Un rapport édité par la direction de l’UE: Bientôt 53 millions d’immigrés supplémentaires

Immigration et Grand remplacement. Bientôt 53 millions d’immigrés supplémentaire dans l’Union Européenne ?

Vers la version courte de la vidéo: https://www.breizh-info.com/2021/05/19/164567/immigration-et-grand-remplacement-bientot-53-millions-dimmigres-supplementaire-dans-lunion-europeenne/

L’Union Européenne produit des rapports que personne ne lit (hormis les initiés). C’est bien cela le problème, car on y trouve des pépites qui indiquent ce qui, demain, constitueront des réalités sur l’ensemble de notre territoire. Ainsi, le rapport 2021 sur le vieillissement : Projections économiques et budgétaires pour les États membres de l’UE (2019-2070).

Un rapport édité par la direction générale des affaires économiques et financières de l’UE qui est le service de la Commission responsable de la politique de l’UE en matière de croissance économique, d’emploi, de finances publiques et de stabilité financière.

Dans ce rapport, les choses sont clairement annoncées ou plutôt projetées : l’Union Européenne subirait la venue de 53 millions d’immigrés extra européens supplémentaires d’ici à 2070 comme invitent certains fossoyeurs à le faire pour palier à la baisse de la démographie. Les retraites elles, en France notamment, devraient passer à 67 ans compte tenu de l’augmentation de l’espérance de vie.

Voici ce que l’on peut lire page 22 du rapport :

Les flux migratoires nets vers l’Union européenne (27) ont  considérablement augmenté au cours des 50 dernières années, bien qu’avec des fluctuations (voir graphique I.1.8). De 1960 jusqu’au milieu des années 1980, la migration nette a été positif, avec des entrées nettes annuelles d’environ 118 000 en moyenne bien que certaines années aient connu d’importantes d’importants flux nets sortants. Depuis 1985, le solde migratoire annuel dans l l’UE a toujours été positif. Malgré une forte volatilité, il a augmenté de manière significative : les entrées nettes annuelles nettes annuelles étaient en moyenne de 622 000 personnes en 1990-1999 et d’environ 1,1 million en 2000-2008.

Après un ralentissement un ralentissement à environ 500 000 personnes en 2009-2011, la migration nette a recommencé à à augmenter, atteignant un pic de plus de 1,5 million de personnes en 2013. 1,5 million de personnes en 2013 – reflétant notamment des afflux record en Italie en raison de l’ajustement statistique lié aux corrections du recensement postérieur à 2011 (+ 966 000). En 2015, plusieurs États membres ont connu des entrées importantes en raison de l’instabilité en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, et les afflux nets ont dépassé 1 million de personnes en 2018.

Eurostat, de son côté, a évalué les changements migratoires lourds à venir dans les prochaines décennes : « Pour l’ensemble de l’UE, les flux nets d’entrée devraient passer d’environ 1,3 million de personnes en 2019 (0,3 % de la population de l’UE) à environ 1 million par an à partir du milieu des années 2020 (0,2 % de la population de l’UE). En termes cumulatifs, le solde net jusqu’en 2070 s’élèverait à 52,6 millions de personnes soit près de 12 % de la population de l’UE en 2019 (0,2 % de la population de l’UE).

Florian Philippot, dans une vidéo, explique qu’il s’agit par ailleurs d’un solde qui ne reflète pas forcément la situation puisqu’il y est question d’immigration NETTE, c’est à dire d’une soustraction entre arrivées et départs (supposés)

La réalité change également en fonction des pays (voir le tableau ci-dessous), la France subissant dans les prévisions une transformation bien plus importante que la Lituanie, par exemple, mais moins que l’Espagne.

Des chiffres gigantesques, qui, additionnés à la présence déjà massive de masses immigrées extra-européennes, et à une démographie plus importante que celle des autochtones, entrainent la validation du « Grand remplacement » de population en Europe, c’est à dire de l’affaissement de la majorité blanche au profit de minorités venues d’ailleurs et en passe petit à petit de prendre le contrôle démographique de notre continent.

Il semblerait désormais que, sans réveil rapide, massif, organisé et déterminé face à des élites qui creusent nos tombes, le destin des Européens soit compromis.

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L’ONU appelle les gouvernements « à promouvoir la régularisation des migrants en situation irrégulière »

Covid-19 : les Etats doivent protéger les droits des migrants (experts de l’ONU)

« Les droits des travailleurs migrants dans le monde, en particulier ceux des secteurs essentiels, doivent être garantis et des mesures doivent être prises pour protéger leur santé », ont déclaré mardi Can Ünver, Président du Comité des Nations Unies sur les travailleurs migrants, et Felipe González Morales, Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits humains des migrants.

« Des milliers de migrants sont actuellement bloqués aux frontières du monde entier, en Asie, en Afrique, dans les Amériques ou en mer sur les côtes de l’Europe », ont rappelé les experts, qui ont également annoncé la publication en ligne d’une note d’orientation commune sur les conséquences de la pandémie de Covid-19 sur les droits humains des migrants.

Dans leurs 17 lignes directrices publiées à l’intention des gouvernements, les experts exhortent les États à garantir les droits et la continuité des procédures pour les personnes ayant besoin d’une protection internationale, y compris l’accès à leur territoire, et les exhortent à poursuivre les opérations de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer.

« Les gouvernements doivent garantir l’accès des migrants et de leurs familles aux services sociaux qui dans certains pays affichent les niveaux les plus élevés de contagions et de décès dus à la Covid-19 », ont-ils déclaré.

Les experts ont attiré l’attention sur la plus grande vulnérabilité des migrants en situation irrégulière ou sans papiers. « Ils occupent des emplois instables – généralement sans prestations, ni droit aux allocations de chômage – et, dans certains cas, ont été exclus des mesures d’assistance sociale mises en œuvre par les États », ont-ils déploré, non sans rappeler les contributions économiques importantes des migrants aux sociétés dans lesquelles ils vivent.

« Dans ce contexte, nous appelons les gouvernements à promouvoir la régularisation des migrants en situation irrégulière », ont-ils dit.

[…]

« Nous voulons alerter le monde sur le fait que l’impact de la pandémie de Covid-19 sur la capacité des migrants à travailler a déjà entraîné une baisse globale des envois de fonds envoyés à leurs familles dans leur pays d’origine, dont la survie dépend d’eux, ainsi que pour les pays où les envois de fonds sont l’une des principales sources de revenus de leur économie », ont-ils expliqué, soulignant que les familles luttent littéralement pour leur propre survie.

[…]

UN News

Via Fdesouche


Rappels :

Suède : Une agence de « contre-propagande psychologique » pour surveiller les opinions dissidentes

Ylva Johansson, commissaire européenne : « L’immigration ne doit être considérée que sous un angle positif. Les migrants font partie de nous. »

Amsterdam : La mosquée répond « habituez-vous » aux citoyens qui se plaignent des appels à la prière

La Commission européenne travaille à rendre le Pacte sur les migrations juridiquement contraignant

 

Succès de l’UDC: les « soft laws » comme le Pacte pour les migrations de l’ONU doivent être soumises au Parlement

Dans le contexte du pacte de l’ONU pour les migrations, l’UDC exige que le Conseil fédéral soit contraint de soumettre à l’avenir au Parlement même les engagements internationaux en apparence non contraignants. Elle a obtenu raison: la commission préparatoire du Conseil national a soutenu son intervention.

En automne 2018 l’UDC a pu empêcher au dernier moment que le Conseil fédéral approuve de sa seule autorité le pacte de l’ONU pour les migrations. L’adhésion de la Suisse à cette convention internationale fruit d’une idéologie romantique et irréaliste aurait eu des conséquences graves pour la Suisse. Le Pacte des migrations accorde aux migrants une foule de droits et restreindrait massivement la souveraineté de la Suisse en termes de politique des étrangers et d’immigration. Accepter cette convention, c’est admettre que l’étranger dicte à la Suisse combien de migrants économiques elle doit accueillir et quelles conditions elle doit leur offrir.

Voici quelques exemples qui illustrent l’irréalisme du pacte pour les migrations:

  • les conditions du regroupement familial seraient massivement simplifiées, par exemple concernant le revenu, les connaissances linguistiques et l’accès à l’aide sociale.
  • l’arrestation à des fins d’expulsion serait remise en question et les conseils juridiques à ce propos seraient donnés par des avocats gratuits.
  • les migrants, qui quittent leur pays d’origine en raison de menaces de destruction de l’environnement et des conséquences du changement climatique bénéficieraient de visas humanitaires et de programmes de réinstallation.
  • les médias, les portails internet, etc. seraient surveillés pour garantir qu’ils publient des comptes rendus équitables sur les thèmes de la migration. Si tel n’est pas le cas, l’Etat serait contraint de leur retirer son aide.

En Suisse, le Parlement et le peuple font les lois sans que l’étranger ne s’en mêle
Le Conseil fédéral a justifié sa décision solitaire en arguant du caractère juridiquement non contraignant, donc de la nature de « soft law » de ce pacte pour les migrations. C’est juste, mais en théorie seulement. Ce pacte prévoit en effet une surveillance de son application, comme c’est souvent le cas pour des règles de droit public international. Un pays n’appliquant pas une règle internationale, même non contraignante, est cloué au pilori et accusé de mauvaise foi. C’est dire que la Suisse serait contrainte dans les faits d’adapter ses lois et ordonnances.

L’UDC exige donc que le Conseil fédéral soumette au Parlement pour approbation même des engagements internationaux juridiquement non contraignants. La Commission de politique extérieure du Conseil national a soutenu cette revendication. Un premier important obstacle est donc franchi. Est-il nécessaire de rappeler que, dans notre pays indépendant et régi par la démocratie directe, il appartient au Parlement de faire les lois et au peuple d’exercer sa souveraineté législative, et cela de manière autonome et sans immixtion de l’extérieur?

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