Si les sondages le confirment, les Suisses refuseront en votation populaire le 11 mars 2012 de prendre plus de vacances, 6 semaines au lieu de 4.
On peut ajouter à cela qu’à plusieurs reprises les électeurs suisses ont également refusé l’abaissement du nombre d’heures de travail hebdomadaires. N’est-ce pas un modèle de responsabilité citoyenne et de la capacité à situer l’intérêt collectif au-dessus des intérêts corporatistes et individuels?
Cela n’empêche pas certains «spécialistes» des sciences sociales et politiques de vouloir constamment "mieux former" l’opinion publique. Et le Parti socialiste suisse d’appuyer une conseillère fédérale, ne représentant que 4 à 5% du corps électoral suisse et néanmoins présidente de la Confédération, dans sa soumission aux USA en matière d'exigence de pureté, morale et générale,dans le domaine des pratiques bancaires. En réalité ce n'est que pure hypocrisie. Et les USA, du coup, ne représenteraient-ils plus l’hydre de l’impérialisme et du néo-libéralisme pour les socialistes?
Tout le monde sait pourtant que la Suisse a fait un travail très important, voire exemplaire pour s’adapter aux nouvelles normes internationales en la matière. Ne serait-ce pas le rôle des socialistes mais aussi de nos autorités de pointer publiquement et systématiquement les pratiques scandaleuses en matière d’argent très sale de la part des USA eux-mêmes, et de bien d'autres.
De nombreux compatriotes douteux mais célèbres ont donné une image tellement négative de la Suisse pendant des décennies que l’étranger n’a plus qu’à appuyer sur ce cliché noirci pour chercher à nous étouffer. Les critères moraux avancés ne sont ici aussi que pure hypocrisie.
Grâce aux socialistes et à leurs alliés obligés, ce seront des milliers, des dizaines de milliers, de place de travail perdues, eux qui en plus veulent supprimer l’armée, sortir du capitalisme et entrer immédiatement dans l’UE! En plus, ils réussissent même à dicter l’agenda médiatique et politique. Comment peut-on encore voter pour eux?
Pourquoi réagit-on si peu à une telle situation?
Bravo cher Monsieur,pour avoir réalisé votre projet,qui vous tenait à coeur,et donné l’occasion aux suisses romands de s’exprimer sans devoir lire la presse à l’eau tiède que les groupes type Ringier ou Nicolle nous servent à longueur d’année.Enfin sortir de leur médiocrité soi disant bien pensante écrite la plupart du temps dans un français digne des meilleurs analphabètes kosovars où le terme “défit” s’orthographie “challenge” et où” les façons à ce que” se disputent l’espace aux “beaucoup plus grands”. Merci de mener le combat à la bien pensée!!,aux vasouillages d’une pensée socialiste qui n’a rien inventé depuis les années 30 sinon le socialisme national en Allemagne ou en Italie!!N’y aurait il pas un moyen de faire vivre les états sans recourir systématiquement à l’augmentation des impôts
qui devraient frapper “les riches” qui n’ont jamais reçus une définition satisfaisante.On est en effet toujours le riche par rapport à quelqu’un d’autre,même le SDF de Paris est riche par rapport au mendiant de Calcutta ou de Bombay. Bonne chance pour votre entreprise plus nécessaire que jamais dans le paysage ennuyeux de la presse romande souvent dominé par des groupes qui ne sont pas romands.
” Pourquoi réagit-on si peu à une telle situation? ”
– nous allons globalement encore trop bien
– nous confondons de facon efficace tolérance et indifférence
un Auteur dont le nom m’échappe disait joliment: “nous reconnaîtrons le bonheur au bruit qu’il fera en partant”.
André Marcel? Ma mémoire résonne! Seriez-vous une plume qui écrit ou qui desssine? Logeriez-vous dans le château de Rivaz? Confondrai-je avec André Paul? Peut importe au fond! Car le souvenir, même diffus, que je garde est chaleureux. Affectueux. Associé au quart-d’heure Vaudois. Albert Iten, Samuel Chevallier et pardon d’avoir oublié les autres noms. Que dire donc des vacances? Je ne suis pas contre! Mais pourquoi en rajouter? Puisque la Suisse est le seul pays au monde ou l’on s’emmerde aussi bien qu’ailleurs! J’avoue que cette boutade est une extapolation de mots d’un humoriste dont j’ai oublié le prénom. Son nom est Berset! Il disait que la Suisse est le seul pays au monde où on mange autant de viande qu’ailleurs! Nous devrions parler de vacances! On vaque à ses occupations. Est-on pour autant en vacance? Et le défunt, celui qui a quitté ses fonctions, est il en vacance? La mort n’est-elle pas, au fond, la plus idéale des vacances? Un poste vacant est-il de tout repos? Et comment celui qui a dit “jusqu’à quand vous supporterai-je, race de vipère” a -t-il pu dire “Père, pourquoi m’as-tu abandonné”? Mais, cher André, en écrivant cela j’entrevois une interprétation originale. J’y reviendrais donc. En attendant je m’émerveille devant ce “miracle”: jouir d’un revenu après une retraite bien méritée!
Excellent article. Je me suis souvent également posé cette question. Pourquoi la gauche en général essaye-t’elle systématiquement de réduire, voire détruire, toutes les valeurs qui font notre succès. Il me semble que la première raison tient dans le fait que les élus et les sympathisants de gauche sont issus en majorité des milieux de l’enseignement, des arts, des bobos bien-pensants dont la fonction n’a pas pour but de créer de la richesse. Il est révélateur de constater que les milieux ouvriers sont plus réalistes et non soumis au politiquement correct. Quand on doit faire bouillir la marmite, on redevient très rapidement paragmatique
La deuxième raison est à trouver dans les médias, à large majorité suitant la bien-pensance et le politiquement correct, et dont la tâche principale est de dénoncer les riches, les patrons, ceux qui ont réussi, les banques avec ces sales traders, et surtout ceux qui osent mettre sur la table la spécifité de la richesse des différentes cultures, et qui refusent de se vautrer dans le langage simplet qui nous obligerait à gober tout cru le mélange de tout, la richesse du métissage, et l’acceptation que tout seul, on ne vaut plus rien. La cerise sur le gâteau étant la volonté non avouée de rentrer dans ce foutoir européen, un peu comme si on jouait au casino, et que l’on place tous ses jetons en une fois sur un numéro aléatoire.
Heureusement il reste encore dans ce pays des citoyens qui refusent découter ce diabolique chant des sirènes… La question est, malheureusement, pour combien de temps encore……
Félicitations toutes spéciales pour la qualité de cette chronique qui souligne l’aspect néfaste du socialisme actuel, le socialisme de classe caviar qui entend moraliser et surtout diriger le troupeau de moutons, bouches ouvertes recevant l’entonnoir de l’Etat-providence, en écoutant ici et là avec émoi l’hymne funéraire de l’oppression, l’Internationale!
La Suisse mérite mieux que la destruction mégalomaniaque de certain pseudo-sociologue universitaire qui a terni son image durant des décennies. La Suisse a ses défauts, mais globalement la Suisse fait bien mieux que les autres nations et, au passage, elle a l’outrecuidance de réussir! Oh scandale!
Pourquoi réagit-on si peu à une telle situation? Telle est votre question. Parce que l’illusion du bonheur socialiste anesthésie une population programmée pour l’assistanat, l’asservissement nourricier au détriment de la réflexion, une population encore trop immature tant elle est formatée à la Pensée unique. L’auto-flagellation est en marche! La culpabilisation constitue la pilule forcée pour ces travailleurs avachis par ce socialisme dictatorial qui ne sait que critiquer en opposition et vider les caisses en action.
Le capitalisme dans sa version néo-libérale est le fossoyeur de la planète. Le capitalisme raisonnable demeure le système le plus proche de l’Homme vivant dans une société dans laquelle le ver dans la pomme, la souris dans le fromage, sont bannis.
Population suisse, sors de ta léthargie!