Les caisses des cantons suisses ne sont pas autant vides qu’on le répète aux fonctionnaires: des illégaux condamnés par la justice peuvent le confirmer.
Ils sont des centaines en Suisse à profiter de soutiens officiels, du logement, des repas, des assurances, jusqu’au paiement de leur abonnement aux transports publics et au versement de dix francs quotidiens. Leurs frais de justice sont aussi dévolus aux cantons.
Nous subventionnons aussi, et par-dessus tout, des politicards traîtres aux intérêts fondamentaux de la nation.
Mais vraiment si les suisses ne votent pas oui à la mise en oeuvre du renvoi alors je n’y comprends plus rien. Aujourd’hui dans la salle d’attente de notre cabinet, une personne agée est venue me demander de pouvoir rester vers la réception pour entendre parler en français… Nous sommes un canton avec plus de 6,4% de chômage, 9% de sociaux, donc on est à un taux de 15 % minimum de personnes ne travaillant pas sans compter les nouveaux arrivants migrants, alors merde on n’en peux plus…
Je suis certains que les nécessiteux suisses ne reçoivent même pas les miettes et qu’il n’y a aucun strapontin pour eux! S’ils demandent de l’aide, il ne la reçoivent que s’ils peuvent fournir des preuves du besoin. Les requérants, qui n’ont jamais cotisé à rien, n’ont aucun besoin de se justifier, ils sont immédiatement pris en charge !
Les caisses publiques sont vides ou pleines, et ceci à l’aune de la nationalité des personnes qui font appel à elles. Pour les Suisses, il ne reste que les miettes. Comme au grand théâtre qu’est la société d’aujourd’hui, les étrangers sont dans les loges, alors que les autochtones se contentent d’un strapontin.