Evoquant les difficiles relations entre la Russie et l'Occident, le réalisateur serbe Emir Kusturica confie à RT sa vision de Vladimir Poutine, Donald Trump, et de la situation en Ukraine, en laquelle il voit une redite de la guerre de Yougoslavie.
Evoquant les difficiles relations entre la Russie et l'Occident, le réalisateur serbe Emir Kusturica confie à RT sa vision de Vladimir Poutine, Donald Trump, et de la situation en Ukraine, en laquelle il voit une redite de la guerre de Yougoslavie.
Selon une enquête de l'hebdomadaire allemand Die Welt am Sonntag, des réfugiés enregistrés en Allemagne, et à ce titre bénéficiaires d'allocations, feraient de courts séjours dans leurs pays d'origine. On note parmi ces destinations la Syrie, l'Irak et l'Afghanistan. Autant de pays dont certains ressortissants obtiennent le statut de réfugié en Occident compte tenu des dangers et des persécutions dont ils pourraient être victimes en y vivant. Des pays où les consulats occidentaux recommandent de ne pas se rendre, sinon pour des raisons d'extrême urgence.
La Bundesamt für Arbeit (BA), l'agence fédérale allemande pour l'emploi, évoque pour sa part un «certain nombre de cas» de séjours de migrants au pays. Mais selon un porte-parole cité par Die Welt am Sonntag, l'agence est dans l'impossibilité de fournir des statistiques précises : «Il n'y a pas base légale pour cela, aussi nous n'avons aucune information.» Selon les règles allemandes régissant les droits des demandeurs d'asile, les migrants ont le droit de quitter leur pays d'accueil pour un durée maximale de 21 jours.
Et si les réfugiés bénéficiaires d'allocations doivent communiquer à l'administration les dates et durée de leur «congé», rien ne les oblige à en donner la destination. Or, même si l'agence fédérale pour l'emploi venait à en être informée, cette dernière n'est pas autorisée à la transmettre à d'autres organismes publics et encore moins au public, au nom de la «protection des données personnelles».
Dans le cadre de la lutte mondiale contre la pauvreté, Bill Gates va soutenir le développement de pays musulmans par le biais d’un fonds conjoint avec la Banque islamique de développement (BID) ; le Qatar se joint à l’initiative.
Merci à Anne
The Dutch government has debated internally and with its allies a plan to introduce passport checks at the borders of several Western European countries in a bid to control an influx of migrants and refugees.
The idea of carving out a "mini-Schengen" within the Schengen area would seem to violate the treaty guaranteeing free travel within 26 European countries.
The European Commission, the EU's executive arm, has received no formal proposals regarding the creation of a "mini-Schengen" zone within the existing passport-free area, a Commission spokeswoman said on Thursday.
Europe is struggling to cope with its biggest migration crisis since World War Two.
German Interior Minister Thomas de Maiziere told a news conference in Berlin on Thursday that his Dutch counterpart had raised the idea with him, but Germany was not enthusiastic.
"Our political goal must be that the Schengen area as a whole functions," he said. "Everything else would just be supplementary considerations."
The Dutch plan is separate from a French plan to introduce systematic border checks within the Schengen area as a security measure after the attacks in Paris last week.
The "mini-Schengen area" would include Austria, Germany, Belgium, Luxembourg and the Netherlands, and would involve setting up transit camps for migrants outside those borders, a report in newspaper De Telegraaf said.
Foreign Minister Bert Koenders confirmed those details in part to the paper, but said other measures were also under consideration.
"The Netherlands and other countries are talking about many different solutions," said spokeswoman Janet Takens of the Justice Ministry, which oversees immigration policy.
"We are talking with like-minded countries on a regular basis," she said, declining to provide details.
The leader of Prime Minister Mark Rutte's conservative People's Party for Freedom and Democracy in parliament said on Wednesday he supported the idea of a mini-Schengen, while the leader of junior coalition partner Labour said he sees "complications and obstacles" to the plan.
Marit Maij, a member of parliament for Labour, told Reuters her party could support the plan only if European border policy "continues to fail."
(The story was refiled to show 26 European countries are members of Schengen area, not 26 EU members.)
(Additional reporting by Paul Carrel and Thomas Escritt; Editing by Janet Lawrence)
Merci à Pierre H.
Boualem Sansal se défend d'être un héros. L'écrivain algérien en a pourtant l'étoffe. C'est au péril de sa vie qu'il pousse un cri de révolte contre les islamistes qui gangrènent son pays chéri et contre un régime qui sème la haine et réduit la liberté individuelle.
En anglais mais assez facile à comprendre :