Si vis pacem, para bellum

Il y a quelques années, encadrant à la RATP, encore en activité, j'étais resté naïf. J'ai longtemps cru à cette époque, en tant que responsable syndical, dans les réunions de travail, que le déni de l'islam que j'entendais dans les discours syndicalistes de la CGT, SUD, CFDT, FO-culs", et autres CFTC et UNSA, venait d'une ignorance des réalités.

Ces responsables syndicaux ne savaient pas. Forcément, ils ignoraient ces andouilles ! Alors bonne pâte, je leur disais bêtement de descendre de leurs  bureaux pour aller voir ce qu'il se passait en bas de l'échelle, sur le terrain, dans les Centres Bus, les lignes de Métro et le RER. Je pensais naïvement qu'ils ne savaient pas les demandes religieuses (halal, salles de prière, repos le vendredi, etc.). L'andouille c'était moi !

En politique, comme Conseiller Municipal, proche des Ceccaldi-Raynaud, et des amis de Sarkozy, Balkany et autres Bertrand et Karoutchy, je disais le danger de l'islamisation dans les entreprises. On m'écoutait d'un derrière distrait. Tous ces braves gens vivaient ailleurs, dans un autre monde, utilisaient des réseaux insoupçonnés, avaient des relations pour mettre leurs enfants dans les bonnes écoles privés de Neuilly, ou d'ailleurs, bien éloignées de l'école publique, y compris avec des enfants de socialistes. Eux aussi savaient. Là encore, j'étais l'andouille.

Instruit de mon expérience syndicale, j'ai compris plus vite qu'ils savaient tout et qu'au fond, ils s'en moquaient n'étant pas concernés. Eux choisissaient leurs hôpitaux, se faisaient soigner par les meilleurs, ne faisaient pas la queue aux urgences, et ne côtoyaient pas les "sans dent" et surtout pas la foule innombrable de la population immigrée.

L'immigration devint un tabou, l'islam devint un sujet électoral. Il fallait se mettre bien avec la communauté musulmane.  C'est ainsi que je fus mis à l'écart du fait de mon discours. Puis que on me demanda de cesser d'écrire sur mon blog islamophobe. J'ai refusé, et ce faisant, j'ai fini par quitter cette classe politique corrompue par les intérêts électoraux à court terme.

Que d'années perdues à penser que les responsables syndicaux, les Maires, les Conseillers, les instances où j'avais accès, étaient victimes de leur ignorance sur les dangers de l'islam. Je mesure ma naïveté, ma bêtise à l'aune de ces années où je tirais la manche de certains, glissais dans l'oreille d'autres, qu'il serait bon de réaliser et d'agir contre l'islamisation de notre pays.

Puis vint le temps où j'aurais basculé chez les fachos ont-ils dit ! Dans l'extrême droite pour mieux vous effacer, nier vos alarmes, et refuser votre conscience patriote. Pour vous détruire à petit feu. Je suis alors redevenu Conseiller, sous les couleurs du Front National, et je fus atterré par la phrase de Marine Le Pen sur "l'islam compatible avec les lois de la République". Ce fut un grand moment de solitude. Le temps des doutes, le temps des interrogations, celui des abandons. Peut-on continuer à s'appuyer sur des élites aussi peu fiables que ces responsables ? Qu'ils soient syndicaux ou politiques ? Peut-on faire confiance à ces partis politiques qui au fond, se moquent des citoyens et des militants, et ce, à tous les niveaux et de toutes obédiences ? J'en suis là !

Que d'années perdues à hurler dans le vide ! Pourtant, c'est durant ces années que j'ai pu rencontrer des femmes et des hommes d'excellence. Que j'ai rencontré Pierre Cassen, pour qui j'ai une profonde amitié et admiration. Il m'a ouvert les portes de Riposte-Laïque, et cela fait déjà 9 ans. C'est dans ces années-là, que j'ai eu la chance de croiser des femmes et des hommes d'exceptions dans cette mouvance de la Résistance, des contributeurs qui écrivent, font des conférences, analysent et continuent de croire en la France, cette France que nous aimons et que nous refusons de voir s'anéantir dans une sorte de Landers allemands et finir par se noyer dans une Europe liberticide.

Ces années perdues en fait, sont devenues des années d'apprentissage, une accumulation de richesses diverses ou j'ai pu, par exemple, en tant qu'agnostique, échanger avec des "catho-tradis" qui n'étaient pas au départ, ma tasse de thé. Nous étions différents certes, mais nous avions une certitude partagée: l'amour de notre pays, de ses traditions, de son histoire millénaire et nous savions qu'ensemble, nous mènerons un combat contre ceux qui souhaitent sa mort lente.

C'est bien d'un combat qu'il s'agit. Nous nous battons avec des mots, des articles, des idées, tandis qu'en face, chez les islamo-collabos de droite comme de gauche, ils nous combattent à coup de procès, d'interdictions, d'insultes, de négations de notre pensée souverainiste, et nous menacent de la prison comme Pierre Cassen, voire veulent emprisonner Sébastien Jallamion, ce policier victime de sa liberté d'expression, de sa franchise, son honneur, et qui fût dénoncer par unecollègue collabo du système.

Les forces sont disproportionnées ! Face aux débats, à nos revendications, c'est la violence judiciaire qui est appliquée. Face à nos interrogations, c'est la délation qui est mise en place et favorisée. C'est bien une sorte de dictature qui s'impose aux patriotes tandis que l'on explique aux citoyens, qu'ils doivent s'habituer aux attentats, aux morts, aux blessés graves et que c'est bien mieux de répondre par les bougies, les fleurs, les larmes de crocodiles et les commémorations annuelles. Les pacifistes d'avant guerre sont de retour.

Ce serait donc "humaniste", voire intelligent d'affirmer comme ce père indigne, en réponse à l'assassinat de son fils "qu'ils n'auront pas ma haine". Qu'en penserait son fils ? De quel droit peut-il affirmer cette horreur. La colère, la vengeance, la haine sont des réactions humaines normales. Quel genre de père peut dire que les assassins n'auront pas, sa peine, sa colère, sa vengeance, sa haine? Quel genre de mères et de pères, sont ceux qui approuvent cela, devant la mort de son enfant, son assassinat !

Il faut nous disent les politiques, incapables d'assurer notre sécurité, que les citoyens s'habituent à la mort de leurs enfants, de nos parents, de nos amis, de nos amours. Assurément, les ordures islamistes, les terroristes, en écoutant cela, voyant nos réactions de moutons prêts à l'abattoir, vont bien sûr renoncer à leur violence, cesser de nous agresser à coup de couteaux, de trancher des têtes, de faire exploser des voitures !

Si vis pacem, parabellum ! Pour vivre en paix, prépare la guerre ! Mais nous avons des politiciens acheté par le Qatar, vendus à l'Arabie Saoudite, impliquer dans le grand remplacement, ayant signé des accords avec l'OCI, l'ONU et autres supplétifs de l'islam, qui sont devenus incapables d'arrêter cette machine infernale de l'islamisation de l'Europe, comme ce fut le cas pour l'Empire Perse et celui de Byzance. Suivi par l'Afrique du Nord. Ce sont les politiques au sommet de ces pays et Empires qui auront trahis leurs peuples. Sans ces trahisons, les peuples auraient vaincus cette engeance islamique mortifère.

C'est Rome, le Vatican qui devrait alerter le monde Chrétien. C'est le Pape François qui appelle à l'islamisation de l'Europe, à travers son appel à recueillir des milliers de musulmans, qui feront bientôt des millions de croyants doctrinaires, par le jeu du regroupement familial.

Il y a des jours, rarement heureusement, où je regrette ma naïveté d'autrefois ! Que j'envie les simples d'esprits, ces Français lobotomisés, ces citoyens inconscients, aidés par les idiots utiles du pouvoir, car le royaume des cieux leur appartient !

Matrix est un film de fiction, pas besoin de choisir entre deux pilules, nous avons celle que nous avalons chaque jour. Elle est amère, quasi vomitive. Jusqu'à quand les peuples vont-ils accepter de renoncer à eux-mêmes, sans se battre, et défendre leur liberté et leur culture. Un grand chapeau bas en passant, aux identitaires pour leur action sur une association complice de l'islam!

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Gérard Brazon

Témoignage de Ghislaine sur la RATP : comment ils ont islamisé l’entreprise. [vidéo]

Ghislaine Dumesnil, conductrice de bus à la RATP, était l’invitée de Henri Dubost, sur Radio Courtoisie. Pendant près d’une heure, en présence de l’Abbé Guy Pagès, elle répond, à toutes les questions de l’animateur. Elle décrit le mécanisme qui a amené la direction de la RATP à mettre en place un processus de lente islamisation de la régie. Ecoutez :

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Mahomet au volant, la charia au tournant : livre-choc contre les barbus de la RATP

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Juste un an après les attentats de Charlie Hebdo, les éditions Riposte Laïque vous proposent un témoignage choc d'une machiniste de la RATP, Ghislaine Dumesnil, qui signe son premier livre, intitulé : "Mahomet au volant, la charia au tournant".

C'est une histoire qui commence en 2012. Femme de gauche, enfant de communistes, syndiquée à la CGT, Ghislaine travaille à la RATP depuis 1999, où elle a rencontré son mari, avec qui elle aura cinq enfants.

Profondément laïque, elle constate, au fur et à mesure que le recrutement de la RATP, axé sur la discrimination positive, favorise les enfants issus de l'immigration maghrébine, que l'ambiance dans son dépôt de Nanterre change.

Des machinistes se laissent pousser la barbe, refusent de saluer leurs collègues femmes, imposent des prières dans les lieux communs, voire dans leur bus, ne veulent plus s'asseoir sur le siège d'un bus conduit auparavant par une femme, et transforment totalement, par la pression qu'ils exercent sur l'ensemble du personnel, les relations de travail fraternelles qui prévalaient jusqu'alors.

Elle se tourne vers son organisation syndicale, puis vers la direction. Elle constate alors que personne ne veut s'attaquer à ce problème, de peur des conséquences que cela peut provoquer. Exaspérée, elle contacte alors Riposte Laïque, qu'elle a découvert sur internet quelques semaines auparavant. Cette femme de gauche n'y voit rien d'extrémiste, encore moins du racisme et d'un discours d'extrême droite, quand elle lit les textes de Pascal Hilout, ou les éditos de Cyrano, qu'elle contacte.

Celui-ci la met alors en contact avec Guy Sauvage et Caroline Alamachère, qui feront un reportage et une vidéo, chez elle, avec une vingtaine de machinistes de la RATP, qui témoigneront, en visage caché, dans une vidéo qui provoquera un véritable séisme à la RATP, quand elle sortira le 14 décembre 2012.

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Immédiatement, les intimidations, les insultes et les menaces commencent…. Pendant les trois années qui suivront, Ghislaine, considérée comme la meneuse, sera la femme à abattre, et par les plus radicaux des musulmans, et par la direction, et par certains syndicats qui ne doivent leurs scores électoraux qu’à un recrutement communautariste musulman. On lui mettra sur le dos l’étiquette infamante « d’extrême droite » et de « raciste ». Pour survivre, elle devra travailler sur des horaires très matinaux, épuisants quand on doit élever cinq enfants.

Dans cet ouvrage, elle multiplie des témoignages accablants sur la démission de la direction, la capitulation des organisations syndicales, et la chape de plomb qui s’est abattue sur ce dépôt et sur bien d’autres.

Enfant de la banlieue, avec son mari, elle décrit aussi la lente dégradation d’un environnement ouvrier, solidaire et fraternel, qui se transforme petit à petit, poussant les Français d’origine, comme elle, à fuir ces endroits où ils n’étaient plus chez eux.

Mère de cinq enfants, elle doit prendre des décisions difficiles, pour assurer une bonne scolarité à son fils et à ses quatre filles, et leur permettre de grandir dans un environnement rassurant. Elle choisira, avec son mari, d’aller s’installer à une centaine de kilomètres de Paris, tout en continuant à travailler à la RATP.

Dans une préface touchante et émouvante, Christine Tasin parle ainsi de Ghislaine : « Ghislaine, c’est aussi un humour féroce. Elle vous dépeint en trois coups de crayon les toilettes de la RATP régulièrement bouchées par les gobelets en plastique utilisés par les musulmans pour purifier leur sexe, comme l’exigent leurs textes sacrés… Dans son livre, elle raconte une foultitude de choses tout aussi énormes et, quand elle les évoque devant un café ou un bon petit vin, elle a pris le parti d’en rire et de nous faire rire à chaque fois que c’est possible, de peur d’avoir trop à pleurer. C’est que c’est un sacré personnage Ghislaine ! Elle a l’âge de l’islamisation de la France et elle nous la donne à voir, peu à peu, par petites touches, au détour d’une phrase évoquant son enfance dans les Hauts-de-Seine et ses parents, militants communistes dont elle avait embrassé valeurs et engagements. Elle réussit à nous transmettre la nostalgie de cette époque où les ouvriers croyaient aux lendemains qui chantent, où l’on passait des soirées entières à refaire le monde, où l’on s’émerveillait du confort des HLM, de la convivialité entre voisins, du sentiment de sécurité ressenti par les femmes et les enfants… C’était avant, c’était il n’y a pas si longtemps, avant les pneus crevés, avant les voitures brûlées, les insultes aux « Céfrancs », les tournantes dans les caves pour ces « putes de Françaises »… (…)

(…) Puisse Mahomet au volant, la charia au tournant créer un sursaut nécessaire, afin que La Vénus de Milo, le Déjeuner sur l’herbe ou la Joconde ne subissent pas le sort des bouddhas de Bamiyan ou l’Arc de Triomphe de Palmyre.

Le 13 novembre 2015, trois ans après le début de cette aventure, Samy Amimour, qui fut machiniste à la RATP, fera partie des assassins du Bataclan, et se fera exploser. Son épouse, Française, lui rendra un hommage d’une rare indécence, appelant, depuis la Syrie, à tuer un maximum de Français. Combien de classés S, combien de futurs Amimour dans les milliers de nouveaux salariés recrutés par la RATP depuis dix ans ?

Quand Charlie Hebdo capitule en rase campagne en publiant, un an après les assassinats de ses dessinateurs, une couverture lâche de Riss, tapant « courageusement » sur le dieu des chrétiens, quand ce gouvernement ose proclamer l’Etat d’urgence et nous dire en guerre, sans déclarer le nom de notre ennemi, Ghislaine Dumesnil, elle, dit la vérité.

Cette fille de communiste, qui se dit fière de son pays, la France, reste fidèle à Jaurès, qui disait : « Le courage, c’est de chercher la vérité, et de la dire« .

En ce début d’année, il faut acheter, lire et faire connaître ce témoignage-choc d’une femme courageuse qui a refusé de baisser la tête, et s’est battue jusqu’au bout, en osant témoigner d’une réalité que nos politiques connaissent, mais refusent d’admettre, tant elle est accablante pour le bilan de leurs trente dernières années.

Amis lecteurs, pour assurer le succès que mérite ce livre, nous ne pouvons compter que sur nous, et sur vous.

Commander « Mahomet au volant, la charia au tournant », de Ghislaine Dumesnil :

http://ripostelaique.com/livres/176149

Conducteurs de bus islamistes



Depuis quelques années, la RATP connaît une multiplication d'incidents liés à la religion musulmane, principalement parmi les 17’000 conducteurs de bus. « Il y a des déviances graves », affirme Christophe Salmon, secrétaire général du syndicat CFDT RATP. « On a laissé s'installer un système où certains agents refusent de saluer une femme, arrivent en retard pour faire leur prière, ou même prient sur place ».

« Pendant une période, la direction a eu un recrutement discutable ». Pour éviter le caillassage des bus dans certains quartiers, des grands frères peu recommandables ont été mis à contribution. Un responsable de la CFDT Transports, a de son côté décrit des « refus d'obéir à des femmes », des « refus de conduire des bus si une femme l'a au préalable conduit » et de « salariés qui s'arrêtent de travailler pour prier ».

Michel Garroté

   

La RATP complice du génocide des chrétiens d’Orient

Nouvelle polémique - tout à fait justifiée - à propos de l'affichage dans le métro parisien. La RATP ne veut pas entendre parler des chrétiens d'Orient, pourtant au cœur d'une actualité tragique. Depuis quelques jours, les affiches annonçant le concert du groupe Les prêtres à l'Olympia, le 14 juin prochain, tapissent le métro parisien. Elles devaient porter la mention « Pour les chrétiens d'Orient », mais la compagnie de transport en a demandé le retrait.

les-prêtres

Pour Mgr Jean-Michel Di Falco Léandri, évêque de Gap et d'Embrun et créateur du groupe en question, cette décision « incompréhensible » et constitue une nouvelle preuve d'une très mauvaise compréhension de la laïcité par certaines personnes en France.

L'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité Française et chrétienne (AGRIF) se dit « choqué par le comportement de la régie publicitaire de la RATP », et « demande instamment à cette dernière de s’expliquer sur les raisons "déontologiques" de son refus, et lui réitère son appel à une juste mesure dans ses acceptations ou refus d’affiches dans les encarts publicitaires qu’elle gère avec de plus en plus d’opacité », en soulignant les différences de traitement avec l'ignoble Gleeden (incitation à l'adultère) et surtout avec les affiches qui exposent dans l'espace publique des aspects de la communauté musulmane. 

Car le problème est bien là. Non pas seulement que le groupe RATP se rende complice, pour certains, du Génocide des chrétiens d'Orient, ou qu'il fasse un excès de zèle laïciste, mais surtout qu'il pratique une laïcité à deux vitesses : tout est bon pour les musulmans, rien pour les chrétiens. Ne parlons même pas des chrétiens massacrés par les islamistes en Orient. 

Quelques exemples ci-desssous de ce qu'on trouve régulièrement dans les lieux publics de transport en France (gare, métro, bus, etc.) :

Un bon ramadan dans le métro parisien, sous le nez des laïcistes de Mediatransport.  Source : Observatoire de la Christianophobie

Un bon ramadan dans le métro parisien, sous le nez des laïcistes de Mediatransport.
Source : Observatoire de la Christianophobie

Avec le foulard islamique mais "laïc"

Avec le foulard islamique mais "laïc"

Venu un jour après la polémique, la réponse de Métrobus, qui gère les espaces publicitaires de la RATP, est sidérante. Leur motif n'est motivé par rien de moins que le fait « que la RATP et sa régie publicitaire ne peuvent prendre partie dans un conflit de quelque nature qu'il soit ».

En plus de pratiquer une laïcité à deux vitesses, la RATP est-elle la complice objective du génocide des chrétiens d'Orient ? 

Vivien Hoch, 1er avril 2015

Paris : la RATP refuse les affiches des Prêtres dans le métro

La Toile s’agite. C’est par un tweet que Mgr Jean-Michel Di Falco-Léandri a indiqué ce mardi que la RATP refusait les affiches annonçant le concert des Prêtres pour les Chrétiens d’Orient. C’est la mention du soutien à cette communauté religieuse qui a été "retoquée" selon l’évêque au nom de la laïcité.

Source

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