Christian Hofer: On sent toute la frustration de personnes arrogantes qui n'ont toujours pas compris à quoi tenait la victoire de Trump. Il y a ceux qui reconnaissent leurs torts et les autres, qui pensent être au-dessus de toute auto-critique.
Mieux, ils prétendent à présent que des "fausses nouvelles" sont à l'origine du triomphe de Trump alors qu'eux-mêmes ont tout fait pour diffuser des articles extrêmement orientés, allant jusqu'à agiter le spectre du fascisme. Ils ne sont donc aucunement en position d'accuser ou de donner des leçons.
Dès lors que leurs petites combines visant à dénigrer ce candidat à la présidentielle n'ont pas fonctionné, ces journalistes essaient lamentablement de trouver des excuses.
Ces rédacteurs, si "pertinents", si "clairvoyants", n'ont pas réussi à contrecarrer un misérable réseau social alors que 97% de la presse américaine soutenait Hillary Clinton.
Comment cela se fait-il puisqu'ils sont supposés détenir une intelligence supérieure face au misérable populiste? L'excuse, lamentable et qui dénote d'un racisme social immonde, c'est que la faute en incombe à ce peuple trop stupide pour comprendre leur "finesse d'analyse", que cette populace est dans "l'émotionnel". Il y aurait donc "l'élite" et ce bas peuple inculte, instinctif, de seconde zone, qu'il faut éduquer tel un chien: un discours tout simplement écœurant.
Bien entendu, lorsque ces mêmes journalistes utilisent les peurs, cela est tout à fait permis. Les donneurs de leçons ont tous les droits, spécifiquement celui d'accuser autrui de ce qu'ils pratiquent eux-mêmes avec assiduité.
Enfin, on notera le petit mot d'introduction: "Si vous lisez ce texte, c'est que vous n'êtes pas un indigent médiatique.", rassurant le lecteur de cette missive "d'être du bon côté", "d'être digne d'appartenir à leur lectorat", comme un maître caresse son chien d'avoir été assez servile, divisant de facto le peuple entre les gueux et ceux qui peuvent prétendre à une quelconque clairvoyance. Prétention, manipulation abjecte, narcissisme...
Quant au rapport cité, il est tout simplement inexact, approximatif, et orienté. Mais on comprend bien le désespoir du Temps qui se raccroche à ce qu'il peut désormais, telle cette pseudo analyse dont les gens se fichent éperdument puisqu'ils sont simplement demandeurs d'une chose que le Temps n'est plus en mesure d'offrir: la quête de la vérité.
Amis du Temps bonsoir, vociférez, vociférez, la désespérence sera bientôt morte désespérée.
Ne perdons par notre Temps à le lire; jetons-le!
Le Temps est à la hauteur de son antisémitisme. Ses journaleux devraient signer: Lamentablement vôtre!
Va-t-il faire du Trump aujourd’hui si François Fillon est élu à la place de Ali/Jupéette?
Entre cet été et cet automne, ce torchon m’a fait deux ou trois offres alléchantes (bouteille de champagne, prix attractif,…) de réabonnement, car je suis un ancien abonné du encore récemment et pompeusement autoproclamé “Média suisse de référence”. Je trouve ça pathétique et ne reviendrai pas sur ma décision. Ce n’est pas la rubrique “Sport” qu’ils auraient dû éliminer par mesure d’économie, mais la rubrique “Politique”, par mesure de bon sens.
Pour la gauche (et Le Temps), l’intelligence dépend uniquement de l’orientation politique. Le vote de gauche est dit “intelligent”, même s’il émane de migrants pauvres et peu éduqués (comme le dénonce tjs la gauche). Le vote conservateur, lui, est “simplet” et “bête” même s’il est le fait de classes moyennes et laborieuses locales et cultivées. De nos jours; que ce soit en Autriche ou aux USA, seules les villes et leur lot de migrants/bobos plescibicitent la gauche. La population normale, elle, préfère la droite.
…, le peuple a besoin d’un président qui s’occupe de lui, pas d’une menteuse hystérique. Patrick Lévy.
“Ne perdez plus votre “Temps”, laissez-le tomber dans le caniveau qu’il n’aurait jamais dû quitter. “le Temps” et “Bilan” font de temps en temps preuve de bonne fois, comme Tapie avait menti de bonne foi… C’est une stratégie de mélanger le vrai et le faux. Mais là on trempe dans l’idéologie qui est pire que le faux, c’est une sclérose de l’intelligence. Des pseudo journalistes brisent ainsi toutes illusions sur l’éthique journalistique. Ils sombrent dans cette facilité du ON-OFF, comme ils refusaient à Jean-Marie Le Pen, le droit de nuancer avec son détail. Ils deviennent de grossiers supporters de foot qui lancent leurs cannette sur le terrain dans un ultime geste de désespoir. Ils ne peuvent plus cacher leurs indignations de clans de la secte des gauchistes, cause de leur vociférations “spontanées” comme ils aiment de tout temps l’affirmer pour les manifestations bidonnées.
Le Temps et Bilan sont deux citadelles à investir et à exploser. Ils menacent la démocratie parce qu’ils sont spécialisés dans des marchés publicitaires de milieux qui n’aiment pas être dérangés dans leurs affaires juteuses qu’ils aimeraient éternelles. Le Temps et Bilan leur fournissent des oeillères pour les maintenir dans ces illusions. Tant qu’ils dégagent grâce à eux de puissantes marges publicitaires, ils ne sont pas près de les réveiller.
Et l’autre soir, à Infrarouge, Alexis Favre du Temps mentait en disant que Trump a traité tous les Mexicains de “violeurs”. Et personne ne le reprenait, alors que c’était une diffamation et que ce point est important! Ces journalistes ne savent pas même lire un discours de manière honnête. Ce sont de minables petits manipulateurs. Trump parlait de certains immigrés mexicains qui sont en effet des violeurs, puisqu’ils ont violé des femmes aux USA. Il faut savoir lire. Les propos de Trump auraient dû être plus clairs certes, notamment pour que ces manipulateurs menteurs ne puissent pas faire leur nauséabonde besogne, mais c’est bien le seul reproche qu’on puisse lui faire. Il suffit de lire la séquence entière en anglais pour comprendre que le discours rapporté des journalistes est parfaitement diffamatoire et devrait être poursuivi.
Ce qui se passe en Suisse avec le Temps qui continue à diaboliser Trump est similaire à ce qui se passe au même moment aux USA, en France, en Allemagne dans la quasi totalité des médias. Non seulement ils le dénigrent, mais ils enragent de devoir supporter la décision du peuple américain regardé comme un peuple ignare et fruste. Les médias se considèrent faisant partie des élites qui savent. Qu’en conséquence, il faut en finir avec la Nations et faire un consortium des peuples gouvernés par l’ensemble des élites. Ad libitum. Mais le peuple a si mauvais goût que voulez vous. Il ne comprend jamais ce qui est bon pour lui.
Ici je cite Emmanuelle Gave de l’Institut des Libertés qui apporte un regard intéressant: “J’ai souvent entendu dire, depuis que je suis enfant, que les crises financières ou politiques étaient un peu comme la pêche à l’explosif : on voyait d’abord remonter les petits poissons et seulement à la fin, les grosses baleines. Nous venons de voir passer un Brexit ; au nez de tous les sondages et prévisions, Trump a transformé l’essai, je trouve que déjà en termes de petits poissons, il y a plus que le diner d’un héron et si le Brexit et Trump étaient les petits poissons, je ne peux pas attendre de voir arriver les baleines… D’autant que je ne constate AUCUN changement dans le discours de nos politiques, si ce n’est bien sûr pour ré affirmer la nécessité de dissolution de ce peuple, décidemment, presque trop ignare pour voter. Or, comme l’écrit Machiavel, «Les peuples bien qu’ignorants sont capables d’apprécier la vérité » et la vérité risque de remonter sur le ventre avant la fin 2017. La seule question que je me pose est si la baleine vérité rejettera les élites Jonas au bout de trois jours. Pas certaine qu’ils le méritent.
A tous les lecteurs et contributeurs du site, je vous rappelle que nous nous devons de soutenir financièrement cet espace d’expression, ou nous accédons à de la véritable info.
leTemps serait tellement heureux de pouvoir annoncer la fin des Observateurs.ch
Ne leur laissons pas cette aubaine.
Merci pour eux.
Ce qu’ils appellent populisme est en fait du souverainisme. Pour ces lamentables pantins de la cause mondialiste néo-bolchévique, le terme de souverainiste est insupportable.
Le Temps, un torchon de mo0ndialiste de plus, il est a espérer que ce titre voie ses ventes baisser suffisamment pour le faire partir en faillite !
A quand un vrai média souverainiste en Suisse Romande ??? Un média indépendant en mains suisses et non pas un de ces médias dont les réelles propriétaires se cachent derrières des SA et des Holdings !!!
Qu’et-ce qu’y sont intedigents, au Temps !
Faute d’arguments on attaque, on insulte. Un auto-goal magistrale pour ce canard en voie de disparition.
À Julie Rochat@
J’ai été abonné longtemps au Nouveau Quotidien, rebaptisé ensuite Le Temps.
Fatigué par la bien-pensance de ses propos, le surf perpétuel sur les idées en vogue et son appétence pour le “bobo cocooning” , j’ai ensuite résilié mon contrat.
Je me souviens du cartouche d’un article, paru il y a presque vingt ans.
” Vague d’agressions à Genève. Tous les auteurs étaient de jeunes étrangers. Malaise.”
S’il y a malaise à écrire la vérité, c’est que ce journal ne vaut plus la peine d’être lu.
Et son papier peut être utilisé pour lancer un feu de cheminée ou comme papier WC.
Mais je crains que les propos corrosifs du Temps ne me donnent des hémorroïdes.
Mais ils le vendent encore en pages, le Temps?
En rouleaux, ce serait plus adéquat….
@Jim
C’est exactement ça et très joliment écrit.
Rappelez-vous quand on était gamins et que l’on se faisait traiter de patate, pourrie, banane ou autre petit nom d’oiseau, on rétorquait : çui qui dit c’est cui qui l’est! Niveau école enfantine voire bac à sable, tel est le niveau des journaleux du Temps et autres merdias hélas….
“Si vous lisez ce texte, c’est que vous n’êtes pas un indigent médiatique.” Cela ressemble furieusement à une tentative désespérée de sauvegarder les derniers vestiges d’un lectorat qui fond comme neige au soleil. En d’autre termes, après la désinformation place à la flagornerie. Nul doute que le message sera reçu, et que les moins stupides de leurs abonnés prendront le chemin de la résiliation. Un auto-goal de plus en somme.
Selon Le Temps, ceux qui ont voté pour, ou soutenu Trump seraient “des indigents médiatiques”. Si nous traduisons cet euphémisme, le quotidien gauchiste de l’arrogance hypermondialisée nous déclare donc du haut de sa supériorité droit-de-l’hommiste que nous sommes des pauvres cons, des ploucs, des sans-dents de l’esprit, des nuls de la pensée.
Mais provenant d’un organe de presse si dévoyé et si proche de la faillite intellectuelle la plus complète, cette insulte nous choquera moins qu’elle ne nous apparaîtra comme un cas d’inversion accusatoire, une affliction typique de cette maladie mentale débilitante qu’est le gauchisme: on accuse l’autre ou l’adversaire des maux dont on souffre soi-même. On pourrait donc aussi la décrire comme un lapsus inverti.
Maintenant que le vent de l’histoire tourne, il viendra le temps où Le Temps finira dans la grande poubelle de l’histoire que nous sommes en train de mettre en place pour tous les médias gauchistes.
God Bless Donald Trump!
Bilan, dont Benoit-Godet est l’ancien rédacteur en chef, n’est pas en reste:
http://www.bilan.ch/herve-peitrequin/lideologie-algorithmes-lextremisme-de
Le Temps ouais…. Comme ses comparses Le Matin et 24 Heures, tout juste bon à faire sécher les godasses et à nettoyer la caisse du chat!
Ce journaliste “useful idiot” croit que lui et ses camarades désinformateurs et bolchéviques vont pouvoir utiliser l’échec de Hillary la tigresse pour faire disparaître les sites web de réinformation. Il se met le doigt dans l’oeil. On n’a jamais pu démontrer que le peuple était moins intelligent que ses élus ni que les lecteurs de la presse écrite étaient moins intelligents que les journalistes. A le lire je conclu qu’il a un QI plus bas que la moyenne de ses lecteurs et qu’il ressemble beaucoup à Sandra Jean et à Simonetta Sommaruga. Les journaux c’est comme la Suisse, le Souverain ce sont les lecteurs qui paient et la rédaction devrait être au service du Souverain
Je propose un nouveau slogan pour LE TEMPS :
“FAITES PARTIE DES PERDANTS, ABONNEZ-VOUS A ‘LE TEMPS'”
Les médias européens..y compris en Suisse…sont d’une mauvaise foi….dediou (expression bien jurassienne).
Allez..rions un bon coup…vous avez raison..
A propos de raison….ils sont comme Hillary….ils ont toujours raison….tellement..mais tellement…qu’ils finiront comme elle…par se kratcher…
Le meilleur de leur cru sera les élections autrichienne et française….là vous aurez le pompon des pompons…..
Vous êtes avertis….la populace est idiote ….quant à eux, ils sont la science infuse….Donc il y aurait des millions et millions d’idiots qui s’ignorent…pour quelques milliers de journalistes très intelligents et très bien informés…
Einstein…se posait la question d’un univers infini…mais ce dont il était sûr c’est que la bêtise, elle, est vraiment infinie…..
Je ne pense pas être un indigent médiatique mais il y en a d’autres qui sont d’un dédaigneux, d’une suffisance, d’une arrogance, d’un mépris envers les autres, et finalement d’une bêtise qu’ils ne peuvent qu’être indigents tout court !
http://www.letemps.ch/suisse/2016/11/18/suisse-sevit-contre-larnaque-patch-anticancer
On est mort de rire.
On se demande qui à le plus une vision du monde simpliste.
Eehhh!!! Bobos cause toujours, on se fend la gueule.
Merci aux médias de la propagande, cela faisait longtemps que je n’avais pas autant rit en une semaine, bientôt deux.
M.Benêt-Godet, si nous lisons ce texte, c’est que lesobservateurs ont bien voulu nous donner l’occasion de bien rigoler une fois de plus! Vous êtes un vrai comique. Merci.
J’ai bien compris. Je suis un type lamentable et bien trop stupide pour comprendre quoi que ce soit. Mon seul espoir, mais il est mince, c’est de m’abonner au Temps. C’est sans doute ce que je vais faire dès demain.