Lettre ouverte à Monsieur Pierre-Antoine Hildbrand,
Municipal en charge de la police et de la sécurité de la Ville de Lausanne
Monsieur le Municipal,
Avant même que le débat ne soit porté au Conseil Communal, vous vous êtes empressé d'affirmer que la police interviendra contre d'éventuelles rondes organisées par Résistance Helvétique. Selon vous, les rondes de citoyens, vouées à rassurer la population, constitueraient une usurpation du "monopole de la force publique". Elles provoqueraient un trouble "incontestable et dommageable".
Dont acte. Monsieur Hildbrand, vous avez décidé de vous soumettre, sans perdre un instant, aux mots d'ordre du Parti Socialiste, dont vous n'êtes même pas membre d'ailleurs. Les partis de gauche et d'extrême gauche, pour faire avancer leurs projets politiques subversifs, sont passés maîtres, depuis longtemps, dans l'art de peindre le diable sur la muraille. Dans la propagande de gauche, tout ce qui n'est pas compatible avec l'idéologie, doit être sali, calomnié et dépeint sous les pires couleurs. Là, il n'est jamais question de "pas d'amalgame!".
Et pourtant, Monsieur Hildbrand, ce qui inquiète les Lausannois, ce n'est pas Résistance Helvétique, ni un diable imaginaire qui porterait Dieu sait quelle chemise. Ce qui inquiète les Lausannois, c'est le deal de rue. Ce sont les seringues qui parsèment les entrées d'immeubles. Ce sont les hordes de clandestins, soi-disant en voie d'expulsion mais toujours présents. Ce sont ces jeunes hommes d'Afrique, célibataires, que la phraséologie de gauche nomme "sans-papiers". Ce sont les violences gratuites que l'on appelle pudiquement "incivilités". C'est la transformation progressive de quartiers entiers de leur ville en zone de non-droit (Riponne, Tunnel, Maupas, Praz-Séchaud, par exemple). Voilà ce qui préoccupe vos administrés.
Jeudi soir a eu lieu devant la gare une manifestation de solidarité avec un dealer de cocaïne, décédé suite à son arrestation. L'homme était un clandestin et un vendeur de mort. Au cours de cette manifestation, un "orateur" a appelé, dans son mégaphone, à "la mort des flics" et à trouver et publier les noms et adresses des agents de police. Ce soir,-là, les agents de police étaient là, les bras croisés, face à ce discours de haine. Sans doute suivaient-ils vos directives.
Monsieur Hildbrand, êtes-vous au service des Lausannois? Ou êtes-vous au service des politiciens de gauche?
Source le Facebook de Résistance Helvétique
Rappels:
a nouveau des femmes tabassées a genève, par des racailles de maghrébins, évidemment ils passent la frontière comme dans du beurre, quelle incurie de nos autorités
@Christian Hofer
Je ne comprends pas bien l’intérêt de citer une statistique obsolète.
On sait très bien d’où provient la drogue et Calmy-Rey en est l’une des grandes responsables:
Infiltration du milieu, poursuites et arrestations parfois spectaculaires d’une majorité d’Alabanais et de Kosovars, sont devenues monnaie courante pour les inspecteurs des brigades des stups en Suisse. Dans le canton de Vaud, comme en d’autres lieux du pays, Albanais et Kosovars sont aujourd’hui les maîtres d’importants réseaux de distribution de drogue, et le phénomène est en expansion. Sur sept cents personnes interpellées à Lausanne en 1998, 60% étaient d’origine balkanique. Si leurs méthodes violentes se limitent aujourd’hui à une guerre des clans, ces organisations sont entrain de se structurer et deviennent de plus plus puissantes.
https://pages.rts.ch/emissions/temps-present/1282940-drogue-en-suisse-la-filiere-albanaise.html
Monsieur Hildebrand,
Je voudrais profiter de l’occasion qui m’est offerte de vous demander de sévir contre les associations “caritatives” qui assistent, nourrissent et cachent les personnes illégales ou clandestines. L’aide sociale est une responsabilité de la ville et leur action peut entraver les travaux des services compétents.
Je vous demanerai par conséquent d’être sans tolérance face à ces personnes qui, pensant bien faire, troublent l’ordre public.
@UnOurs, @Eric Werner, @Cigale,
Disserter sur l’insécurité, sur l’ordre, sur le droit, sur la subversion, sur le contrôle social, etc,
– c’est une chose lorsque l’on vit au chaud, le ventre plein, dans une contrée où l’ordre règne, en bonne santé, ses proches à l’abri, le lendemain assuré, dans son pays dont on connait la langue et les us et coutumes.
– c’est une toute autre chose lorsque l’on se trouve en milieu hostile, malade, affamé, pire assoiffé, désarmé, sans perspective meilleure que celle d’échapper aux sauvages parmi lesquels on se trouve.
« La Fourmi n’est pas prêteuse :
C’est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
– Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
– Vous chantiez ? J’en suis fort aise.
Eh bien! Dansez maintenant. »
– c’est
Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’un voyou qui menace de mort un policier, un dealer de drogue ne menacent en rien l’Ordre, ils y contribuent même. En revanche, des gens qui prendraient eux-même en charge leur propre sécurité et qui pourraient, éventuellement, tourner leurs forces contre l’état (quand l’état agit contre la nation) ou même seulement entamer une sorte de processus de “sécession intérieure”, eux mettraient clairement en danger l’Ordre. Toujours avoir bien conscience que la police ne nous défend pas nous, elle défend d’abord l’Ordre.
Eric Werner en parle très bien:
“On croit volontiers que l’insécurité est toujours et nécessairement en elle-même une calamité. Mais c’est là une vue par trop étroite du problème. En réalité elle joue un rôle important dans le maintien de la stabilité du système. Elle concourt utilement par exemple à démoraliser les populations, et par là même aussi à les convaincre de la vanité qu’il y aurait à vouloir s’opposer au “sens de l’histoire” (tel que le définissent les autorités). On pourrait dire aussi qu’elle a une fonction rééducative. Elle achève de réduire les individus à l’impuissance et de les mettre dans l’incapacité de ne rien entreprendre contre la nomenklatura en place. Bref, c’est un instrument efficace de contrôle social. On lui est redevable de soustraire les autorités aux désagréments liés à une hypothétique et toujours aléatoire contestation venue de la base. On comprend dès lors le soin tout particulier qu’elles mettent à la laisser se développer comme elle le fait. Elles ne disent naturellement pas qu’elles sont pour l’insécurité (non quand même), mais elles ne s’emploient pas moins à la favoriser discrètement. L’insécurité a parallèlement encore une autre fonction pédagogique: celle d’habituer progressivement les populations à l’absence de droit. La croyance en l’existence du droit n’a en effet de sens que dans un Etat de droit. Dans un Etat qui n’est pas de droit ou l’est de moins en moins, parce que les autorités elles-mêmes en prennent de plus en plus à leur aise avec le droit (quand elles n’en viennent pas purement et simplement, comme c’est souvent le cas, à se mettre au-dessus du droit), une telle croyance perd évidemment toute raison d’être. A la limite même, elle pourrait passer pour subversive.”
Un vendeur de drogue ,nous savons ce qu’il représente comme potentiel de destruction, mais s’il est Africain il devient “intouchable” car cela serait du racisme…Les crétins qui manifestent contre les soi-disantes violences policières en sont là!
Les pères fondateurs des USA pensaient que l’Etat pouvait devenir une dictature, et que les citoyens devaient pouvoir s’en protéger, y compris par les armes :
“Condoleeza Rice’s brilliant defense of guns
Condoleeza Rice told the largely liberal panel and audience of “The View” on ABC that had it not been for guns, her family and her neighbors would’ve suffered even more during the segregated society that was in place in her youth in the South.
Bam. That’s it in a nutshell — this is why founders saw fit to put in place a Second Amendment. It wasn’t a right to hunt they were defending; it was a God-given right to protect one’s self and one’s family from harm. And specifically: from harm from the government.
“Let me tell you why I’m a defender of the Second Amendment,” Rice said, the Blaze reported. “I grew up in Alabama in the late ‘50s, early ‘60s. There was no way that Bull Connor and the Birmingham police were going to protect you. When knight riders would come through our neighborhood, my father and friends would take their guns and fire in the air if anybody came through. I don’t think they actually hit anybody. But they protected the neighborhood.”
And on that whole leftist idea of registering gun owners and collecting their names and personal information to put into some sort of Big Database in the Sky?
“I’m sure if Bull Connor had known where [the guns and gun owners] were, he would have rounded them up,” Rice said. “I don’t favor some things like gun registration.”
This is classic history in action. (…)”
suite >>
https://www.washingtontimes.com/news/2018/mar/2/condoleeza-rices-brilliant-defense-guns/
Full support à RH, j’épouse leurs paroles à la lettre près. Je ne savais pas pour l’appel au lynchage de policiers, intéressant. Intéressant aussi que personne n’en parle, c’est pourtant certainement filmé. Intéressant aussi de savoir si une suite sera donnée à cet acte pénalement répréhensible.
Monsieur Hildbrand!avec vos collèges de gauche vous êtes une honte pour cette ville….la population Lausannoise est exacerbée par tant d’icompétences…Faites le nécessaire,sinon c’est la population lassée qui se chargera de faire ce que vous ne faites pas…je propose des élections anticipées;afin de nous débarasser de ses gauchos-communistes….moi qui me disait que le PLR était une alternative à la gauche..et bien ce partis a perdu une voie supplémentaire et c’est grâce à vous monsieur Hildbrand
Les rondes de citoyens se font de plus en plus et cela dans le monde entier pour palier la médiocrité de ceux qui devraient si astreindre n’en déplaise aux responsables des différentes polices. Les innombrables sociétés de surveillance sécurisent déjà des lieux publiques pendant que nos pandores se lamentent sur leurs conditions.
Une belle lettre, une excellente initiative que cette vigilance citoyenne devant l’incurie des autorités face aux problèmes des dealers et l’insécurité en général.