Désormais, le droit à l’autodéfense armée est inscrit dans la constitution tchèque

Cenator: Alors que le peuple suisse s'est plié préventivement et a durci ses lois sur les armes, rien qu'à l'idée de déplaire à l'Union européenne (bravo la RTS!), les Tchèques, tout en étant membres de l'UE, non seulement refusent de durcir leurs lois, - déjà les plus permissives d'Europe- , mais inscrivent le droit à l’autodéfense dans la constitution .
Quel pays sympathique!

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La chambre haute du parlement tchèque, le Sénat, a approuvé mercredi l'extension de la liste des droits de l'homme, qui fait partie de la constitution, avec un paragraphe stipulant qu'« un citoyen a le droit de protéger sa propre vie et la vie d'autrui aux termes de la loi ».

L'amendement à la constitution a déjà été approuvé par la Chambre des représentants, la chambre basse du parlement, et seul le chef de l'État doit le signer avant qu'il puisse entrer en vigueur.

Puisqu'il s'agit d'une loi dite constitutionnelle, le président ne peut pas y opposer son veto.

"L'amendement constitutionnel est une réponse aux efforts de l'Union européenne pour renforcer le contrôle des armements", a-t-il déclaré lors d'un débat au Sénat. Selon les initiateurs de la proposition, la République tchèque empêchera le droit de posséder des armes d'être restreint par une loi inférieure, tout en renforçant la position de négociation du gouvernement tchèque vis-à-vis de l'Union européenne.

"La proposition n'est pas seulement symbolique, elle peut aussi être une garantie pour l'avenir", a déclaré le sénateur civil-démocrate Martin Červíček. Il a souligné que les tendances à restreindre la possession d'armes se développent dans l'Union européenne.

- Désarmer la population n'apporte pas une plus grande sécurité, car les criminels peuvent obtenir des armes illégalement

a souligné Červíček.

Pour modifier l'article constitutionnel, les règles en vigueur exigent le soutien d'au moins les trois cinquièmes des députés et des sénateurs dans les deux chambres du Parlement, ce qui a été le cas ici. En République tchèque, les efforts de l'Union européenne visant à restreindre la possession légale d'armes en référence à la lutte contre le terrorisme se sont heurtés à une forte opposition. La pétition de rejet, qui a maintenant conduit à un amendement à la constitution, a été signée par plus de cent mille personnes. Selon les registres de la police, quelque 310 000 personnes en République tchèque sur 10,7 millions ont un permis d'armes.

source: https://magyarnemzet.hu/kulfold/bekerul-a-cseh-alkotmanyba-a-fegyveres-onvedelemhez-valo-jog-10107749/

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Suisse: votation du 19 mai 2019 - Loi sur les armes: l’âme du pays réside dans les banlieues

Carte des résultats - image en avant

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Une ONG financée par Soros réclame la démission du Premier ministre tchèque Andrej Babiš

Par Alimuddin Usmani.
Tchéquie – La Commission européenne a récemment rédigé un rapport d’audit concernant le Premier ministre tchèque Andrej Babiš qui est accusé par ses adversaires d’avoir été mêlé à un conflit d’intérêts. Lui réfute vigoureusement ces accusations. La Commission européenne travaille également à un deuxième audit concernant des subventions agricoles.
L’ONG Transparency International (TI) en a profité, ce lundi, pour appeler à la démission du Premier ministre tchèque. Selon l’ONG, ce dernier aurait détourné des subventions et le rapport de la Commission européenne serait définitif et accablant. Pourtant, une enquête close en septembre avait permis au parquet de Prague de laver de tout soupçon le Premier ministre sa famille dans l’affaire des subventions agricoles.
Si la presse est abondante sur les détails de ces affaires, d’autres éléments permettant de comprendre la situation de tension en Tchéquie ne sont pas rapportés. Il en est ainsi des forces actives dans la formulation des attaques contre Andrej Babiš. Notons par exemple que parmi les donateurs de l’ONG Transparency International, dont le siège social se trouve à Berlin, on retrouve des acteurs étatiques, tel que le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, mais également l’Open Society Foundation de George Soros qui a notamment financé de nombreuses révolutions colorées à travers le monde et s’insurge contre la politique restrictive de l’immigration pratiquée par les pays d’Europe centrale (Tchéquie, Pologne, Slovaquie, Hongrie en particulier).
Selon l’avocat français Bernard Carayon, « l’ONG n’est une organisation indépendante ni financièrement ni culturellement ». Son existence est effectivement due à des fondations et des multinationales anglo-saxonnes, ainsi qu’à des institutions gouvernementales américaines. En somme, une organisation qui défend avant tout des intérêts de tendance atlantiste et libérale.
Il y a quelques jours, le Premier ministre tchèque réaffirmait sa politique de fermeté vis à vis de l’immigration : « Je ne vais pas parler d’immigration. Nous avons refusé de négocier sur cette question en 2018 et nous n’allons pas céder. Point barre. L’immigration illégale est tout simplement inacceptable et c’est la même chose concernant l’idée de réactiver les quotas et la tentative de répartition des réfugiés. »
Le Premier ministre tchèque Andrej Babiš est accusé de conflit d’intérêts dans deux affaires de subventions européennes. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Andrej Babiš, milliardaire et homme d’affaire prônant une approche entrepreneuriale de la politique, fait face à des mouvements de manifestations de gauche libérale qui exploitent ces accusations, et est la cible des réseaux d’influence liés à George Soros, promoteur de la « société ouverte » et de l’immigrationnisme.

Les Tchèques autorisés à tirer en cas d’attaque terroriste. Un texte qui va à l’encontre des directives européennes!

Les députés tchèques ont approuvé mercredi un amendement constitutionnel autorisant les détenteurs légaux d'armes à feu à en faire usage pour défendre la sécurité du pays, par exemple en cas d'attaque terroriste. Ce texte va à l'encontre d'une récente directive européenne, mal accueillie à Prague, qui vise à renforcer le contrôle des armes à feu.

«Ni personne, ni les institutions supranationales et intergouvernementales, n'ont le droit de dicter à un Etat souverain et démocratique comment assurer sa défense et sa sécurité», a affirmé une co-auteure du texte, Jana Cernochova, du parti d'opposition de droite ODS.

«Nous ne voulons pas désarmer nos citoyens au moment où la situation en Europe empire en matière de sécurité», a affirmé M. Chovanec mercredi devant les députés. «Montrez-moi une seule attaque terroriste en Europe perpétrée par une arme légalement détenue», a insisté le ministre, qui avait annoncé plus tôt ce mois-ci que Prague allait prochainement déposer une plainte auprès de la Cour de Justice de l'UE contre ces nouvelles règles européennes.

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Contre l’invasion, plusieurs centaines de Tchèques dans les rues de Brno

Plusieurs centaines de Tchèques ont manifesté une nouvelle fois contre l’invasion et particulièrement contre la politique des « quotas » que veut imposer l’Union européenne (UE). Les groupes nationalistes et patriotes dénoncent la volonté des autorités européistes d’imposer 40 000 prétendus « migrants », actuellement en Italie et en Grèce à travers l’Europe.

Le chef du Parti des travailleurs pour la justice sociale (Dělnická strana sociální spravedlnosti), Mgr Tomas Vandas, a rappelé qu’il ne s’agissait pas d’accabler les Italiens et les Grecs, mais au contraire d’obtenir que les peuples européens renvoient les envahisseurs d’où ils viennent.

La manifestation s’est déroulée le 26 juin, le jour de l’un des pires drames de l’invasion de ces dernières années, l’attaque barbare d’un tueur islamiste en France.

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Samedi dernier, lors d’une autre action, plusieurs milliers de Slovaques étaient descendus dans la rue de Bratislava pour dire non aux attaques de « migrants » contre l’Europe. Les dernières propositions de l’UE sont que 471 colons actuellement en Italie et 314 autres en Grèce doivent être envoyés en Slovaquie. Les autorités ont brutalement réprimé la fin du rassemblement, arrêtant environ 140 personnes.

« Je vous souhaite une belle journée blanche… Nous sommes ici pour défendre la Slovaquie », avait lancé Marian Kotleba, gouverneur nationaliste de la région de Banska Bystrica et chef du Parti populaire Notre Slovaquie (ĽSNS, Ľudová strana Naše Slovensko).

« Multiculturalisme = génocide », proclamaient notamment les banderoles déployées par les patriotes.

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