Iurie Roşca : “Un tsunami vient de l’Ouest, doux comme le miel, mais qui tue comme le poison”

Un lecteur nous a proposé de publier :

Iurie Roşca est l’ancien vice-premier ministre et vice-président du parlement de la Moldavie, pays charnière et stratégique de 3,5 millions d’habitants situé entre l’Ukraine et la Roumanie. Journaliste de profession et star de la télévision moldave, Iurie Roşca est, selon les propres termes d’Alexandre Douguine, “un promoteur actif de l’identité moldave”.

Lors de son récent séjour à Paris, cet auteur politique majeur du pays, ami du président moldave, porte un regard acéré sur les 25 années d’indépendance de la Moldavie. Il développe une pensée qui prend acte de l’échec du communisme mais aussi du libéralisme. Comme Soljénitsyne, il affirme que le communisme et le capitalisme représentent deux visions mortifères du monde. Il exprime les nouvelles aspirations de son peuple et sa propre conception du monde basée sur le conservatisme.

https://youtu.be/f4hWWfNr8xM?t=

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Tout comme ceux qui ont accueilli les occupants soviétiques en 1940 avec des fleurs et des applaudissements sont considérés comme des collaborationnistes et des traîtres, ceux qui posent des tapis rouges et adorent les investisseurs étrangers méritent le même traitement.

La différence entre les deux types d’envahisseurs est minime. Elle tient seulement de moyens, pas de buts. Si les occupants soviétiques avaient utilisé la force des armes, ceux d’aujourd’hui utilisent les armes de logiciel, économiques et financières, les uns et les autres ayant le même objectif : l’asservissement de la population locale et le pillage de ses richesses nationales.

Il est vrai que les impérialistes économiques d’aujourd’hui mettent en œuvre et l’ingénierie sociale, visant à anesthésier le pouvoir de discernement des peuples conquis. C’est pourquoi, l’identification de l’agresseur était beaucoup plus facile lors de l’invasion soviétique : la présence des chars, des troupes militaires, des corps de répression, la nationalisation, les déportations, les massacres étaient si évidents que tout le monde comprenait que c’étaient des occupants.

Mais le nouveau type de colonialisme a cependant une propriété qu’il faut la retenir. Avant d’envahir un territoire, il entreprend un bombardement médiatique (remplaçant le bombardement de l’avion d’autrefois), une attaque d’artillerie (mais pas une classique, comme il était une fois), manifestée par la colonisation de la conscience collective à l’aide de la culture de masse, l’induction de l’état fascinant pour le « rêve américain » et l’attractivité de la société de consommation. Et quand les aborigènes sont suffisamment traités psychologiquement, jusqu’à la perte de la conscience de soi (une nouvelle sorte de mankurtisation) et à l’instinct de conservation, cela compte moins qui est au pouvoir. Parce que n’importe quel gouvernement applaudit à scène ouverte les « sauveurs » descendus « sur le terrain » comme des loups en peau de mouton.

Encore une fois, si nous éprouvons un véritable mépris pour les collaborateurs du régime soviétique, pourquoi nous apprécions les nouveaux collaborationnistes du régime d’occupation en « style occidental », portant la même étoile à cinq branches sur le drapeau, seulement celui communiste était rouge, et celui d’aujourd’hui est bleu ? Il n’y a qu’une réponse. Par ignorance ou, en parlant délicatement, par erreur de perspective. Car alors le torrent d’origine étrangère venait de l’Est et il était violent, et maintenant un autre tsunami vient de l’Ouest, qui est doux comme le miel, mais qui tue comme le poison.

Celui qui a des yeux pour voir, verra. Et qui non, il sera dans une situation comme dans le vieil adage roumain : on montre à l’imbécile la lune, et il regarde le doigt.

Source

Refuser le tsunami migratoire : une question de survie…

Par Robert Albarèdes

 

« Stultorum  numerus  infinitus  est  » disait – à peu près – un proverbe latin » ( « Le nombre des sots est infini » – NDLR)…

C’est à cet adage que l’on pense quand on lit, ici ou là, que nombre de nos compatriotes seraient prêts à accueillir les vagues migratoires actuelles, non désirées et sans motivation aucune hors  celle de venir se gaver de notre assistanat social, compatriotes obéissant aveuglément à la caste politicienne qui les manipule à des fins de mondialisation financière, politique et sociétale, comme à la posture papale chargée de faire avaler par les ouailles bêlantes le breuvage « charitable » qui va les empoisonner…

Car , à propos de ces centaines de milliers de migrants, dont les flux sont ininterrompus parce que programmés par des réseaux mafieux et/ou islamiques (on se demande d’ailleurs pourquoi, au nom de l’oumma, ces musulmans n’envoient pas leurs frères  dans les pays du Golfe :en fait, on ne se le demande pas, on le sait!), ces Français autochtones ont-ils réfléchi deux secondes?

Ces  milliers, milliers et milliers d’hommes (malgré les montages télévisuels voulant imposer les images d’ensembles « familiaux », il s’agit essentiellement d’hommes…) arrivant sans y avoir été invités (et sans que l’avis du Peuple n’ait été demandé, ce qui serait une simple application de la démocratie dont certains se gargarisent pour mieux la nier !) et s’installant à leurs aises, cajolés par des associations parasites gavées d’argent public, ils vont faire quoi?

Travailler où et pour qui? Il y a actuellement 6 000 000 de demandeurs d’emploi, sans compter les emplois partiels et les précaires..(1).C’est 1 million de plus en 2,5 années de gestion socialo-hollandienne… Pour créer des emplois, il faut un minimum de 1,5 point de croissance, et encore…Même si l’ascension vertigineuse de la courbe du chômage était arrêtée, ce serait à un niveau tel que ce dernier serait une endémie inguérissable…Et les socialos (qui représentent à peine 15% de l’électorat) continuent à imposer leur politique migratoire néfaste…

Ils vont se loger où? Le logement social est insuffisant, et ce n’est pas près de s’améliorer,  les listes de demandeurs sont longues dans toutes les mairies de France…alors, les travailleurs, jeunes et moins jeunes, de notre pays devront-ils renoncer à leur droit au logement social pour laisser la place à ces masses informes d’arrivants? Eux qui bossent, payent des impôts et des taxes, qui cotisent régulièrement?

Ils vont se soigner comment, ces centaines de milliers d’arrivants qui n’ont jamais travaillé ici, jamais cotisé un centime, jamais suivi  une politique sanitaire de prévention, et qui sont porteurs de maladies que notre civilisation a fait reculer, voire disparaître? Avec l’argent de nos impôts, de nos taxes, de nos cotisations…qui ne permet même pas de combler le gouffre actuel de la « Sécu »?

Comment vont-ils satisfaire les besoins de vie que demande toute vie humaine, et particulièrement, que vont-ils répondre à leur question: « on baise quand et avec qui »? Faut-il développer ici, ou renvoyer les « grenouilles du bénitier charitable » à des lectures qu’elles auraient dû faire?

Et qui peut croire que ces populations acculturées, ignorant aussi bien notre langue que nos moeurs, nos principes démocratiques et laïques, nos valeurs d’humanité, d’égalité des individus comme des croyances, vont accepter de se plier « gentiment »  à ce qui leur est largement étranger…

Et qui peut croire que des populations déracinées et aux modes de vie fort éloignés des nôtres , à l’identité historique totalement opposée à la nôtre, vont se répandre dans notre société en en respectant les lois et les règles… Elles sont, par situation même, créatrice de délinquance quotidienne…

Et qui peut croire que dans ces populations, téléguidées par les réseaux islamiques et mafieux (qui assurent leur transfert moyennant de fortes sommes d’argent qui aliènent les migrants illégaux à ceux qui les « drivent »), il n’y a pas moult terroristes islamiques en puissance, moult terroristes islamiques qui ont été actifs dans le pays d’où ils arrivent, moult prosélytes islamiques destinés à miner notre substrat sociétal?

Rien ne justifie l’accueil de ces vagues incessantes d’individus dont l’implantation forcée sur notre sol conduira, nécessairement, à l’explosion du communautarisme culturel et cultuel, islamique surtout, et à l’affrontement inéluctable avec la population historique de notre pays… tout en creusant le déficit public par l’assistanat social qui leur est consenti !

Rien, sinon la volonté mondialiste des oligarchies financières apatrides et de leurs représentants politiques de Bruxelles de tuer les Nations et le Peuples de ces Nations …sinon la politique menée par la caste prébendière socialiste en place (et celle de ses prédécesseurs , celle des duettistes Sarkozy et Juppé …) qui est de détruire l’unité de notre société en imposant un multiculturalisme communautariste et en implantant en France, par la force et l’argent public, cette pseudo religion qu’est l’islam, instrument premier de leurs visées politiciennes malfaisantes.

Le nombre des sots est infini, oui…  Car il faut être « sot » pour ne pas mesurer les dangers de ce que nous subissons par la seule volonté d’une caste politicienne minoritaire et manipulatrice.

Mais, en même temps, on se dit que de fortes oppositions sont en train de se construire dans notre pays, que les yeux de ceux qui se sont laissé berner par le Sarkozy comme par le Hollande, s’ouvrent et qu’ils  ne se laisseront pas berner par le Juppé ou « la gôche » de la « gôche » dont on sait qu’ils approuvent largement cette immigration tous azimuts et qu’ils sont attachés au multiculturalisme comme à l’islamisation de la France.

Il convient, maintenant, de donner à ces « fortes oppositions » la consistance politique qui les fera se concrétiser par la victoire électorale…

Et l’étape de décembre 2015 sera primordiale.

Robert Albarèdes

Source RL