Hongrie: Natalité en hausse et nuptialité stable malgré la Covid-19 en 2020 et de janvier à mars 2021

Dans de nombreux pays, la gestion de la Covid-19 s’est accompagnée d’une chute du nombre des naissances et des mariages.  Voir Un fort recul des naissances en janvier à travers le monde développé (m-à-j pour le Québec).

Si la Hongrie a connu une baisse des naissances en janvier 2021 par rapport à janvier 2020 (-9,3 %), les chiffres pour l’année 2020 et le premier trimestre 2021 sont rassurants.

En 2020, 92 233 enfants sont nés en Hongrie. Le nombre de naissances était supérieur de 3,4 % à celui de l’année précédente. À l’exception de la baisse de décembre 2020, plus d’enfants sont nés tous les mois en 2020 que le mois correspondant de l’année précédente. Le nombre de naissances a augmenté relativement sensiblement en janvier 2020 (9,7 %), juin (9,1 %) et février (7,8 %) par rapport aux mêmes mois de l’année précédente. L’indice synthétique de fécondité en Hongrie a augmenté pour s’établir provisoirement à 1,55 enfant par femme en 2020 par rapport à 1,49 pour 2019.

En 2020, 81 850 bébés sont nés au Québec, soit une baisse de 3 % par rapport à 2019 (84 00). L’indice synthétique de fécondité pour 2020 est de 1,52 enfant par femme, moins qu’en 2019 (1,57 enfant par femme). La très grande majorité des bébés nés en 2020 ayant été conçus avant que les mesures pour contrer la pandémie de COVID-19 ne soient instaurées au Québec, l’effet possible de ces mesures sur le nombre de naissances ne devrait se faire sentir pleinement qu’à partir de l’année 2021.

Épousailles à Budapest

Pendant le premier trimestre 2021, 22 254 enfants sont nés en Hongrie, soit 0,1 % de plus que le nombre de naissances en janvier-mars 2020. Le nombre de naissances corrigé pour prendre compte de l’année 2020 qui fut bissextile a augmenté davantage, de 1,2 % par rapport à la même période de l’année précédente. Pendant ce trimestre, il y a eu 9,3 % de naissances vivantes en moins en janvier, 5,0 % de plus en février et 9,5 % de plus en mars par rapport aux mois correspondants de 2020. L’indice synthétique de fécondité en Hongrie a été estimé à 1,54 par femme pour ce premier trimestre 2021, contre 1,50 au premier trimestre 2020.L’Institut de la statistique du Québec, moins rapide que son homologue hongrois, n’a publié que les chiffres de naissances et mariages que pour les deux premiers mois de 2021. En janvier et février 2021, il est né 12 450 enfants au Québec comparés à 13 200 pendant les deux mêmes mois en 2020 soit une diminution de 5,68 %. À ce rythme, l’indice de fécondité au Québec devrait passer sous les 1,5 enfant/femme pour 2021. Quant aux mariages au Québec, leur nombre s’est effondré pendant les deux premiers mois passant de 1700 en janvier et février 2020 à 1000 en janvier et février 2021, soit une baisse de 41,18 %.

De janvier à mars 2021, 12 004 couples se sont mariés en Hongrie, soit 2,1 % de moins ou 262 de moins qu’un an auparavant. Le nombre de mariages corrigé pour prendre en compte l’année 2020 qui fut bissextile a diminué de 0,9 %. Dans le détail, 3,1 % de mariages en moins ont été enregistrés en janvier, 6,0 % de moins en février et 5,1 % de plus en mars qu’au cours des mois correspondants de 2020.

 

Le deuxième gouvernement Orbán (2010-2014) a fait de la sauvegarde de la nation de l'abîme démographique une de ses priorités. Il a donc introduit des mesures généreuses pour les familles nombreuses et a considérablement augmenté les prestations sociales pour toutes les familles. Ceux qui ont trois enfants ou plus ne paient pratiquement aucun impôt. En quelques années à peine, la Hongrie est passée de l'un des pays qui dépensaient le moins pour les familles de l'OCDE à être l'un de ceux qui en font le plus. En 2015, les sommes allouées à la politique familiale représentait près de 4% du PIB.

Sources : Institut de la statistique du Québec et son homologue hongrois (KSH).

source1: https://www.pouruneécolelibre.com/2021/05/hongrie-natalite-en-hausse-et.html

Voir aussi

Québec — Indice de fécondité pour 2020 est tombé à 1,52 enfant/femme, il était de 1,57 en 2019

Radiographie des Français

Canada — Faire passer l’immigration de 300 000 personnes par an à un million

Un fort recul des naissances en janvier à travers le monde développé (m-à-j pour le Québec)

Implosion démographique : y remédier en renouant avec des valeurs qui privilégient descendance et transmission

Covid — nombre de naissances en France en janvier 2021 a chuté de 13 % par rapport à janvier 2020

Politiques familiales — hausse des naissances de 9 % en Hongrie, nombre des mariages double (janvier 2020)

Hongrie — vers un remboursement intégral de la fécondation in vitro

Hongrie — 20 % de mariages en plus en 2019 à la suite de la politique pro famille

La politique nataliste hongroise

Orban : la procréation plutôt que l’immigration

Un inquiétant “baby-krach” se profile

14 mars 2021 - par

J’ai toujours cru que le confinement allait être l’occasion de relancer la natalité. Quand on est enfermé entre quatre murs, quoi de plus naturel que de s’adonner à quelques galipettes sous la couette ?

Hélas, en guise de baby-boom, nous avons droit à un inquiétant baby-krach.

Les Français ne font plus d’enfants. Le moral ne suit plus, la confiance en l’avenir fait défaut.

En décembre 2020 on a observé une chute des naissances de 7 % par rapport à 2019.

Et en janvier 2021, ce sont 53 900 naissances qui ont été enregistrées, soit encore une chute de 13 % par rapport à janvier 2020.

https://www.europe1.fr/societe/la-natalite-en-2020-en-france-au-plus-bas-depuis-1945-4019452#:~:text

Nous sommes au plus bas depuis 1945 et il naît 100 000 enfants de moins qu’il y a dix ans.

La politique familiale de François Hollande a été un désastre. À part se laisser humilier par Léonarda ou se précipiter au chevet du délinquant Théo, quel est le bilan Hollande ?

Ajoutons à cela la crise économique liée à la pandémie et on obtient un moral en berne chez les ménages.

Cette situation est grave car c’est l’avenir du pays qui est en jeu. La décroissance démographique est la pire des calamités. Croissance économique et financement des retraites sont compromis.

Moins d’actifs, c’est moins de croissance, c’est moins de rentrées fiscales, donc moins de social. Un cercle vicieux.

La France a longtemps fait figure de bon élève en la matière, mais l’embellie est terminée. Le taux de fécondité est tombé à 1,84 et ne permet plus le renouvellement des générations.

Car avec la disparition des générations du baby-boom d’après-guerre, le nombre de décès ne cesse d’augmenter.

658 000 décès en 2020, soit 7,3 % de plus. Les naissances ont chuté à 740 000 en 2020.

Une situation qui fait le bonheur des immigrationnistes, toujours prêts à saborder un peu plus le pays. Avec eux, le nivellement par le bas est assuré.

Vu le désastre de l’intégration, ainsi que le faible niveau intellectuel des arrivants actuels, ce n’est certainement pas l’immigration qui va financer nos retraites et nous projeter dans l’économie du futur.

Nous aurons besoin de cerveaux, pas de manœuvres illettrés !

Macron ne semble pas préoccupé par le sujet. Seul Bayrou devrait plancher sur ce dossier.

Il y a pourtant urgence si on ne veut pas subir le sort du Japon ou des pays de l’Europe du Sud.

Jacques Guillemain

source: https://ripostelaique.com/un-inquietant-baby-krach-se-profile.html

Les ultimes années de l’Europe européenne ?

Les grèves en France commencent à s’estomper. On parle encore du projet de réforme des retraites du gouvernement, des élections municipales, des orientations de la nouvelle Commission européenne ou de la dernière phrase inepte de Macron.

On ne parle pas de ce qui devrait être le sujet essentiel. Les populations européennes vivent vraisemblablement les dernières décennies de leur civilisation. Partout en Europe, la natalité est quasiment en chute libre, et si l’on procède à un décompte distinguant les naissances musulmanes des naissances non musulmanes (ce qu’il est interdit de faire en France, mais ce que font des services de renseignement dans d’autres pays occidentaux), la chute se pare d’une dimension de catastrophe.

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En France, la natalité aujourd’hui se situe à 1,86 enfants par femme, ce qui est en dessous du taux de remplacement des générations, mais si l’on prend la natalité chez les femmes non musulmanes, le chiffre tombe à 1,4 enfant par femme. Pour les femmes musulmanes, il est situé à 3,4. Cela signifie très précisément qu’en une vingtaine d’années, vingt français non musulmans seront remplacés par quatorze français non musulmans, et vingt français musulmans par trente-quatre français musulmans.  Pour l’Espagne, le Portugal, l’Italie, l’Allemagne, les données sont encore plus inquiétantes.

Quand Thilo Sarrazin en Allemagne a publié un livre qui s’appelait “L’Allemagne disparait” le livre a fait scandale, mais il a été très largement lu, puis le silence est revenu. Le livre disait la vérité. Dans une trentaine d’années

au plus l’Allemagne aura disparu, ou tout au moins il restera sur les cartes de géographie un pays appelé l’Allemagne, mais ce sera un pays de culture musulmane. Au même moment, l’Italie, l’Espagne et le Portugal seront aussi devenus des pays de culture musulmane.

Quand Renaud Camus a publié un livre appelé “Le grand remplacement”, le livre a fait scandale aussi, mais à la différence de “’L’Allemagne disparait” de Thilo Sarrazin, “Le grand remplacement” de Renaud Camus a été boycotté, s’est peu vendu, et ne se trouve plus décrit que pour être caricaturé par les tenants omniprésents du politiquement correct, qui couvrent Renaud Camus d’insultes, mais peuvent dire tranquillement qu’une “transition” est en cours, et que les Français, comme les autres Européens, doivent se préparer à changer de culture.

Ce qu’ils disent est ce qui se dit tout aussi tranquillement dans les instances européennes au sein desquelles on ajoute que, la natalité totale en Europe étant de toute façon insuffisante, il faudra combler le déficit de naissance par une immigration massive venant de pays où les naissances sont encore nombreuses : les pays du monde musulman, bien sûr. Ce qui se dit ainsi tranquillement laisse de côté des facteurs cruciaux.

L’un d’entre eux, je l’ai déjà dit, mais je dois le répéter est que, dans une époque où le capital humain est devenu le capital essentiel, les populations ne sont pas équivalentes.

Nous ne sommes pas au temps où, comme on le disait il y a un siècle, l’agriculture européenne manque de bras. Nous ne sommes pas même en un temps où les usines européennes manquent d’ouvriers. Parmi les Musulmans maghrébins et africains d’Afrique subsaharienne qui arrivent en Europe, il y a peu de scientifiques, d’ingénieurs et d’entrepreneurs.

Un autre facteur tout aussi crucial, je l’ai dit là aussi, mais je dois le répéter encore, est que l’immigration massive et ses conséquences font fuir ceux qui le peuvent et qui sont porteurs d’un capital humain important, ce qui accélère la catastrophe.

Un troisième facteur est que les cultures ne sont pas équivalentes. La culture musulmane n’est pas équivalente à la culture judéo-chrétienne. Je l’ai dit là encore et je dois le répéter encore et toujours : l’islam n’est pas compatible avec la démocratie, avec les idées occidentales de droit et d’égalité de droit, avec l’économie de marché et d’entreprise, avec la liberté de penser et de parler et avec la tolérance mutuelle.

Il existe déjà des enclaves musulmanes en Europe. Bientôt, il restera des ilots de culture occidentale dans un continent islamisé et ce sera, hélas, sans doute sauf improbable retournement, la fin de l’Europe européenne.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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Adapté d’un article publié sur les4verites.com

source:

Baisse de la natalité : les pessimistes sont bien informés

 Michel Faure Pourquoi faisons-nous moins d’enfants ? Sommes-nous pessimistes ? Et si oui, pourquoi ?

Tout va bien, mais nous allons mal. Un nouveau paradoxe français qu’illustre la baisse de la natalité française annoncée par l’Insee dans son dernier bilan démographique.

Nous avons enregistré 753 000 naissances en 2019, soit six mille de moins qu’en 2018. Une petite baisse, certes, mais pour la cinquième année consécutive. Pourquoi faisons nous moins d’enfants ? Sommes nous pessimistes ? Et si oui, pourquoi ?

Sommes-nous pessimistes ?

Une définition savoureuse d’un pessimiste prétend qu’il s’agit d’un « optimiste  bien informé ». Mais en l’occurrence, les nouvelles sont bonnes et l’optimiste devrait  continuer à voir l’avenir en rose.

Avec la mondialisation, notre planète a connu des progrès considérables. Selon les données de la Banque Mondiale, 88,7 % de la population a désormais accès à l’électricité, la mortalité des enfants de moins de 5 ans est passée de 93,2 sur mille en 1990 à 38,6 en 2018. Le taux d’alphabétisation a augmenté très rapidement au cours des dernières décennies et atteint, en 2017,  89 % des garçons, et 90,03 % des filles (en 2018).

Enfin, nous nous sommes tous enrichis puisque le PIB mondial par habitant s’établissait à 452,7 dollars américains en 1960 et à 11 312 en 2018.

Et la France ?

Oui, allez vous dire, le monde, c’est bien gentil, mais nous, la France, dans tout ça ?

Eh bien la France elle aussi, bizarrement, va de mieux en mieux, et c’est dans ce bizarrement, dans cette contradiction entre les chiffres et nos sentiments, que se niche sans doute le mystère de notre pessimisme.

Notre PIB, calculé en dollars par la Banque Mondiale, s’élevait à 62 225 milliards de dollars en 1960 ; en 2018, il s’établissait à 2,7 billions de dollars. Nous sommes donc beaucoup plus riches qu’autrefois, mais avouons-le, nous avons du mal à le croire.

Nous aurons le temps d’y penser puisque notre espérance de vie n’a cessé d’augmenter, passant de 69 ans en 1960 à 82 ans en 2017.

Enfin, cerise sur le gâteau de l’écologie : nos émissions de CO2 ont baissé. Elles constituaient 5817 tonnes métriques par habitant en 1960 et, après un pic à 9636 en 1979, elles sont redescendues en 2014 à 4573.

Malgré tout, nous restons des pessimistes, peut-être mal informés, mais aussi souvent mal éduqués en économie. Notre frustration, notre sentiment d’abandon, d’aliénation, sont bien réels. Tous ces chiffres cités plus haut ne nous semblent pas affecter notre quotidien.

Et pour une bonne raison, me semble-t-il.

Nous avons perdu le contrôle de nos vies

Depuis l’après guerre, nous nous sommes placés, d’abord confiants, ensuite contraints, dans les mains de l’État. Car s’il existe une religion commune à l’ensemble des Français, c’est bien celle de l’État.

Nous croyons en lui et attendons tout de lui. Du berceau jusqu’au tombeau, nous réclamons son aide. Ce dernier fait donc son travail, réforme, décrète, légifère, et tout cela nous coûte très cher.

Selon l’Insee, la part des dépenses publiques représentait 56,5 % du PIB en 2017, ce qui signifie que les activités privées productives jouent maintenant un rôle minoritaire dans l’économie française, un drame pour la sauvegarde du progrès, donc de nos libertés. Sans progrès, pas de liberté, disait Friedrich Hayek.

Et tout cela, fatalement, va s’aggraver encore, car l’État ne pourra pas s’empêcher, ne serait-ce que pour assurer sa survie, de dépenser davantage. Il faudra bien encore prétendre sauver ce qui reste de nos usines, de nos petits commerces, de nos exploitations agricoles, nos chômeurs, nos banlieues dures, nos écoles un peu molles, nos hôpitaux débordés et nos prisons islamisées.

Toutes ces dépenses publiques, celles d’aujourd’hui et celles de demain, nous feront entrer en radieuse Socialie, parce que nous continuerons à les financer par nos impôts, lesquels sont nombreux et inventifs puisqu’ils vont jusqu’à taxer les cabanes de nos jardins.

Ils nous appauvrissent en échange de subventions sociales diverses et en déclin à mesure que gonfle la part des intérêts de la dette au sein du budget de notre pays. Et nous n’avons rien à dire car nous avons voté pour les députés qui ont concocté toutes ces lois qui nous entravent et nous déresponsabilisent.

C’est ainsi, par exemple, que l’État s’occupe, en ce moment même, de nos retraites, c’est-à-dire de notre avenir qui, quand on y pense un peu sérieusement, ne le regarde pas. Mais l’État s’en occupe quand même, car il croit sincèrement que sa mission est de nous guider vers un lendemain de miel.

Dès lors, cet avenir nous échappe, nous ne le maîtrisons plus. Cet abandon qui est le nôtre devant l’hégémonie de l’État nous fait perdre ce qui devrait constituer le sel de la vie : imaginer le futur, garder la maîtrise de nos destins, épargner pour financer les études de nos enfants, une nouvelle maison, notre grand âge.

Cet optimisme et cette responsabilité sont devenus sans objet. L’État s’occupe de tout, braves contribuables, gentils Gilets jaunes, aimables fonctionnaires syndiqués. De vos études, de votre travail, de votre salaire, de votre chômage, de vos maladies, de votre logement, de vos transports, du prix de l’essence, de votre consommation de sodas gazeux.

Tout va bien, vraiment. Pourquoi ne faites vous pas plus d’enfants ? Pour l’instant, les bébés ne sont pas encore taxés.

source:

En Allemagne, les migrants projettent le taux de natalité à un niveau record

L’afflux de migrants a réussi à stopper le recul de la fécondité en Allemagne. Une première depuis 30 ans.

Pour la première fois depuis 1982, le taux de natalité en Allemagne est reparti à la hausse, relate le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, se référant à l'Office fédéral de la statistique. Le taux de fécondité enregistré dans ce pays en 2015 a atteint 1,5 enfant par femme, un niveau observé la dernière fois seulement en 1982. À titre de comparaison, l'année précédente, le taux n'a pas dépassé 1,47.

Alors que le niveau de natalité pour les femmes qui possèdent la nationalité allemande n'a pas connu de forte augmentation (1,43 en 2015 contre 1,42 en 2014), le taux de fécondité des femmes étrangères a grimpé de 1,86 à 1,95. Avec 1,47 enfant par femme tous âges confondus en 2014, l'Allemagne a connu l'un des taux de fécondité les plus bas d'Europe même si les pays du sud de l'Union européenne font encore moins bien, selon Eurostat. Malgré ce mieux en Allemagne, le niveau de fécondité reste largement sous le seuil de renouvellement des populations qui est de 2,1 enfants par femme.

Source

Grande-Bretagne : Le baby boom des migrants projette le taux de natalité anglais à son plus haut niveau

L’immigration de masse observée dans certaines régions de Grande-Bretagne a eu pour conséquence : un taux de natalité parmi les hauts d’Europe.

Les chiffres officiels reconnaissent une augmentation de 400.000 personnes supplémentaires dans le Royaume-Uni de 2012 à 2013. (…)

Tout le monde s’accorde à dire depuis longtemps que les femmes immigrées ont toutes un taux (ratio) de fécondité supérieur à celui des femmes anglaises de souche mais également arrivent bien souvent sur le territoire avec déjà de nombreux enfants. (…)

Sir Andrew Green, Président de la « Migration Watch UK » , qui mène un combat permanent pour une limitation de l’immigration a donc déclaré à ce sujet « Voici l’exemple parfait de l’impact que peut avoir l’immigration sur notre société »

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