Et maintenant ils veulent destituer Trump

   
Michel Garroté - Le journaliste américain (très à gauche) Robert Kuttner a tout récemment écrit, sur le 'Huffington Post' américain (cf. lien en bas de page) : "Donald Trump sera destitué, mais quand ?" (The Inevitability Of Impeachment).
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Dans son article-torchon, Robert Kuttner se livre à une diatribe haineuse et hystérique envers Trump, sans toutefois détailler les moyens juridiques qui, selon lui, devraient permettre de destituer le président américain. Le journaleux prétentieux Robert Kuttner évoque, certes, les moyens de destituer Trump, mais il ne les développe pas de façon crédible.
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Ce qui prédomine dans son article, c'est la haine et l'hystérie. Robert Kuttner procède, comme procèdent, en France, les Pieds Nickelés du 'Monde' et de 'Libération'.
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Leur technique consiste à s'allouer, une soi-disant compétence et une soi-disant indépendance, dans le seul but de faire du journalisme ultra-militant, très orienté à gauche. Ce n'est donc pas Donald Trump qu'il faudrait "destituer", mais plutôt le clown sectaire Robert Kuttner...
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.huffingtonpost.com/entry/the-inevitability-of-impeachment_us_588e8d52e4b0b065cbbcd09f
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La Turquie menace de laisser les migrants déferler si l’UE n’accorde pas la libre circulation aux Turcs

Le ministre turc aux Affaires européennes s'est déclaré pessimiste, vendredi, quant à la levée des visas pour les Turcs d'ici juin. Point de discorde de cet accord entre Bruxelles et Ankara, la loi antiterroriste qu'Erdogan refuse de modifier.

L'accord sur la levée des visas pour les ressortissants turcs est dans une impasse et la Commission européenne doit trouver une nouvelle formule pour régler cette question, a déclaré, vendredi 13 mai, le ministre turc aux Affaires européennes, Volkan Bozkir.

"Je ne suis pas très optimiste sur l'issue des discussions que nous avons eues aujourd'hui à Bruxelles. Il est essentiel que l'Union européenne trouve une nouvelle formule", a-t-il alerté, face à la presse, au terme d’un entretien à ce sujet avec le commissaire européen à l’Élargissement, Johannes Hahn.

Le gouvernement turc a fait savoir à plusieurs reprises que, sans exemption de visa, l'accord conclu le 18 mars pour réduire l'afflux de réfugiés en Europe ne pourrait être appliqué.

Le gouvernement turc estime qu'"il ne peut pas" céder sur le terrorisme

L'UE, qui réclame une révision de la définition turque du terrorisme, reproche à Ankara de l'utiliser contre l'opposition et la presse. Le président Recep Tayyip Erdogan a de son côté critiqué jeudi "l'hypocrisie" de l'UE, refusant une modification de la loi antiterroriste. Le gouvernement turc la juge indispensable pour combattre les séparatistes kurdes et les jihadistes de l’organisation État islamique.

"Chaque pays a des choses sur lesquelles il peut céder et des choses sur lesquelles il ne peut pas le faire", a rappelé le ministre. "La Commission (européenne) doit aider la Turquie pour que l'on puisse surmonter" le différend entre les parties, a-t-il poursuivi, estimant que la loi anti-terroriste turque n'est "pas pire" que celles appliquées dans d'autres pays.

"Nous pensons que toutes les institutions de l'Union européenne doivent saisir combien la situation actuelle est critique", a ajouté Volkan Bozkir, alors que huit soldats turcs ont été tués tôt vendredi lors d'une opération militaire dans le sud-est de la Turquie contre les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), en lutte armée contre les forces d'Ankara depuis 1984.

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