La communauté musulmane est sur le point de demander au Canton qu’il lui accorde un statut d’intérêt public. Elle craint que l’attentat de Paris ne compromette ce processus.
Mercredi après-midi, retenu par une séance de travail, Pascal Gemperli est resté coupé du monde tandis que se répandait la nouvelle de l’attentat contre Charlie Hebdo: «En découvrant l’ampleur du drame en début de soirée, l’émotion m’a submergé. Par sympathie pour les victimes et leurs familles. Mais aussi en pensant au risque de régression que cela représente pour nous, musulmans vaudois, qui avons beaucoup progressé sur le chemin de l’intégration ces dernières années…»
Pour nous, Suisses, il n’y a rien d’intéressant, ni de potentiellement public dans la religion de soumis. Et si nos fonctionnaires s’ennuient tellement, on leur conseillera de se pencher sur les écrits sacrés de cette religion, car si les textes des Témoins de Jéhovah contenaient seulement le dixième des atteintes aux Droits de l’Homme que l’on peut trouver dans les corans, ils seraient déjà non seulement interdits d’expression, mais depuis belle lurette condamnés pénalement et punis pécuniairement. Alors, je pense que nos fonctionnaires doivent avoir autre chose à faire…….
“Intérêt public” ???
je ne vois pas à qui l’islam pourrait “être d’intérêt” mais au contraire, plus les musulmans prétendent, moins on les tollère. J’ai assisté, en Belgique à la lente évolution des mentalités : il y a 20 ans mes cousins étaient tous pro-multikulti et votaient PS – lentement ils sont devenus anti-islam et aujourd’hui votent NVA : extrème droite…
mais comme on ne peut pas dire qu’on est contre l’islam c’est la haine silencieuse qui bouillonne …
en silence et en véhémence… le jour où l’étincelle va être provoquée cela va être violent…
les autorités politiques ont laissé s’envenimer la situation en refusant de laisser les désaccords s’exprimer… aujourd’hui c’est la colère… terrible…
Selon Peter Hammond dans son livre Slavery Terrorism Islam (2010 !) :
Tant que la population musulmane ne dépasse pas 2% dans un pays donné, ils sont, pour la plupart, considérés comme une minorité pacifique et non comme une menace pour les autres citoyens
De 2 à 5%, ils commencent à exercer un prosélytisme envers les autres minorités ethniques et les mécontents, recrutant souvent essentiellement parmi les détenus et les bandes urbaines. Au-delà de
5%, ils exercent une influence démesurée, en fonction de pourcentage de population qu’ils représentent. Par exemple, ils exigeront l’introduction de nourriture halal (pure suivant critères islamiques), procurant ainsi des emplois aux musulmans dans les métiers de l’alimentation. Ils aggraveront la pression sur la grande distribution pour qu’elle fasse figurer des produits halal dans ses rayons assortie de menaces en cas de refus d’obtempérer.
A ce stade, ils feront pression sur le gouvernement en place pour être autorisés à s’autogérer (dans les limites de leurs ghettos), en appliquant la Charia ou loi islamique.
L’objectif final des Islamistes est d’instaurer la Charia dans le monde entier.
Lorsque la proportion de Musulmans approche 10% de la population, ils tendent à protester contre leurs conditions de vie par une recrudescence des actes de délinquance. A Paris, on voit déjà des incendies de voitures. Tout comportement non musulman offense l’Islam et provoque soulèvements et menaces, comme à Amsterdam, en représailles contre les caricatures de Mahomet et les films sur l’Islam
Passé le seuil de 20%, les nations peuvent s’attendre à des émeutes sous le moindre prétexte, la formation de milices djihadistes, des assassinats sporadiques et des incendies d’églises chrétiennes et de synagogues, comme en Ethiopie, où les musulmans représentent 32,8% de la population.
A 40%, les nations subissent des massacres à grande échelle, des attaques terroristes chroniques, et une guérilla permanente.
etc….
Si la pratique de l’islam à titre privé ne saurait être interdite, d’innombrables événements ont montré ces dernières années que la religion musulmane n’était pas compatible, dans l’état actuel des choses, avec les exigences d’une démocratie occidentale moderne. Elle ne saurait donc être considérée comme étant d’utilité publique.
islam go home !!!
Ces célèbres progrès sur le chemin de l’intégration passent par l’arrêt de l’exhibition du magasin d’accessoires et autres; dans les lieux publics, le lieu public étant à interpréter dans son acception la plus large.
Quant au beugleur qu’il est prévu d’installer à la mosquée de Lausanne, il est fortement recommandé de renoncer à cet ambitieux projet, signe d’intégration puisque nous sommes bien en terre vaudoise et non en terre d’islam.
Je suis Charlie