Lausanne: «Les dealers de drogue demandent même à nos enfants d’être remboursés en nature!»

En plein débat amorcé par le groupe Ensemble à Gauche sur la lutte «raciste et criminelle» que mènerait la police de Lausanne contre le deal de rue:

Selon Sandra Pernet, PDC, «Il suffit d’observer leur manège à la gare de Lausanne. Ces enfants, ils sont des dizaines à traîner là toute la journée. Contre un peu de drogue à crédit, ils gardent les stupéfiants sur eux ou ils font le guet. Ils ont même récemment reçu la consigne de filmer les interventions policières avec leurs téléphones, au cas où cela dégénérerait en bavure

La conseillère communale est encore allée plus loin dans son témoignage, assurant que les dealers se faisaient également rembourser leur drogue à crédit avec des faveurs en nature.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Victoria Valentini 

 

Rappels:

Lausanne: Une mère de famille harcelée par des dealers en plein après-midi: « Allez dégage ! Pute ! »

Lausanne: L’UDC Jean-Luc Chollet traite Résistance Helvétique de « nazillon » (Vidéo)

Lausanne: Le directeur de la police s’oppose aux rondes de Résistance Helvétique. « C’est un trouble incontestable. »

18 commentaires

  1. Posté par Marcassin le

    Excellente idée Andrea.

  2. Posté par Andrea le

    Et si on s’attaquait à la consommation? S’il y a autant de dealeurs, c’est qu’il y a des clients.
    Qui a donc intérêt à maintenir un tel niveau de consommation à Lausanne.
    Pour remplir les boites de nuits et établissements qui ferment à pas d’heures, il faut bien qu’il y ait des gens en mesure de tenir toute la nuit, non?
    Alors, on les laisse se “vitaminer”.
    Mais si, au lieu d’arrêter un dealeur qui n’a absolument rien à perdre, on commençait par arrêter des consommateurs, les mettre trois ou quatre jours au frais. Ils devraient s’en expliquer en famille, au travail, voir à l’école.
    Moi, j’appelerais ça de la prévention.

  3. Posté par Matelot le

    Ecoeurant, révoltant, dégueulasse et j’en passe bref, à l’image de Lausanne.
    N’y a t’il pas complicité de trafique de drogue de la part de certains individus à la “conscience” sélective?

  4. Posté par Le Saint le

    Pour 24h les seules infos crédibles, sont les avis…. mortuaires!
    Pour les autres les lecteurs devraient en nombres résilier leur abonnement, car l’article sur les violences policières sont purement scandaleuses…

  5. Posté par Tommy le

    A Mauron@
    L’ adolescence est une période fragile et fluctuante de l’ existence, placée entre le désir de se calfeutrer dans l’ enfance et la curiosité éprouvée face au monde des adultes.

    Vu que nombre de ces 12- 15 ans vivent dans des familles en état de décomposition avancée, il est COMPRÉHENSIBLE que certains d’entre eux recherchent une consolation dans leur misère affective, et, hélas, entre les mains de nos invités VIP , venus d’ Afrique dans, à en croire les médias, l’ unique dessein d’ exploiter leurs ” fabuleuses compétences en matière d’ ingénierie, de médecine et de technologie “.
    Soyez-en satisfait, à en croire votre aveuglement, et ne jugez pas ces jeunes, mais plutôt ceux que le Collectif R semble vouloir nous imposer comme étant la solution au paiement de nos futures rentes de vieillesse……..

  6. Posté par Mauron le

    “Les dealers demande à NOS enfants d’être remboursés en nature”
    Une question : Que font-ils là VOS enfants ? (Je parle là d’une manière génerale)
    Soyons honnêtes pas de dealers sans consommation.

  7. Posté par UnOurs le

    Et dans vingt ans, on aura droit aux pneus enflammés autour du cou, comme à Lagos.
    Evidemment, quand on dit ça maintenant, on passe pour un fou.
    Mais il y a vingt ans, on aurait passé pour un fou en décrivant le “Lausannistan” d’aujourd’hui.

  8. Posté par Yelle le

    A noter quand même que les Suisses ou habitants suisses sont de gros consommateurs de coke. L’oeuf ou la poule…. la demande fait l’offre … si ce n’etait pas rentable ils ne seraient pas là.

  9. Posté par Antoine le

    Morges : nouvelles amendes !
    Un crachat à 100 francs ou un mégot jeté à 150 francs.
    Référence :
    https://www.24heures.ch/vaud-regions/la-cote/Cracher-dans-la-rue-pourrait-etre-puni/story/12373704
    Et à Lausanne pendant ce temps, le deal de rue progresse grâce à la bienveillance d’un gouvernement, pourri, corrompu et incapable de prendre des décisions.
    La Mafia nigériane a encore de beaux jours devant elle !
    NB: Il faut mieux deal de la cock que de jeter son mégot par terre …

  10. Posté par Loulou le

    Cela a commencé à la Riponne, c’est descendu sur St Laurent/Rue de l’Alle, sur l’axe Chauderon/Bel-Air. Ensuite Rue de Bourg/St François, descendu le Petit Chêne jusqu’à la gare. On en voit maintenant jusqu’à la Place de Milan. Toute le centre ville commence à être quadrillé, que des blacks, partout. La situation est devenue totalement ingérable. La solution: criminaliser l’acheteur, le dénoncer à son employeur, avertir son conjoint. Nom dans la feuille des avis officiel. J’invite les employeurs de ce canton à exiger un extrait de casier judiciaire et un test de dépistage avant toute embauche. Idem pour les régies immobilières. Pour les hommes et femmes politiques aussi.

  11. Posté par Loulou le

    La mafia nigériane, la vraie, est en train de s’emparer des rues lausannoises. Avec la complicité de la gauche. Il serait intéressant d’enquêter sérieusement sur certains élus.

  12. Posté par bonardo le

    Si je ne me trompe pas c`est des personnes de couleurs non ? Alors vive le multiculturel ,on se fout de notre gueule dans ce pays ,c`est pas sérieux du tout ,il faudra bien un jour faire de l`ordre avant que cela explose dans ce pays qui va à sa perte ,citoyens ,citoyennes ,il nous nous réveiller et écrire des courriers au conseil fédéral afin de faire part de notre indignation ,cela n`est plus tolérable et que pense nos petites dames de PS ,Alda ,Celsa ,Martine ,Micheline ????j`aimerais beaucoup une prise de positions de ces dames ???

  13. Posté par Antoine le

    @Tommy je vous cite ”…cet hologramme en perpétuelle lévitation idéologique de David Payot pour taper du poing sur la table”.
    Le ”pôvre” M. Payot ne va même pas effleurer la table, il risquerait de se casser son joli poignet.
    Je n’attends rien de bon de la part de toute la municipalité de Lausanne …

  14. Posté par Antoine le

    Bravo Mme Sandra Pernet pour votre intervention !
    Cela démontre :
    – Un peu d’observation et on découvre des pratiques que même la police n’a pas dénoncées ou simplement pas vue …
    – Une personne qui est disponible et beaucoup de temps libre peut entreprendre des recherches et observer ce qui se passe réellement.
    – Nos dirigeants politiques applaudissent Mme Sandra Pernet, mais la situation sur le terrain empire de jour en jour.
    – Lausanne est une ville pourrie, sale et corrompue (tout le monde sait et voit le deal de rue, mais il n’y a aucune volonté de corriger cette situation lamentable)
    notre Police fait certainement bien son boulot, les préfets et les juges appliquent les lois avec 2 poids et 2 mesures. Les dealers se tordent de rire !!

  15. Posté par Bussy le

    Deal, pédophilie, abus de personnes en détresse… les petits protégés des gauchos accumulent les qualités !

  16. Posté par Tommy le

    Suite:
    Et si l’on compte sur cet hologramme en perpétuelle lévitation idéologique de David Payot pour taper du poing sur la table, force est de constater que les Nigérians ” représentants en drogues dures” passeront à nouveau un bel été, avant la réouverture des asiles de nuit l’ hiver prochain.

  17. Posté par Tommy le

    L’ oratrice est bien trop conciliante avec ce ramolli du bulbe de Conscience. Emue, bien sûr, mais pas assez offensive.

    Ceci dit, on devrait aussi OBLIGER le Municipal des Écoles à prendre position une fois pour toutes:
    L’ INTERET DE QUI PRIME-T-Il SUR CELUI DES AUTRES?
    Autrement dit: faut- il sacrifier notre jeunesse sur l’ autel de la bienpensance, OUI OU NON?

    Je croyais que figurait dans le code pénal un article punissant celui qui FACILITE LA COMMISSION D’ UN DELIT.
    Conscience, qui n’en porte d’ ailleurs que le nom, en est l’ illustration.
    Soutien logistique à des clandestins, à des dealers, et empêchement de se livrer à un acte officiel.

    À Bochuz, vite, et parmi ses protégés.

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