sortent dans les mêmes endroits où ce genre d’occurrence est possible.
    En leur prodiguant les mêmes conseils de prudence que la maman d’Adrien qu’ils raillent de la même façon:  » T’inquiète !.. » me disent-ils.

    J’en ai remis une louche depuis, surtout à mon cadet qui n’hésiterait pas, avec sa force, à foncer dans le tas comme il l’a fait le soir de la Coupe en couchant un « suiveur ».

    Avec cette engeance toujours en meute, lames en poche dont ils se servent en toute impunité, cela est différent.
    Comme il a été dit, si toutefois on en vient à bout c’est que nous sommes de sales racistes qui ont ratonné; avec les suites que vous connaissez.

    Je pense aux parents d’Adrien, dévastés. A sa sœur. J’ai envie de leur dire de patienter, que justice sera faite mais n’y crois pas plus qu’eux. Quelle consolation en retireraient-ils ? D’autant plus si la peine est légère, comme à chaque fois pour ce genre de clients.

    Tant que nos lâches politiques n’auront pas pris conscience de cette menace ni ne le voudront par la fermeté qui s’impose (peut-être devraient-ils goûter un peu à la camaraderie diverse) rien ne sera possible.

    Peut-être devrons-nous les aider.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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