Pourtant défenseur du français et parfait bilingue, ce dernier se défend de vouloir affaiblir la deuxième langue nationale: «La méthode d’apprentissage introduite à Berne il y a trois ans est basée sur le constructivisme. Les élèves n’apprennent ni la grammaire, ni la syntaxe, c’est la compréhension qui compte.
Dans ce contexte, c’est impossible de comparer le niveau de connaissances des élèves et de les sélectionner sur cette base pour la suite de leur scolarité.» Des examens basés sur la compréhension, mission impossible? «Les professeurs n’ont pas les outils. Ça leur prendrait cinq à six heures de travail et ils n’ont pas le temps!»
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