Christian Hofer: Je vous laisse apprécier toute l'hypocrisie de ce journal qui ose même rappeler "l'indépendance du 4ème pouvoir" alors que les médias romands et la RTS passent leur temps à descendre en flamme l'UDC, comme ici et ici ou encore là. Il fallait l'oser!
Bien entendu, toute cette manœuvre vise à couvrir Simonetta Sommaruga et ainsi la placer en position de victime alors qu'elle vient de poignarder le peuple suisse dans le dos via l'extension de la libre-circulaiton et qu'elle place le pays dans une situation extrêmement dangereuse sur le plan de l'asile. Quoi que fasse cette femme, elle sera donc étiquetée en tant que martyre de la méchante droite et aura le champ libre pour imposer sa politique de gauche au payer entier.
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La conseillère fédérale subit depuis des mois un pilonnage en règle. Le rédacteur en chef et élu Köppel joue un rôle clé
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Depuis juin 2015, l'UDC mitraille la cheffe du Département de justice et police, qui gère les thèmes des travailleurs immigrés ou de l’asile. Toni Brunner, président de l’UDC il y a encore quelques jours, le reconnaît. Il ne peut pas voir Simonetta Sommaruga en peinture à cause de sa politique «laxiste».
L’attaque de mardi a constitué en quelque sorte un point d’orgue. Selon Marc Bühlmann, directeur de l’Année politique suisse, elle a mis en lumière le problème de la double casquette de Roger Köppel, qui est à la fois conseiller national et rédacteur en chef de la Weltwoche. «Après son intervention au National, il a remis la compresse jeudi sur Mme Sommaruga dans son dernier éditorial. Le Conseil de la presse, dès 1996, a pourtant dit qu’il était préférable pour un journaliste de ne pas s’engager politiquement dans un parti afin d’assurer l’indépendance du 4e pouvoir.»
Observez donc la contradiction de ce “journaliste”:
“Nous sommes neutres politiquement mais nous allons faire un article pour soutenir S. Sommuaruga.”
Quelle splendide contradiction.
Ils ne sont même pas capables de tenir une logique plus de 3 lignes. Ou alors pensent-ils encore naïvement que leurs contorsions grotesques trompent le peuple?
Et comme l’évoque Jeferson, les arguments de M. Köppel ne peuvent pas être attaqués. Il ne leur reste plus que la forme à critiquer et ainsi monter une affaire artificielle en épingle, en passant soigneusement sous silence toute la pertinence de ses propos.
DEU (CHE) :
http://tp.srgssr.ch/p/portal?urn=urn%3Asrf%3Aais%3Avideo%3A2989c722-075b-41cb-8d34-e65473aa9ddc&autoplay=true&legacy=true&width=640&height=360&playerType=
@Jeferson
Tout à fait, il est plus que grand temps de tirer la chasse.
Le souci c’est que ces gens gouvernent.
victime cette dame ? faites-nous rire ! elle est encore plus tordue qu’on n’aurait pu le penser si elle arrive à jouer ce rôle !
la victime ici c’est le peuple suisse que l’on ne protège pas de la colonisation !
Bonjour,
Ce qui est déconcertant dans cette histoire, c’est que Roger Köppel restera dans les esprits comme le “méchant” qui a fait pleurer et partir Stalinovna. Alors qu’il n’a fait que son travail en posant les arguments d’un débat dur mais de bon niveau, solide et argumenté.
L’énorme connerie en terme de communication est le fait de cette gourde de Marktwalder. Elle est a 100% responsable de ce “pipigate” et de tout ce qui va suivre.
Les excuses bidon imaginées par notre fumeuse “Markt-val-d’herbe” provoqueront 100 fois plus de torts à Stalinovna que le discours de M. Köppel. Gageons que les caricaturistes et les carnavaliers vont s’en donner à coeur joie.
Parmi les commentaires dans le 20 Minutes, je retiens celui qui dit que “PS” ne signifie plus “parti socialiste”, mais “pipi solidaire”!
Il est possible que cet épisode stupide fasse tomber SS de son trône (enfin, quand je dis “trône”, j’me comprends!). Voire que cela renvoie Stalinovna à sa vraie place. Dans les chiottes. De l’Histoire.
L’adage est connu: “Dieu, gardez-moi de mes amis ! Quant à mes ennemis, je m’en charge !”. Nul doute que la nouvelle dame pipi du Conseil fédéral va s’en souvenir. Avec SS, le débat n’est pas de bas niveau, mais de caniveau. Il est grand temps de tirer la chasse.
Jeferson, avril 2016
L’UDC, la cible privilégiée des médias mainstream & Co
@G. Vuilliomenet
C’est la même chose. Il n’y a que le nom qui change, et la rubrique région.
Ah bon! Et il est où le 4 ème pouvoir, en Suisse romande particulièrement?
Donc seul les politiciens de gauche et du centre ont le droit d’utiliser les médias, tous à leurs bottes, pour exprimer leurs éternelles complaintes.
Un journaliste ne devrait donc pas être politicien selon la caste au pouvoir, sauf évidemment s’il fait partie de leur cercle. N’importe quoi!
C’est marrant, on retrouve le même article dans la tribune de Genève.
C’est beau la diversité journalistique!
Et si s’était un caca nerveux!