Genève: 320 élèves assistent à une pièce de théâtre pro-migrants et anti-UDC.

320 élèves genevois ont assisté aux représentations de la pièce Babel 2.0 sur le thème de la migration. L'UDC dénonce une «propagande pro-migrants» virant au «délire anti-suisse».

Dans une question écrite urgente adressée au Conseil d'Etat genevois, le député UDC Stéphane Florey dénonce une «propagande pro-migrants» virant au «délire anti-suisse». «L'école genevoise de l'intégration et du multiculturalisme met les nerfs des parents à rude épreuve, qui déplorent, impuissants, l'endoctrinement post-soixante-huitard dont sont victimes les enfants», annonce-t-il en préambule.

La raison de son courroux? La représentation d'une pièce de théâtre jouée par une vingtaine de réfugiés et requérants d'asile à laquelle ont assisté des élèves du Collège et Ecole de commerce André-Chavanne, le 25 janvier dernier.

«Sur scène, les migrants se sont plaints de leurs conditions d'hébergement en abris PC, de la qualité des repas. Bien sûr que ce n'est pas drôle, mais en même temps ils sont nourris et logés», déclare Stéphane Florey au Courrier.

Question sur le vote UDC

Le député n'a pas assisté à la pièce, il ne connaît d'ailleurs pas son titre, mais a recueilli les doléances d'un élève et de ses parents (ndlr: sollicités, ils n'ont pas souhaité témoigner directement). Et visiblement ce qui les a surtout choqué, c'est lorsqu'il a été demandé aux élèves de se lever s'ils avaient quatre grands-parents d'origine suisse.

«Puis on leur a demandé qui parmi eux votait ou était issu d'un famille votant UDC», affirme encore Stéphane Florey, dénonçant à la fois une stigmatisation des Suisses et une chasse aux sorcières.

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Nos remerciements à Info

Théâtre : des Africains parviendront-ils à « brouter » (voler) une Suissesse ?

Christian Hofer: Libération arrive à prétendre que les Blancs sont racistes alors qu'ils sont victimes d'une telle arnaque. Une escroquerie qui démontre un racisme anti-Blancs écœurant puisqu'il vise a assécher économiquement un Européen crédule, jusqu'à le détruire. N'attendez pas les pleureuses des droits de l'homme et autres justiciers de pacotille pour s'en émouvoir: le Blanc est un salaud, et même volé par un Africain, il reste coupable.

Bien entendu, pour ce journal d'extrême gauche, l'excuse est toute trouvée: le colonialisme. Il n'y a visiblement personne pour leur rappeler que la Suisse n'a pas eu de colonie et que notre pays a contribué à hauteur de dizaines de milliards de francs à l'aide économique en Afrique pendant des décennies.

Il faut que le fantasme du "Blanc raciste" perdure, même devant les arnaques répugnantes dont les Africains sont responsables. Ainsi on leur donne toute légitimité d'haïr le Blanc, d'abuser de ses largesses, de violer ses femmes, d'agresser: absolument tout leur est dû, tout leur est excusé par avance.

Dès lors, on comprend mieux la minimisation de la criminalité de ces migrants dans nos contrées.

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Harangues, palabres, plans drague plus ou moins louches : au Tarmac, à Paris, la pièce de Marielle Pinsard se joue des codes amoureux de l’argot ivoirien.

Fruit d’une enquête de terrain menée entre Brazzaville, Cotonou et Abidjan, ce petit précis des nouveaux rapports amoureux n’évoque jamais Tinder ou d’autres applis de rencontres, pourtant devenues le passage obligé du dating dans les capitales occidentales. Quid du romantisme et des sentiments? Pour toute une génération d’Afrique de l’Ouest, ce sont la corruption et les conflits armés qui ont redéfini l’intimité. Si l’on a certes besoin de chaleur humaine, c’est d’abord l’argent qui manque, d’où le recours aux arnaques sur Internet – le «broutage» -ou dans la rue. Plumer les Blancs et se faire entretenir, c’est aussi, disent-ils, s’affranchir d’une dette coloniale. 

Tout est bon pour ferrer l’Européen, même le marabout et le gri-gri.

 

Si elles ne sont pas très éloignées d’une forme de tourisme sexuel ou de prostitution, les recettes de cette parade amoureuse évoquées avec gouaille et sourire enjôleur aux lèvres signalent en tout cas un rapport inégalitaire entre les partenaires, souvent sous-tendu par le racisme. [...]

Libération via Fdesouche.com

Nos remerciements à Didier S.

“Pièce de théâtre” : Pendant que les islamistes tuent à Paris, les gauchistes insultent les Chrétiens à Lausanne

C'est à 19h30, alors que la représentation de la pièce («Sul concetto di volto nel figlio di Dio», de Roméo Castellucci.) venait de commencer que les manifestants ont commencé à prier, bougies allumées, à côté de la salle de théâtre. A l'origine de leur courroux, une scène scatologique avec un vieux grabataire incontinent et la figure du Christ en toile de fond.

Directeur du Théâtre de Vidy, Vincent Baudriller a une autre lecture de la pièce qui suscite la polémique depuis sa création en 2011 et a engendré des manifestations dans plusieurs villes où elle a été jouée. «Cette pièce est un symbole de la liberté d'expression», argumente-t-il.

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