La misère s’appelle Sommaruga

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Editorial Roger Koeppel,  Die Weltwoche, 31 mai 2015

Migration illégale via la Méditerranée: point de la situation vu de Suisse.

 

La Suisse s'oriente dans la mauvaise direction en matière de politique d'asile. Son attractivité pour l'immigration illégale ne cesse d'augmenter. Le Conseil fédéral et le Département de la Justice se refusent à appliquer le droit d'asile. On constate des anomalies. Les taux de reconnaissance n'ont jamais été aussi élevés. Le rapatriement des requérants d'asile déboutés est en panne. Ce n'est pas la misère du monde, mais l'incapacité politique à Berne qui fait bondir les chiffres de l'asile.

«Tous [...] doivent rester»

Bien que la Suisse occupe d'ores et déjà la deuxième place derrière la Suède parmi les pays les plus attirants de l'Europe en matière d'asile, les autorités n'entreprennent rien contre les migrants illégaux. Le secrétaire d'Etat aux migrations de la Confédération, Mario Gattiker, a déclaré sur Radio SRF la semaine dernière qu'une de ses priorités concerne l'amélioration de l'infrastructure pour l'intégration des Somaliens. La tendance est à l'ouverture. On s'évertue à améliorer tant que faire se peut la capacité d'accueil de la Suisse pour les migrants de la pauvreté venus d'Afrique.

La présidente de la Confédération Simonetta Sommaruga symbolise cette misère politiquement voulue. La ministre de la Justice manque totalement de volonté pour regarder les réalités en face. Dans plusieurs interviews avec des journalistes de la télévision, bien disposées à son égard, elle défend ouvertement sa position qui ignore le durcissement des conditions d'obtention du droit d'asile exigé par deux fois par le peuple depuis 2006 dans le cadre de deux révisions de la loi.

Elle ne voit pas de limites à la capacité d'accueil. Elle refuse de s'exprimer sur les abus. Sommaruga a déclaré à la «Rundschau» qu'il est bien plus important que la Suisse reste «ouverte» et «solidaire». Actuellement, il faut surtout des «voies sûres en Méditerranée», a-t-elle assuré en Romandie. Elle a déjà promis au Premier ministre italien Renzi que la Suisse s'associerait également «aux quotas internationaux de réfugiés». La présidente de la Confédération en conclut généreusement que «tous ceux qui ont besoin de notre protection doivent pouvoir rester en Suisse», aux frais des contribuables.

Est-ce de l'ignorance? Est-ce à dessein? Les déclarations de Sommaruga équivalent à un appel à une violation de grande ampleur du droit. Le fait est que le droit d'asile suisse a été créé dans le sillage des génocides du siècle dernier pour les personnes dont la vie et l'intégrité physique sont directement menacées pour des raisons politiques. De simples réfugiés de guerres civiles ou autres, ou encore des personnes qui veulent échapper à une situation économique et sociale désespérée ne sont pas considérés comme pouvant bénéficier du droit à l'asile. On peut trouver cela injuste, mais c'est la loi – tant en Suisse que dans l'Union européenne.

La présidente de la Confédération Sommaruga affirme à la télévision que 50% des migrants illégaux qui partent d'Afrique du Nord seraient des réfugiés pouvant bénéficier du droit d'asile au sens de la Convention de Genève. Son diplomate en chef chargé des réfugiés, Mario Gattiker, a également confirmé ces chiffres à notre journal. C'est un mensonge éhonté.

Dans les faits, ceux qui embarquent en Afrique du Nord sont des migrants économiques illégaux. Ce sont des gens, souvent de jeunes hommes, qui ont quitté les régions de crise depuis longtemps. La vie et l'intégrité physique de ces immigrants illégaux ne sont plus menacées, si tant est qu’elles ne l’aient jamais été. Leur objectif est d'avoir une meilleure vie. Cela est compréhensible, mais pas légal. Selon l'ONU, 230 millions de personnes migrent dans le monde entier. Seuls 16 à 20 millions d'entre elles seraient de vrais réfugiés, pas même 10%. Toute personne qui s'embarque en Afrique du Nord ne relève plus par définition du droit d'asile.

98% rejoignent l'Europe

Ce ne sont pas les plus pauvres ni les persécutés qui s'entassent dans les embarcations. Ce sont les mieux lotis et les relativement riches qui paient des milliers de francs pour s'assurer les services des passeurs. Certes, il est tragique et bouleversant que la traversée ait une issue fatale pour environ 2% d'entre eux. Mais ce qui compte, c'est que la grande majorité des voyageurs, 98%, débarque sur le continent européen. L'amélioration actuelle du sauvetage en mer par l'UE et son corollaire, le relèvement du taux de réussite de la migration illégale à 100%, vont augmenter l'attrait du canal migratoire en Méditerranée.

Chasseurs-cueilleurs

La forteresse Europe n'existe pas. Plus d'un milliard de personnes vivent en Afrique. Reste à voir combien d'entre elles quitteront la pauvreté pour les riches pays du Nord. Le magazine d'information Der Spiegel présume pour cette année le doublement du nombre des demandes d'asile en Allemagne passant de 200 000 à 500 000.

Curieusement, la majorité des personnes soi-disant victimes de persécutions politiques renonce à l'asile direct dans les pays riverains (Espagne, Italie ou Grèce). Elles préfèrent gagner clandestinement des régions plus prospères comme la Suisse, l'Allemagne ou la Suède. Bon nombre de ces soi-disant réfugiés viennent de Turquie, pays tiers sûr.

Personne ne devrait, bien sûr, blâmer les Africains et les Arabes, candidats à l'immigration, de profiter de la frontière sud de l'Europe ouverte à tous les vents. L'homme est un chasseur-cueilleur. Il saisit toutes les opportunités. Aujourd'hui, il est plus facile d'entreprendre le voyage pénible vers les États providence généreux de l'Europe que de contribuer au développement de son pays d'origine sous la coupe de gouvernements africains ou arabes corrompus. Qui demande l’asile a le droit de venir dans l'UE. Les gouvernements européens ne prenant plus au sérieux leurs lois en matière d'asile, ils se rendent coupables de leur utilisation abusive.

Émotion saisissante

Lors de ses apparitions à la télévision, la présidente de la Confédération Sommaruga incarne cette émotion saisissante. Elle raconte la misère des victimes de la guerre civile syrienne et les conditions déplorables dans ces zones de pauvreté auxquelles la Suisse verse depuis des décennies des milliards en aide au développement – manifestement en vain. Le drame des réfugiés en Méditerranée est aussi la preuve la plus tangible que la «coopération au développement» vantée à Berne ne donne pas de résultats perceptibles. L'argent public investi s'évapore. S'il en était autrement, des centaines de milliers de personnes n'émigreraient pas chaque année d'Afrique pour se rendre en Europe. En amont de l'abus du droit d'asile, les contribuables sont victimes d’une fraude de plusieurs milliards de francs.

Sommaruga fait vibrer la corde sensible. De fait, des drames humains se déroulent en Syrie et au Proche-Orient. Il est juste que la Suisse participe à une aide financière directe dans les régions en crise. Il faut aider à construire à la périphérie des zones de guerre des camps et des infrastructures pouvant accueillir et protéger les populations directement persécutées. C'est le seul moyen d'ôter tout fondement à l'activité des passeurs illégaux. La tragédie syrienne a, à vrai dire, peu de rapport avec les réalités de la politique d'asile en Suisse. Ici, les Érythréens constituent le plus grand groupe de requérants d'asile, devançant même le Sri Lanka qui n’est désormais plus en guerre. Le groupe qui grandit le plus rapidement est celui des Kosovars, alors que des troupes suisses sont censées coopérer au maintien de l'ordre dans leur pays.

Les Syriens mis en avant par Sommaruga n'arrivent qu'en troisième position. Leurs demandes d'asile ont atteint au premier trimestre 2015 un taux de reconnaissance de seulement 26,3%, contre 48,2% de toutes celles émanant du Sri Lanka. Comment se peut-il que les taux de reconnaissance de demandes d'asile de réfugiés originaires d'une zone de guerre réelle soient nettement inférieurs à ceux de requérants provenant d'un pays où de nombreux Suisses passent leurs vacances? Les lois et les particularités nationales de la pratique de l'asile influent sur les mouvements de réfugiés de fait plus fortement que la misère du monde prétendument objective gérée par des politiciens comme Sommaruga.

En 2006, la Suisse a durci son droit d'asile à la suite d'une décision populaire. Le nombre de demandes a immédiatement décru. Depuis 2011, il est de nouveau en hausse. Tout dépend pour l'essentiel du courage des dirigeants politiques pour appliquer les lois en matière d'asile. La volonté politique décline. Il n'y a jamais autant eu d'«admissions provisoires». Il s'agit de personnes déboutées dont on tolère néanmoins le séjour dans le pays. 66% de toutes les personnes en cours de procédure d'asile bénéficient de ce statut, soit plus de 30 000 au total. Elles n'ont jamais été si nombreuses, même pendant la guerre en ex-Yougoslavie.

6800 francs exonérés d'impôt

Les taux de criminalité attestent aussi le piteux état de l'asile. Bien que les requérants d'asile ne constituent que 0,6% de la population autorisée à résider en Suisse, ils sont les auteurs de 9% de tous les délits commis entre 2011 de 2014. Qui viole dans une telle ampleur les lois de l'hospitalité de son pays d'asile ne peut pas prétendre être un vrai réfugié.

Évidemment, la Suisse pourrait réduire drastiquement le nombre des demandes d'asile. À condition d'en avoir la volonté. Du temps de la ministre PDC de la Justice, Ruth Metzler, le nombre des demandes a oscillé de 2001 à 2003 entre 27 000 et tout juste 22 000. Son successeur, Christoph Blocher (UDC), l'a divisé par deux le portant à moins de 11 000. Un an après la non-réélection de Blocher, les chiffres de l'asile sous Eveline Widmer-Schlumpf (PBD) sont remontés à 16 000. Sa successeure, Sommaruga (PS), produit des chiffres encore plus inquiétants: de 22 500 en 2011, nous allons maintenant vers les 30 000 demandes. Le secrétaire d'Etat Gattiker s'enthousiasme de ces «excellents chiffres comparés à l'UE». Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.

Les coûts explosent. Comme l'UDC l'a souligné, la semaine dernière, dans un rapport passé sous silence par les médias, il n'y aucune comptabilité transparente à Berne. L'UDC calcule un milliard de francs rien qu'au niveau fédéral et deux milliards supplémentaires pour les cantons et les communes. À cela viennent s'ajouter les frais de poursuite pénale, sans compter les dépenses pour l'aide au développement. L'UDC table sur six milliards de francs par an.

Dans le canton de Zurich, une famille de quatre réfugiés sans emploi peut compter chaque mois sur un revenu exempt d'impôt de l'ordre de 6800 francs, «accompagnement socioéducatif familial» d'un montant mensuel de 2400 francs inclus. Pénétrer illégalement dans une maison fait l'objet d'une sanction. Pénétrer illégalement dans un pays permet de bénéficier de l'aide sociale. Quand Berne trouvera-t-elle la force de mettre un terme à cette folie?

Source et auteur : Die Weltwoche, Roger Koeppel, Editorial, 31 mai 2015

 

16 commentaires

  1. Posté par Pierre Müller le

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    Que ces élections soient un véritable électrochoc pour les traîtres au pouvoir !

    🙂 VOTEZ CE DIMANCHE 18 OCTOBRE ! 🙂

    C’EST MAINTENANT OU JAMAIS !

    CHAQUE VOIX VA COMPTER !

    https://www.ch.ch/fr/ou-comment-voter/

  2. Posté par Jean-Francois Morf le

    Dans bien des conquêtes de l’Islam, les envahisseurs sont venus gentiment comme des amis, puis ils se sont multipliés comme des lapins. Ensuite, ils ont brûlé les églises, tué les mecs chrétiens, mangé les richesses des chrétiens, violé les chrétiennes. Ensuite, rien ne fonctionne plus s’il n’y a plus de nouveaux pays à dévaliser. Exemple: Kosovo.

  3. Posté par Favre le

    J’adhère à tout ce qui vient d’être publié et à l’article de M. Koeppel

  4. Posté par Erkangilliers le

    Le C.F., comme tous les Gouvernements européens, constate que les peuples commencent à se réveiller et demandent l’arrêt de la submersion migratoire.
    En conséquence, les débarquements s’accélèrent, les envahisseurs sont encouragés à s’installer de plus en plus nombreux et les lois « antiracistes » (antiraciste est un nom de code pour racisme antiblanc) se durcissent (c.f. la condamnation récente de Boris Le Lay en France).
    Il est évident qu’il s’agit d’un choix politique volontaire et il est aussi naïf que vain et suicidaire de se demander « Quand Berne trouvera-t-elle la force de mettre un terme à cette folie »?
    Car si la maison brûle il est inutile d’espérer du pyromane qu’il mette en terme lui-même à l’incendie, il faut soi-même au plus vite aller chercher de l’eau et la verser sur le feu.

  5. Posté par Loutchia le

    Les socialises, font des pieds et des mains pour entrer la Suisse dans l’UE dont ils font allégeance. en ce qui concerne l’immigration. Les roitelets de l’UE tiennent Berne par le chantage!

     » j’attends quand même de la part de nos plus couillus élus de prendre leurs responsabilités et de saisir le Ministère Publique de la Confédération. »
    Pourquoi pas lancer une pétition signée du peuple suisse?

  6. Posté par Sentinelle le

    Encore un appel (déjà posté une fois ici) :

    Dans le canton de Fribourg, l’UDC a commencé la récolte des signatures pour une Initiative cantonale contre l’ouverture d’un centre « Islam et société » à l’Université de Fribourg.
    Voici la feuille des signatures (1 feuille pour les habitants de la MEME commune politique) :

    http://www.udc-fr.ch/img/ck/files/Recolte_F_initit_islam%20%281%29%281%29.pdf

    A distribuer aux amis patriotes fribourgeois !

  7. Posté par Sentinelle le

    Pénétrer illégalement dans une maison fait l’objet d’une sanction. Pénétrer illégalement dans un pays permet de bénéficier de l’aide sociale. Quand Berne trouvera-t-elle la force de mettre un terme à cette folie?

    Quand la Justice est pervertie à ce point-là, les citoyens doivent réagir ! Pour le moment, par les moyens qui sont à notre disposition tout de suite : J’aimerais demander à tous les lecteurs de cet article d’écrire personnellement à Mme Sommaruga. Ce n’est pas très compliqué :

    Adresse postale: Palais fédéral, 3003 Berne

    Adresse émail par le formulaire de contact du DFJP :
    http://www.ejpd.admin.ch/ejpd/fr/misc/contact.html?contactid=0005&backpagepath=/content/ejpd/fr/home

  8. Posté par Derek Doppler le

    @G. Vuilliomenet J’ai posté mon commentaire juste avant que les vôtres ne soient visibles, et je déplore que vous vous soyez senti visé personnellement, ce n’était pas mon intention. Pour clarifier, je préfère éviter le recours à la « violence », mais si la situation l’impose -risque majeur pour mon intégrité physique par exemple- je n’hésiterai pas une seconde à faire usage de la force par tous les moyens que je jugerai adaptés et appropriés.

  9. Posté par Pierre H. le

    @G. Vuilliomenet
    Vous n’êtes pas le seul !

  10. Posté par G. Vuilliomenet le

    Non! Simonetta Sommaruga (SS membre du Parti des Salauds) n’est pas la misère, mais est une misérable!

  11. Posté par G. Vuilliomenet le

    « Quant à ceux qui croient encore au « processus démocratique » pour nous débarrasser de traîtres à la Constitution, vous n’avez définitivement rien compris et êtes donc condamnés à les subir jusqu’à la fin. »

    Il ne resterait donc que la violence si je devais interpréter vos propos. C’est d’ailleurs ce que je pense de plus en plus quand je vois à quel point les décisions populaires sont méprisées, bafouées. Il semble, d’ailleurs, que je ne suis pas le seul à penser ainsi.

  12. Posté par Derek Doppler le

    Le peuple ne peut pas nommer de conseillers fédéraux, mais qui l’empêche simplement d’en inciter certains au retrait, voir, comment dire, d’en écarter d’autres? Question rhétorique, bien évidemment, mais valable aussi pour certains secrétaires d’état. Quant à ceux qui croient encore au « processus démocratique » pour nous débarrasser de traîtres à la Constitution, vous n’avez définitivement rien compris et êtes donc condamnés à les subir jusqu’à la fin.

  13. Posté par G. Vuilliomenet le

    « Est-ce de l’ignorance? Est-ce à dessein? Les déclarations de Sommaruga équivalent à un appel à une violation de grande ampleur du droit. »

    Il semble de plus en plus évident que nos lois, notre Constitution sont violées, alors j’attends quand même de la part de nos plus couillus élus de prendre leurs responsabilités et de saisir le Ministère Publique de la Confédération.

    LE RESTE N’EST QUE DU BLA BLA BLA !

  14. Posté par G. Vuilliomenet le

    Que ces politocards continuent dans cette voie.

    Il ne faudra pas aller pleurer si un breivik bis se réveille et fait de gros dégâts parmi ces gens qui nous imposent l’invasion africaine et asiatique!

  15. Posté par Aude le

    Quels piètres Conseillers fédéraux socialistes.
    L’un veut diminuer drastiquement les assurances sociales, l’autre veut des milliards pour les migrants.
    Pas d’argent dans les caisses pour les gens du pays mais une générosité excessive pour l’étranger.
    Je réitère mes regrets du refus du peuple de nommer les Conseillers fédéraux. Mais il reste les élections fédérales. Que les Suisses se réveillent s’ils ne veulent pas être coloniser…demain il sera trop tard.

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