Un militant LGBT nommé médiateur des minorités sexuelles à l’ONU

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En octobre dernier, le conseil pour les Droits de l’Homme a nommé un militant engagé dans la défense des droits des homosexuels comme médiateur aux Nations Unies pour les questions LGBT, thaïlandais, docteur en droit et homosexuel militant, est explique le Center for Family and Human Rights (C-Fam)

« un des principaux acteurs de Yogyakarta Principles,  un manifeste sur l’avancée des nouveaux droits spécifiques internationaux LGBT. Le document soutient que la loi internationale oblige les états à donner des statuts particuliers aux relations entre individus de même sexe, à décriminaliser la sodomie partout, à promouvoir l’acceptation de l’homosexualité, à limiter la liberté des discours et des religions, et à accepter des nouvelles obligations qui ne sont pas internationalement reconnues. » « Cette nomination, continue C-Fam, confirme la présomption que ce poste nouvellement créé ne se bornera pas à traiter des violences contre les individus qui se revendiquent lesbiennes, gays, bisexuels ou transgenre (LGBT) mais servira plutôt à promouvoir un vaste programme sur les droits sexuels. »

77 pays dont la Russie et 57 États de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) se sont opposés à cette nomination partisane : “En ce qui nous concerne, ce poste n’existe pas” a rapporté  le délégué russe.

Fin Janvier, à Genève, ce nouvel expert des Nations Unie concernant « l’orientation sexuelle et l’identité de genre » a développé, devant un parterre d’organisations et de bureaucrates onusiens sa stratégie pour les trois années à venir afin d’accroître les droits des minorités Lgbt et la visibilité, de par le monde, des homosexuels, des trans, des lesbiennes et autres déviants.

Un vrai programme de Gaystapo qui se résume en 5 points : décriminaliser la sodomie, empêcher les professionnels de la santé mentale de traiter l’homosexualité comme une maladie, d’en parler comme d’un « désordre » ou d’un « trouble », en s’assurant que les documents légaux reflètent l’identité de genre subjective des personnes, en imposant l’acceptation sociale de l’homosexualité, y compris en s’opposant aux religions, et en endoctrinant les enfants et la société par une propagande à tous les niveaux. interdiction par loi, « les enfants » devront « naître et grandir dès la petite enfance » avec les bonnes attitudes envers « l’orientation sexuelle et l’identité de genre » qui ne sont pas a-t-il expliqué « des catégories fermées ».

Différentes agences des Nations Unies présentes ont témoigné de leurs efforts pour promouvoir les droits des Lgbt dans tous les domaines : UN Habitat a demandé des conseils à Vitit Mountarbhorn dans le but de mieux intégrer les minorités sexuelles dans le développement urbain ! Un représentant de l’Unicef, organisme onusien destiné, normalement, à protéger l’enfance, a lancé un appel aux États pour qu’ils « donnent aux couples Lgbt avec des enfants la reconnaissance légale de leur entité familiale. » Question également importante pour l’expert Thaïlandais qui admet militer pour une définition très ouverte de la famille. Quant au Fonds des Nations Unies pour la population qui répand dans le monde l’avortement et la stérilisation, il s’est engagé a promouvoir « des événements avec des groupes religieux qui soutiennent l’avortement et les droits Lgbt. »

Henk Jan van Schothorst, du Transatlantic Christian Council, s’est vivement opposé à cet agenda. Que faire a-t-il demander si les droits Lgbt entre en conflit avec les religions et leurs croyances ?

« Il y a des droits qui sont absolus et d’autres qui ne le sont pas »  a répliqué Vitit Mountarbhorn. Par exemple, « la liberté d’expression et l’expression de la religion » ne sont pas des droits absolus et ils peuvent donc être limités si nécessaires ! « On peut d’accord ou pas d’accord, continue-t-il irrité, sur ce que devrait être la famille, ce qui n’est pas totalement établi, mais quelles que soient les différences, vous ne pouvez pas tuer des personnes. Je suis désolé, vous ne pouvez pas. »

En résumé, pour ce paladin de l’homosexualité, toute opposition aux pratiques sodomites est un meurtre en puissance !

« Je voudrais ouvrir la porte à une interprétation et une compréhension humaine de la religion, complémentaire et convergente avec les droits humains »

a-t-il conclu se félicitant de l’invitation du Fonds des Nations Unies pour la population à organiser des événements religieux avec des groupes promouvant la culture de mort.

Avec Vitit Mountarbhorn, qu’on se le dise, la dictature des lobbies homosexualistes et nihilistes sur le monde et les esprits s’intensifie. Il ne reste plus qu’un seul droit absolu en ce monde dominé par ces Gaystapistes onusiens, celui suprême des Lgbt. Sans que le pape s’en émeuve. Comme le dit si bien le journaliste catholique à la verve pamphlétaire Maurizio Blondet sur son blog,

« François est trop occupé à persécuter Manelli et Burke, à détruire les ordres, à insulter les catholiques et à envoyer des messages pour le Superbowl (la finale de la National Football League (NFL), ligue américaine de football américain, ndlr) pour prêter attention à cette si importante évolution du Droit International qui réduit la liberté de religion et d’expression pour affirmer comme seul droit absolu celui des Lgbt. Si bien que nous sommes privés de sa Parole Autorisée alors que nous ne savons pas juger (qui sommes-nous pour juger, d’ailleurs?) »

Francesca de Villasmundo

https://www.lifesitenews.com/news/new-un-lgbt-expert-doubles-down-against-religious-freedom-describes-entry-p

 

Extrait de: Source et auteur

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Un commentaire

  1. Posté par Hexgradior le

    C’est fou à quel point l’Ordre Nouveau s’acharne à vouloir gérer nos gonades…

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