Attaque sur les Champs-Elysées : Le terroriste, un fiché S, possédait un permis de port d’arme

Christian Hofer: C'est cette France qui vient faire pression sur la Suisse au sujet de la détention d'armes alors qu'un islamiste possède même un permis de port d'arme récent (est-ce un permis d'acquisition plutôt?), que la première racaille venue est mieux armée que les policiers eux-mêmes, que les banlieues sont des zones de non droit...

Une raison de plus pour ne pas s'agenouiller devant le dictat de l'UE.

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Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a évoqué une “tentative d’attentat”. L’assaillant est décédé. Selon nos informations, Adam D était fiché S et détenait un permis de port d’arme.

Une attaque a eu lieu près des Champs-Elysées ce lundi après-midi. Un fourgon de gendarmerie a été pris pour cible par un homme à bord d’une Renault.

Selon les éléments dont nous disposons, l’homme qui a foncé sur un fourgon de gendarmerie vers 15h près des Champs-Elysées, né en 1985, était fiché S depuis 2015 pour son appartenance à la “mouvance islamiste radicale”. Identifié comme Adam D, l’homme de 31 ans détenait néanmoins une autorisation de tir renouvelée en février dernier par la préfecture de l’Essonne, dans le cadre de la pratique du tir sportif.

A bord d’une Renault, le forcené a foncé sur un fourgon de gendarmerie rue de Lisbonne, dans le VIIIe arrondissement. Le véhicule bélier a explosé lors de l’impact avant de s’embraser.

Le forcené décédé

L’homme “est décédé”, a annoncé le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, qui a évoqué une “tentative d’attentat”. “Une nouvelle fois, les forces de sécurité en France ont été visées”, a-t-il rappelé.

Un acte volontaire

On ignore pour le moment les motivations de son attaque mais une source proche du dossier indique : “A priori, il s’agit d’un acte volontaire”. La section antiterroriste du parquet de Paris a ouvert une enquête de flagrance. Deux armes de poing, une kalachnikov et au moins une bonbonne de gaz ont été découvertes dans sa voiture.

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

Quand Jean-Luc Addor dit qu’il est pour le port d’arme et contre le port du voile, L’1dex titre “Jean-Luc Addor est favorable au port du voile”…

 

Sur le site de Rhône FM, on peut lire que Jean-Luc Addor, le successeur de Oskar Freysinger aux Chambres fédérales est favorable à une libéralisation du port d’arme :

« Nouveau membre de la direction de « proTell », association qui milite en faveur d’un « droit libéral sur les armes », le conseiller national UDC Jean-Luc Addor estime que l’idée d’un « port d’arme citoyen » doit être débattue en Suisse.
Une pétition en ce sens circule en France, depuis les attentats de Paris, et une autre en Suisse.
Ici, elle demande que l’article 27 de la loi fédérale sur les armes soit modifié en supprimant la clause du besoin pour le port d’armes et en introduisant l’obligation de suivre une « formation adéquate ». Tout citoyen suisse au casier judiciaire vierge pourrait donc porter une arme.
Cette pétition en ligne a recueilli pour l’instant près de 1’700 signatures; elle en vise 2’500.
« L’arme est l’un des symboles de l’homme libre face à l’Etat », approuve Jean-Luc Addor qui écarte tout risque de « revenir au far west ». Ce qu’il prône, c’est « la responsabilité face aux armes » et le droit du citoyen « d’assurer sa vie ».
« proTell » a été fondée il y a bientôt 40 ans et compte plus de 7’500 membres. »

 

Le papier est signé par le PDC Fabrice Germanier qui a oublié le titre de la chose :

 

« L’UDC est pour le port d’arme et contre le port du voile ».

 

Post Scriptum de L’1Dex : que le lecteur UDC nous pardonne le titre si le message a été mal compris par nos lecteurs !

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Extrait de: Source et auteur

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Port d’arme autorisé pour les forces de l’ordre : nouvelle inégalité sécuritaire entre les Français

La police et la gendarmerie viennent d’autoriser le port d’armes pour leurs personnels en dehors du temps de service

Du moins pendant l’état d’urgence. Apparemment une bonne nouvelle pour les Français, en termes de sécurité. Mais regardons y de plus près. Les textes autorisant ce port d’armes sont en effet particulièrement asymétriques, selon qu’il s’agit de la police ou de la gendarmerie. Les modalités d'autorisation annoncées par les deux directions créent ainsi une véritable inégalité sécuritaire entre les Français, selon qu’ils vivent en zone urbaine ou en zone rurale.

Expliquez nous ça

Dans une note publiée le 19 novembre dernier, la direction générale de la police nationale (DGPN) autorise les policiers à garder sur eux leur arme de service pendant leur temps de repos. Il a fallu attendre les attentats meurtriers du 13 novembre pour que le gouvernement se plie à cette demande récurrente des policiers. Un commissaire de police de l'Eure, qui se trouvait au Bataclan au moment de l'attentat, y a été grièvement blessé. Armé, il aurait sans doute pu non seulement se protéger, mais aussi sauver de nombreuses vies. Quant aux gendarmes, qui font la même demande, le gouvernement ne leur fait manifestement pas trop confiance…

Les socialistes se sont toujours méfiés des militaires…

Et les gendarmes sont des militaires, contrairement aux policiers qui sont des fonctionnaires. Pour un gendarme, le port d’arme hors service, sous réserve d’acceptation expresse de sa demande par la direction générale de la gendarmerie, sera en effet restreint à sa seule protection personnelle sur le trajet brigade — domicile. Sur les réseaux sociaux, les gendarmes expriment un fort sentiment d’injustice, voire d’humiliation. D’autre part, selon que vous habitez une zone urbaine — zone « police »  ou une zone rurale — zone « gendarmerie », laquelle couvre 95 % du territoire – la République ne protégera pas votre vie de manière identique…

Et la police municipale ?

Son armement en service dépend du bon vouloir du maire. A peine 1 % des communes de France ont, à l’instar de Robert Ménard à Béziers, armé leur police municipale. Quant à armer les policiers municipaux hors service, ce n’est, pour l’instant, pas à l’ordre du jour.

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