10 commentaires

1. Je rejoins complétement RealrecognizeReal, tout ce qu’il dit est vrai et cela fait peur pour l’avenir de la Suisse. Lorsqu’on sort dans les rues ou lorsqu’on va à des manifestations peu importe l’endroit, on ne voit que des étrangers où sont passés les Suisses, on se sent vraiment plus chez nous et la Suisse devient de plus en plus sale, ce n’est plus l’époque où on disait de la Suisse quelle propreté…Il suffit d’aller au bord de nos rivières et aux bords de nos lacs pour se rendent compte que tout est devenu sale, les gens laissent tout traîner lorsqu’ils pique nique et pourtant il y des poubelles un peu partout…
   Pour revenir à l’aide sociale, je rejoins également Bilou et Bussy, en connaissance de cause je connais une Suissesse qui a travaillé et cotisé durant des années et à 48 ans elle perd son travail, et depuis 7 – 8 ans elle ne touche pas le chômage, elle se fait aider par sa famille et finalement la personne de sa famille qui l’aide perd également son job et ont leur mère à charge. Le membre de sa famille n’ayant qu’un job à 40 % ne peut plus subvenir à ses besoins, alors malgré la fierté qu’elle a , elle a décidé de ravaler sa fierté et d’aller demander de l’aide au sociale. Incroyable et impressionnant le nombre de papiers et justificatifs que l’aide sociale lui demande…je passe les détails cependant je reste persuadée qu’aux étrangers qui se présentent à eux ils ne leur demande pas autant et la démarche et la réponse se font très très rapidement contrairement pour une personne de nationalité Suisse, non seulement ils ont l’aide sociale mais également l’AI, allez comprendre…Nous sommes Suisses de naissance et de cœur cependant notre pays en ont que pour les étrangers et cela nous donne envie de partir car notre pays considère son peuple comme des vaches à lait et c’est de pire en pire. Il y a tellement de Suisses qui ont besoin d’aide…

2. Je ne sais pas si tous les jeunes suisse d’origine s’en rendent compte, mais moi j’ai compris que mon pays/gouvernement m’a trahi depuis ma naissance, préférant favoriser les autres et transmettre les clés de l’avenir du pays à une jeunesse venue d’ailleurs. Je le vois comme une mère (patrie) qui déshérite ses propres enfants pour tout donner à ceux adopter, dont ces derniers sont restés fidèles au bled. J’ai juste envie de me barrer (et les préparatifs sont en cours), être étranger chez soi ce n’est pas normal. Et ce gouvernement qui n’est là que pour me mettre des bâtons dans les roues. J’espère réussir à partir avant que l’Europe ne soit officiellement le 2ème tiers-monde. AUX JEUNES SUISSES QUI ONT 2 PARENTS CH : FUYEZ OU RESTEZ ESCLAVES/VICTIMES DE CEUX QUI VEULENT NOUS DÉTRUIRE DE MANIÈRE INTENTIONNELLE OU INDIRECTE.

3. Quand on sait que les jeunes Suisses ont tout le mal du monde à obtenir le moindre petit soutien financier dans les moments où ils en ont vraiment besoin et que l’administration se montre systématiquement pinailleuse avec eux pour leur accorder la moindre petite aide (au terme d’une procédure des plus décourageantes), on comprend vite que l’aide est en fait attribuée en priorité aux migrants… et que les Suisses qui ont travaillé et cotisé restent, eux, sur le pavé…

   Sans verser dans le racisme ou la xénophobie, au final on est quand même en droit de se demander si ce genre de traitement à deux vitesses (discrimination positive) est juste et fair-play pour les jeunes Suisses…

   NON.

4. Ces migrants à l’aide sociale ont-ils au moins travaillé et si oui, combien d’années ?
   Selon moi, l’aide sociale aux étrangers devrait être en proportion des années travaillées en Suisse, rien avant d’avoir travaillé et cotisé au minimum pendant 10 ans par exemple, le montant augmentant avec les années travaillées.
   Maintenant, si le but de l’invasion est de couler l’aide sociale, on en prend le chemin !

5. Toutes les petites boutiques un peu louches affichent sur la porte :Ici transfère d’argent ! Et ceux qui vendent de la schnouff en profite aussi !

6. Alors que de plus en plus de contribuables ne parviennent plus à mettre un sou de côté d’une année à l’autre car écrasés de charges, de primes, de taxes et d’impôts… D’autres, sapés comme des nababs, peuvent se permettre d’envoyer une partie de la très généreuse aide sociale suisse au bled. Si on ajoute le fait que certains d’entre eux partent à nos frais en vacances dans le pays dont ils ont « fui l’horreur », on en arrive à la conclusion que le système de l’asile est décidément dirigé par un gang de menteurs, de malhonnêtes. De maffieux, quoi !

7. Corr : lecteur africain

8. Souvenez-vous de ce lecteur Africain de la Tribune de Genève qui, grande âme, avait choisi de verser à sa mère, restée en Afrique, le montant qu’il devait à un petit entrepreneur de la place, et ce, au motif que celui-ci en avait moins besoin que celle-là…

9. Bons à échanger dans les magasins suisses de nourriture…car le reste, les Zara et cie, ils en abusent. À croire qu’ils ne savent plus quoi faire de leur argent reçu …

10. Si cette somme est exacte, c’est renversant ! Plus de 4 fois le budget annuel de l’Armée suisse.
    Et cela représente un énorme chiffre d’affaire dont sont privés nos commerces locaux.
    Seule solution: L’aide sociale ne devrait être accordée aux étrangers que sous forme de bons à échanger dans les magasins suisses, ou mieux encore un genre de carte de crédit uniquement valable en Suisse, ce qui empêcherait le trafic de bons. Le compte correspondant à ces cartes serait crédité mensuellement du montant de l’aide allouée, avec une limitation de retrait de cash.