Cenator : Dans une interview parue le 17 mai, le ministre suisse des Affaires étrangères Ignazio Cassis estime que l’Agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) constitue un obstacle à la paix au Proche-Orient. Tant que les Palestiniens vivront dans des camps de réfugiés, ils caresseront le rêve de rentrer un jour dans leur patrie. Or il est irréaliste d'imaginer un retour pour tous, et l’UNRWA entretient cet espoir :
17 mai : Cassis critique l’ONU pour son aide aux réfugiés palestiniens
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A notre avis, Ignazio Cassis exprime des évidences que personne n'a le courage de relever.
Néanmoins, ses propos ont fait un tollé à Berne… et surtout à la Radio-télévision suisse (RTS) :
17-18 mai : Les critiques d’Ignazio Cassis sur l’aide aux réfugiés palestiniens font un tollé
Le 20 mai, le journal télévisé a même invité le président de la Confédération, le socialiste Alain Berset, en s’efforçant de lui faire désavouer son collègue :
Faut-il recadrer Ignazio Cassis… ou Jennifer Covo ?
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Le fonctionnement pervers de l’UNRWA a bien été analysé par Dreuz.info (voir extraits à la fin de cet article). Mais la RTS ne lâche pas son dernier os à ronger : Ignazio Cassis a gravement dérapé, il n’est pas à la hauteur de sa fonction ! Voici encore trois récents épisodes de ce matraquage :
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3 juin : Forum
Ignazio Cassis compromet la candidature de la Suisse au Conseil de sécurité
« Est-ce qu'Ignazio Cassis est allé trop loin en déclarant que l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) "est devenue une partie du problème"? Interview de Micheline Calmy-Rey, ex-conseillère fédérale au Département des Affaires étrangères. »
Pour Micheline Calmy-Rey, les propos d’Ignazio Cassis, « remettant en cause une politique suivie de façon constante par la communauté internationale », relèvent d’« un comportement à la Donald Trump : je tweete quelque chose parce que ça me passe par la tête », or ces « états d’âme » risquent de « mettre en cause notre crédibilité de pays qui participe à la promotion de la paix ».
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Cenator : MCR se ridiculise avec sa comparaison moqueuse entre Ignazio Cassis et Donald Trump. Les propos d’eux deux et les tweets de Trump sont très réfléchis et pesés. Par contre, c’est vrai, ils sortent du ronron habituel et de la « politique suivie de façon constante par la communauté internationale », qui tournent en rond depuis 70 ans et n’ont pas fait avancer d’un pas vers une solution.
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3 juin : Téléjournal
Une phrase d'Ignazio Cassis sur le conflit israélo-palestinien provoque un malaise
Antoine Silacci : La phrase a été prononcée au retour d’un voyage en Jordanie, alors qu’Ignazio Cassis était juste dans la région pour se pencher sur la crise israélo-palestinienne. Il lâche cette déclaration visant l’UNRWA : « Longtemps, cette organisation a été une solution, maintenant elle fait partie du problème. » Un propos en porte-à-faux avec la position officielle de la Suisse, provoquant un certain malaise à Berne et aussi un petit recadrage de la part du président de la Confédération. Mais Ignazio Cassis ne regrette pas ses mots : pour lui, la question devait être posée : « Il n’y a que les questions qui dérangent qui nous permettent de faire des pas en avant. » Des pas qui font du bruit à Berne, mais aussi sur la scène internationale.
Jennifer Covo : Est-ce qu’Ignazio Cassis n’a pas dérapé ?
Pierre Krähenbühl : Ces propos ont surpris, aussi parce qu’ils semblaient réduire 5 millions de réfugiés dans la région à des faire-valoir, et les confronter de nouveau à un déni de droit et de dignité.
JC : Sur le fond, est-ce qu’Ignazio Cassis n’a pas raison : le retour de 5 millions de réfugiés est difficile, voire impossible ?
PK : Le droit au retour est inscrit dans les résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies. L’UNRWA est une organisation humanitaire, qui n’a pas besoin de se prononcer sur la résolution politique du conflit.
JC : Mais la solution, c’est deux Etats ?
PK : Oui, c’est ce qu’il est important de voir. Ceux qui se préoccupent de la question du droit de retour devraient s’investir dans la mise sur pied d’une solution à deux Etats, qui donnerait le choix aux réfugiés palestiniens de s’installer dans un Etat palestinien indépendant. Il faut que ce choix existe, c’est comme cela qu’on amènera plus de stabilité au Proche-Orient.
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Cenator : Dire que la solution est à deux Etats, c’est aussi violer le devoir de neutralité de notre pays. Une ONG n’a pas à critiquer la politique d’un Etat ! Si les musulmans revendiquaient en Suisse de disposer d’un Etat, après tout (après tout, vu l’évolution démographique, ce n’est pas impossible à moyen terme), leur céderions-nous facilement quelques cantons ? Est-ce que le problème ne vient pas du fait que les Palestiniens refusent de reconnaître Israël et que lorsqu’ils avaient la possibilité d’avoir un Etat, ils ont refusé ?
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4 juin : Forum
Négociations Suisse-UE: Ignazio Cassis est-il l'homme de la situation?
« Le mois de juin sera marqué par les négociations entre la Suisse et Bruxelles, portées par le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis. Débat entre Géraldine Savary, (PS/VD), Roger Köppel (UDC/ZH) et Laurent Wehrli (PLR/VD). »
Pietro Bugnon : Ses récentes déclarations sur le sujet [de l’UNRWA] ont mis le feu aux poudres, puisqu’en léger décalage avec la ligne du Conseil fédéral jusqu’ici.
Chrystel Domenjoz : Est-ce qu’Ignazio Cassis a les épaules assez solides pour convaincre le peuple d’aller dans votre sens, c’est-à-dire de ne pas fermer la porte à l’Union ?
Géraldine Savary : Les déclarations d’Ignazio Cassis au Proche-Orient me rendent très inquiète sur la manière rationnelle qu’il a de gérer un dossier de politique étrangère. Elles ont mis le feu aux poudres, vous l’avez dit, dans une région du monde qui est déjà une poudrière. Il rompt la collégialité [du Conseil fédéral] sur ce sujet. J’espère que dans les négociations avec l’UE, il parlera de façon collégiale et non pas en son nom propre comme il l’a fait.
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Rappels
26 février 2014, Tribune de Genève :
La Suisse versera 33 millions aux réfugiés palestiniens
Aide humanitaire – L'enveloppe est destinée à une ONG qui vient en aide à cinq millions de personnes, et qui joue un rôle très fort au Proche-Orient.
La Suisse va verser 33,7 millions de francs aux réfugiés palestiniens. Le Conseil fédéral a approuvé mercredi cette enveloppe destinée à l'UNRWA pour les années 2014 et 2015. Il justifie sa décision par le rôle stabilisateur de premier plan joué par l'agence onusienne dans tout le Proche-Orient.
[…]
8 mai 2016, Dreuz.info : L’immorale UNRWA est à sec
Ne demandez jamais pourquoi l’ONU a créé en 1950 une agence spéciale pour l’aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA) alors que les autres réfugiés du monde n’ont pas ce traitement de faveur : c’est la réponse la plus immédiate qui a été trouvée pour empoisonner le jeune Etat juif.
Et ne demandez surtout pas pourquoi le statut de réfugié palestinien se transmet de père en fils, contrairement au statut de tous les autres réfugiés du monde : c’est pour faire grossir leur nombre, donc le problème des réfugiés au point qu’il devienne insoluble pour Israël.
Et pour être absolument certain que le problème des réfugiés, cette épine plantée dans le pied des Israéliens par l’ONU ne disparaîtra jamais, la Ligue arabe a formellement interdit aux pays arabes qui ont construit des camps aux réfugiés, de les intégrer au pays, de leur donner la nationalité, de les laisser choisir un métier, ou de les laisser aller et venir librement.
Dans ce contexte, l’UNWRA gère un nombre exponentiel de « réfugiés », et bien entendu, a sans cesse besoin de plus d’argent. En ce moment, elle a un trou de 80 millions de dollars dans son budget 2016.
Pierre Krähenbühl, le directeur de l’UNRWA connaît parfaitement l’immorale vérité. Mais il en vit le pauvre, ne lui demandez pas la vérité !
Alors il fait la manche auprès des pays du Golfe pour renflouer les caisses.
Qu’il ne se fasse aucun souci : l’UNRWA est bien trop précieuse, puisqu’elle n’est dirigée QUE contre Israël, l’argent viendra, comme toujours.
En 2015, l’agence, qui a, je le disais, constamment besoin de plus d’argent puisque c’est une machine à fabriquer des réfugiés au lieu de les intégrer, a eu des difficultés [… …]. L’appel aux dons du secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon avait été entendu, les pays donateurs avaient donc pris une partie de ce qu’ils doivent à leurs citoyens et versé aux Palestiniens.
© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Cenator, 5 juin 2018
Avec ces informations on voit bien que LE PROBLEME MAJEUR EN SUISSE CE SONT LES MONOPOLES MEDIATIQUES CRACHOIRS EXCLUSIFS DE LA GAUCHE. Après l’Hebdo, le Matin etc. TANT QU’ON AURA PAS RESOLU CE PROBLEME, IL N’Y AURA PAS DE DEMOCRATIE POSSIBLE EN SUISSE !
Tamedia-Pravda et ses prédécesseurs tout comme la SSR n’ont jamais rien fait d’autre que de soutenir les radicaux-socialistes. Donc la franc-maçonnerie. L’un de pillier de la F:.M:. et de la TSR était Georges Kleinmann ce qui explique tout ! C’est comme cela qu’on a eu droit à tout ces Français crypto-communistes en embuscade pour nous distiller leurs vérités. Ce n’est pas un hasard si Torracinta “le Corse” s’est approprié le monopole de la bienpensance avec toutes les conséquences qui pèsent lourdement aujourd’hui sur notre avenir et nos liberté. https://www.rts.ch/info/culture/1723058-georges-kleinmann-figure-de-la-tsr-est-decede.html
http://www.hommages.ch/Defunt/51498/Kleinmann_Georges Dans cette dernière référence vous avez le condensé de toutes les manigances qui ont installé ce monopole médiatique d’inspiration bolchévique.
chleitner, Paul M. (DEU), président du conseil de surveillance, Deutsche Bank AG; Trésorier, réunions Bilderberg
Agius, Marcus (GBR), Président, PA Consulting Group
Alesina, Alberto (ITA), Nathaniel Ropes Professeur d’économie, Université Harvard
Altman, Roger C. (États-Unis), fondateur et président principal, Evercore
Amorim, Paula (PRT), Président du Groupe Américo Amorim
Anglade, Dominique (CAN), vice-premier ministre du Québec; Ministre de l’économie, des sciences et de l’innovation
Applebaum, Anne (POL), chroniqueur, Washington Post; Professeur de pratique, London School of Economics
Azoulay, Audrey (INT), Directeur général, UNESCO
Baker, James H. (USA), Directeur, Bureau de l’évaluation nette, Bureau du Secrétaire de la Défense
Barbizet, Patricia (FRA), Présidente, Temaris & Associés
Barroso, José M. Durão (PRT), président de Goldman Sachs International; Ancien président de la Commission européenne
Beerli, Christine (CHE), ancienne vice-présidente, Comité international de la Croix-Rouge
Berx, Cathy (BEL), Gouverneur, Province d’Anvers
Beurden, Ben van (NLD), PDG, Royal Dutch Shell plc
Blanquer, Jean-Michel (FRA), ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie communautaire
Botín, Ana P. (ESP), Président du Groupe, Banco Santander
Bouverot, Anne (FRA), membre du conseil d’administration; Ancien PDG, Morpho
Brandtzæg, Svein Richard (NOR), président et chef de la direction, Norsk Hydro ASA
Brende, Børge (INT), président, Forum économique mondial
Brennan, Eamonn (IRL), directeur général, Eurocontrol
Brnabic, Ana (SRB), Premier ministre
Burns, William J. (États-Unis), président, Carnegie Endowment for International Peace
Burwell, Sylvia M. (États-Unis), Présidente, American University
Caracciolo, Lucio (ITA), rédacteur en chef, Limes
Carney, Mark J. (GBR), Gouverneur, Banque d’Angleterre
Cattaneo, Elena (ITA), Directeur, Laboratoire de biologie des cellules souches, Université de Milan
Cazeneuve, Bernard (FRA), associé, August Debouzy; Ancien Premier ministre
Cebrián, Juan Luis (ESP), président exécutif, El País
Champagne, François-Philippe (CAN), ministre du Commerce international
Cohen, Jared (USA), fondateur et PDG de Jigsaw chez Alphabet Inc.
Colao, Vittorio (ITA), PDG, Groupe Vodafone
Cook, Charles (USA), analyste politique, The Cook political report
Dagdeviren, Canan (TUR), professeur adjoint, MIT Media Lab
Donohoe, Paschal (IRL), ministre des finances, des dépenses publiques et de la réforme
Döpfner, Mathias (DEU), Président et CEO, Axel Springer SE
Ecker, Andrea (AUT), Secrétaire général, Office Président fédéral de l’Autriche
Elkann, John (ITA), président, Fiat Chrysler Automobiles
Émié, Bernard (FRA), directeur de la DGSE
Enders, Thomas (DEU), PDG d’Airbus SE
Fallows, James (États-Unis), écrivain et journaliste
Ferguson, Jr., Roger W. (États-Unis), président et chef de la direction, TIAA
Ferguson, Niall (États-Unis), Milbank Family Senior Fellow, Institution Hoover, Université de Stanford
Fischer, Stanley (États-Unis), ancien vice-président de la Réserve fédérale; Ancien gouverneur de la Banque d’Israël
Gilvary, Brian (GBR), Directeur Financier Groupe, BP plc
Goldstein, Rebecca (États-Unis), professeur invité, Université de New York
Gruber, Lilli (ITA), rédacteur en chef et présentatrice “Otto e mezzo”, La7 TV
Hajdarowicz, Greg (POL), Fondateur et Président, Gremi International Sarl
Halberstadt, Victor (NLD), président de la Fondation Bilderberg Meetings; Professeur d’économie, Université de Leiden
Hassabis, Demis (GBR), cofondateur et PDG de DeepMind
Hedegaard, Connie (DNK), présidente, Fondation KR; Ancien commissaire européen
Helgesen, Vidar (NOR), ambassadeur pour l’océan
Herlin, Antti (FIN), président, KONE Corporation
Hickenlooper, John (USA), gouverneur du Colorado
Hobson, Mellody (États-Unis), président, Ariel Investments LLC
Hodgson, Christine (GBR), Président, Capgemini UK plc
Hoffman, Reid (États-Unis), co-fondateur, LinkedIn; Partenaire, Greylock Partners
Horowitz, Michael C. (États-Unis), professeur de sciences politiques, Université de Pennsylvanie
Hwang, Tim (USA), Directeur, Harvard-MIT Ethique et Gouvernance ou Initiative AI
Ischinger, Wolfgang (INT), président de la conférence de Munich sur la sécurité
Jacobs, Kenneth M. (États-Unis), président du conseil et chef de la direction, Lazard
Kaag, Sigrid (NLD), ministre du commerce extérieur et de la coopération au développement
Karp, Alex (USA), PDG, Palantir Technologies
Kissinger, Henry A. (États-Unis), président, Kissinger Associates Inc.
Kleinfeld, Klaus (USA), PDG, NEOM
Knot, Klaas HW (NLD), président, De Nederlandsche Bank
Koç, Ömer M. (TUR), président, Koç Holding AS
Köcher, Renate (DEU), directeur général, Institut Allensbach pour la recherche sur l’opinion publique
Kotkin, Stephen (USA), professeur d’histoire et d’affaires internationales, Université de Princeton
Kragic, Danica (SWE), Professeur, École d’informatique et de communication, KTH
Kravis, Henry R. (États-Unis), coprésident et co-chef de la direction, KKR
Kravis, Marie-Josée (États-Unis), Senior Fellow, Hudson Institute; Président, American Friends of Bilderberg
Kudelski, André (CHE), président et chef de la direction, Groupe Kudelski
Lepomäki, Elina (FIN), députée, Parti de la coalition nationale
Leyen, Ursula von der (DEU), Ministre fédéral de la défense
Leysen, Thomas (BEL), Président du groupe KBC
Makan, Divesh (USA), PDG, ICONIQ Capital
Mazzucato, Mariana (ITA), professeur en économie de l’innovation et de la valeur publique, University College London
Mead, Walter Russell (États-Unis), Distinguished Fellow, Hudson Institute
Michel, Charles (BEL), Premier ministre
Micklethwait, John (États-Unis), rédacteur en chef, Bloomberg LP
Minton Beddoes, Zanny (GBR), rédacteur en chef, The Economist
Mitsotakis, Kyriakos (GRC), président, Parti de la Nouvelle Démocratie
Mota, Isabel (PRT), président, Fondation Calouste Gulbenkian
Moyo, Dambisa F. (États-Unis), économiste mondial et auteur
Mundie, Craig J. (États-Unis), président, Mundie & Associates
Pays-Bas, SM le Roi de la (NLD)
Neven, Hartmut (USA), directeur de l’ingénierie, Google Inc.
Noonan, Peggy (USA), auteur et chroniqueur, The Wall Street Journal
Oettinger, Günther H. (INT), Commissaire chargé du budget et des ressources humaines, Commission européenne
O’Leary, Michael (IRL), PDG, Ryanair DAC
O’Neill, Onora (GBR), Professeur émérite honoraire en philosophie, Université de Cambridge
Osborne, George (GBR), rédacteur, London Evening Standard
Özkan, Behlül (TUR), professeur agrégé en relations internationales, Université de Marmara
Papalexopoulos, Dimitri (GRC), PDG, Titan Cement Company SA
Parolin, SE Pietro (VAT), Cardinal et Secrétaire d’État
Patino, Bruno (FRA), Directeur des contenus, Arte France TV
Petraeus, David H. (États-Unis), Président, KKR Global Institute
Pichette, Patrick (CAN), Partenaire associé, iNovia Capital
Pouyanné, Patrick (FRA), Président et CEO de Total SA
Pring, Benjamin (États-Unis), co-fondateur et directeur général, Center for the Future of Work
Rankka, Maria (SWE), PDG de la Chambre de commerce de Stockholm
Ratas, Jüri (EST), Premier ministre
Rendi-Wagner, Pamela (AUT), députée; Ancien ministre de la Santé
Rivera Díaz, Albert (ESP), président du parti Ciudadanos
Rossi, Salvatore (ITA), premier sous-gouverneur, Banque d’Italie
Rubesa, Baiba A. (LVA), PDG, RB Rail AS
Rubin, Robert E. (États-Unis), coprésident émérite, Council on Foreign Relations; Ancien secrétaire au Trésor
Rudd, Amber (GBR), député; Ancien secrétaire d’État, ministère de l’Intérieur
Rutte, Mark (NLD), Premier ministre
Sabia, Michael (CAN), présidente et chef de la direction, Caisse de dépôt et Québec
Sadjadpour, Karim (États-Unis), Senior Fellow, Carnegie Endowment for International Peace
Sáenz de Santamaría, Soraya (ESP), vice-premier ministre
Sawers, John (GBR), président et partenaire, Macro Advisory Partners
Schadlow, Nadia (USA), ancienne conseillère adjointe à la sécurité nationale pour la stratégie
Schneider-Ammann, Johann N. (CHE), conseiller fédéral
Scholten, Rudolf (AUT), Président, Forum Bruno Kreisky pour le dialogue international
Sikorski, Radoslaw (POL), chercheur principal, Université Harvard; Ancien ministre des Affaires étrangères, Pologne
Simsek, Mehmet (TUR), vice-premier ministre
Skartveit, Hanne (NOR), rédactrice politique, Verdens Gang
Stoltenberg, Jens (INT), Secrétaire général, OTAN
Summers, Lawrence H. (États-Unis), professeur à l’Université Charles W. Eliot, Université Harvard
Thiel, Peter (USA), président, Thiel Capital
Topsøe, Jakob Haldor (DNK), Président, Haldor Topsøe Holding A / S
Wahlroos, Björn (FIN), Président, Groupe Sampo, Nordea Bank, UPM-Kymmene Corporation
Wallenberg, Marcus (SWE), président, Skandinaviska Enskilda Banken AB
Woods, Ngaire (GBR), Doyen, École de gouvernement Blavatnik, Université d’Oxford
Yetkin, Murat (TUR), rédacteur en chef, Hürriyet Daily News
Sailor, Gerhard (AUT), président, Turner International
On critique notre courageux Ignazio Cassis, mais on vous cache que notre ministre Johann Schneider- Amann participe à la réunion du groupe de Bilderberg à Turin. Que va-t-il donc faire dans cette galère?
AH ! TOUT CE POGNON QUE L’ON DEVRAIT REVERSER AUX NÔTRES SERAIT LA PREUVE D’UNE EVENTUELLE INTELLIGENCE DE NOS DECIDEURS.MAIS LA C’EST A NOUVEAU UN DE MES RÊVES QUE LA TERRE ETAIT UN PARADIS!ADIEU LES 30 GLORIEUSES.
Les stipendiés de Billag deviennent indigestes. Leur quotidien est fait d’antitrumpisme primaire, du chapitre habituel proclandestin, de la promotion de nouvelles taxes censées changer le climat et de soutien au terrorisme. Ils sont fascinés par la dictature de gauche, ils voudraient des trafiquants de drogue à la Max Havelaar et des islamistes avec le statut de vache sacrée. Billag, c’est gagné et ils le font savoir à longueur de journée.