Avenir Suisse propose d'abord d'instaurer un examen de la validité des initiatives par la Chancellerie fédérale avant la récolte de signatures. Il s'agirait ensuite d'augmenter le nombre de signatures à 4% du corps électoral, soit 210'000 signatures contre 100'000 actuellement.

Lukas Ruehli, Gerhard Schwarz et Tibère Adler, soit la tête d'Avenir Suisse, devant la presse à Zurich ce 7 avril.
Il faudrait aussi introduire un référendum obligatoire sur la législation de mise en oeuvre des initiatives. Elle permettrait d'éviter les manoeuvres tactiques lors de la concrétisation d'une initiative, estime Avenir Suisse.
Source