Djihadistes françaises: plaintes contre la France pour “détention arbitraire” en Syrie

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Christian Hofer: Tout à coup il existe des "droits de l'homme" et autres "respects des libertés individuelles" alors que ces mêmes islamistes abattaient les chrétiens comme des chiens, mettaient les femmes et les fillettes en esclavage! Les islamistes s'étant fait une spécialité de commettre les meurtres les plus atroces pour marquer les Occidentaux lorsque l'Etat islamique était tout puissant.

Aucune honte, aucun remord. Seuls l'islam et leur petite personne comptent! C'est dire à quel point ces gens ne doivent en aucun cas revenir en Europe mais subir les mêmes traitements qu'ils infligeaient aux autres car ils continueront sans aucun doute leur "jihad" en Europe.

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"Ces femmes et ces enfants sont tous détenus sans droit ni titre" assurent les avocats des familles de ces djihadistes françaises arrêtées par des combattants kurdes en Syrie.

Ils savent le dossier est épineux pour la France. Des avocats de femmes et d'enfants de djihadistes français, récemment capturés par les forces kurdes en Syrie, ont annoncé ce mercredi déposer plainte contre les autorités françaises pour "détention arbitraire" et "abus d'autorité". Ces plaintes a été déposées au nom de leurs "parents et grands-parents".

Une manière de mettre la pression sur le gouvernement français, qui a indiqué qu'il souhaitait qu'elles soient jugées par "les autorités locales" kurdes si les conditions le permettent. "Le Kurdistan syrien n'ayant aucune existence légale et ne disposant par là même d'aucune institution souveraine, ces femmes et ces enfants sont tous détenus sans droit ni titre", affirment cependant ces avocats dans un communiqué.

"Des risques sur le plan sanitaire"

Ils sollicitent ainsi leur rapatriement "sachant que toutes ces femmes parties sur zone font l'objet de poursuites judiciaires en France, d'un mandat de recherche ou d'un mandat d'arrêt français, et qu'elles acceptent de faire face à leur responsabilité pénale dès leur arrivée sur le territoire français". Selon eux, "les autorités françaises sont parfaitement informées" de leur présence et "font délibérément le choix des'abstenir de toute intervention".

Les autorités françaises "contribuent à la poursuite de ces détentions arbitraires" et "exposent en outre ces mères et ces enfants à des risques évidents, notamment sur le plan sanitaire, dans une zone de conflit", ajoutent-ils, demandant au parquet de Paris de diligenter une enquête préliminaire.

La politique du "cas par cas"

Depuis la chute de Daech en Syrie et en Irak, une trentaine de djihadistes français ont été capturés, la plupart par des combattants kurdes. Des hommes, mais aussi des femmes, souvent accompagnées de leurs enfants. Elles seraient une dizaine aux mains des Forces démocratiques syriennes (FDS), sur un total de 295 femmes recensées par les services de renseignement en zone irako-syrienne. Deux d'entre elles ont demandé à Emmanuel Macron leur transfert en Francepour être jugée.

Pour Paris, le cas de ces femmes est sensible. En novembre, le chef de l'État résumait ainsi sa politique: leur sort sera examiné au "cas par cas". Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, affirmait début janvier que celles arrêtées dans le "Kurdistan syrien" seront "jugées là-bas" si les "institutions judiciaires sont en capacité d'assurer un procès équitable" avec des "droits de la défense respectés".

Leur défense doit "être assurée"

"Quel que soit le crime qui ait été commis, même le plus abject, il faut que la défense puisse être assurée pour des ressortissants français à l'étranger". "Il faut en avoir l'assurance", a-t-il également déclaré. Avant d'ajouter qu'"a priori elles ne se sont pas rendues d'elles-mêmes, qu'elles ont été arrêtées en combattant".

"Ce n'est pas un sujet de gêne ou de difficulté", confiait début janvier à L'Express l'Élysée pour qui "le cas par cas garde toute sa pertinence": "Les situations restent différentes, on ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac. Est-ce qu'il s'agit de combattants, de femmes qui ont rejoint leur mari, de femmes qui ont des enfants, dans quels pays sont-elles détenues?..."

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10 commentaires

  1. Posté par Mady le

    Elles sont parties et maintenant elles veulent rentrer. Non, qu’elles restent puisqu’elles ont choisi
    de partir de la France pour rejoindre ces tueurs. Qu’elles soient jugées là-bas sans aucun moyen de retour en France. Ce serait bien trop facile.

  2. Posté par Claire le

    A la fin de la seconde guerre mondiale, un certain nombre de collabos ont été exécutés parce que traîtres à leur pays. Ces femmes djihadistes sont des traîtres, qui méritent le même châtiment. Puisqu’elles sont aux mains des Kurdes, qu’on les leur laisse et qu’ils appliquent leurs propres lois concernant ceux qui ont lutté contre eux. Il serait en tout cas inadmissible de les rapatrier à nos frais, mais vu les lâches islamo-collabos qui nous gouvernent, tout est possible. En tout cas, on est en droit de se demander qui paie leurs avocats???

  3. Posté par Socrate@LasVegas le

    Pour avoir écrit un tel mensonge: “Les autorités françaises contribuent à la poursuite de ces détentions arbitraires et exposent en outre ces mères et ces enfants à des risques évidents, notamment sur le plan sanitaire, dans une zone de conflit”
    Ce sont bien les mères qui se sont exposées VOLONTAIREMENT et exposé leurs enfants…Elles ne doivent jamais rentrer!
    Ces avocats-caca ont-ils un diplôme? et si oui de quoi?

  4. Posté par aldo le

    Il faut croire que les gouvernants à la botte des médias, et non le contraire, craignent les avocats en surnombre qui flirtent avec la pauvreté quand ils ne participent pas à la curée d’enrichissements offerte par l’industrie de l’asile. C’est bien là une figurine du serpent qui se mord la queue. https://www.dol-celeb.com/autres/ouroboros/

  5. Posté par poulbot le

    Aucunes pitié pour ces personnes ; c’est aux habitants de ces pays qui on subi cette barbarie de les jugés pas aux autorités françaises , ni aux Français de subir les couts . Quand aux avocats français qui les défendent qu’ils (elles) aillent faire leur travail sur place en fonction du droit Kurde.

  6. Posté par Vautrin le

    Qu’elles retournent en enfer, ces criminelles. Ce sont des ennemis de notre pays, elles l’ont trahi, elles doivent subir le sort des traîtres.

  7. Posté par Michel le

    Ils, elles ne sont pas allée au club-med !
    C’est de leur plein gré, qu’ils, qu’elles se sont engagés pour participer, faire la guerre pour l’Etat Islamique/DAESH. Ils sont partis, parfois en se jouant des “familles, amis”, et trahissant les peuples et pays qui les ont nourris, soignés, pour s’engager comme volontaires pour génocider ou être complices des assassins de peuples désarmés. Ils, elles savaient…..
    Conformément aux ordres de leur démoniaque coran, ils ont, égorgé, noyé, découpé en morceaux, brûlé ou enterré vif des êtres humains, appris à des petits enfants comment égorger, tirer une balle dans la tête d’un homme, ou réconforté sexuellement les vaillants combattants islamiques et allégé leurs fardeaux en arrière ligne… Ils, elles savaient
    Au nom d’allah, ils ont rejeté avec haine et dégoût nos législations, notre mode de vie, notre civilisation pour vivre leur djihad selon les lois du chamelier pédophile. Ils ont été pris ? Alors, c’est la loi de la guerre, qui s’applique pour ceux qui ont participé (surtout sur la base du volontariat ). On ne gagne pas à tous les coups. Ils veulent maintenant renier leur djihad, ils disent avoir été trompés ? Ils se découvrent “innocents” ? Pas d’accord !
    Les innocents sont tous ces malheureux qu’ils ont assassinés. Qu’ils soient jugés par ceux auxquels ils ont fait la guerre, là où ils sont allés faire leur guerre, la France n’a rien à y faire, ce n’est pas de son autorité. S’ils sont reconnus coupable, inch allah, comme ils disent car telle est la destinée qu’ils ont choisie. Tant pis pour eux si, à leur tour, ils ont peur, maintenant.
    Nous ne voulons plus de çà chez nous, nous en avons encore trop, comme autant de bombes à retardement.

  8. Posté par fred le

    moi je me demande comment incarcérées en syrie elles peuvent avoir des avocats en france.

  9. Posté par Antoine le

    Œil pour œil et dent pour dent !
    Il faudrait imposer la loi du talion; cette loi n’a plus court, quoi que …
    Notre Justice doit les juger pour cela il faut un tribunal international identique à celui de Nuremberg créé à la fin de WWII.
    TOUS les Nazis coupables de crimes contre l’Humanité ont été EXÉCUTÉS par pendaison, quelque-uns ont réussi à s’échapper. M. Eischmann a été capturé par les Israélins et exécuté en 1962.
    Il faut être sans pitié envers cette secte mortifère dont le bras armé Daech (ou EI) mérite son sort.

  10. Posté par Yolande.C.H. le

    Daesh est une formation militaire qui attaque les pays occidentaux. En principe, la personne qui s’engage dans une armée ennemie devrait être jugée par un tribunal militaire. Quelles sont les sanctions prévues actuellement pour ce type de traitrise?

    Et comme, de plus ces gens le font au nom de l’islam et que, de ce fait, femmes et enfants sont incorporés sans problèmes dans la lutte, on pourra apprécier l’abîme qui sépare l’état de droit de type occidental de l’état tel que le prône cette idéologie.

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