Les minarets hurlent en avril : provocations islamistes à Lyon, Strasbourg, Valentigney…

France : L'Islam en France

 

Joachim Véliocas de l'Observatoire de l'islamisation était l'invité de Boulevard Voltaire le 6 avril 2020 pour évoquer les appels du muezzin amplifiés dans des grandes mosquées françaises.

Helvétie, minarets, porte-avions et Oskar

« La Suisse dans l’histoire aura le dernier mot. »

Victor Hugo: « La Légende des siècles. »

 

 

Par Dominique Schwander

 

En Suisse comme partout en Europe, les musulmans font des pressions incessantes pour obtenir accommodements et concessions conformes à leur islam-idéologie, élargir leur champ d’influence, grignoter le pouvoir et nos lois et malmener la démocratie, cela sournoisement sans encore affirmer clairement et ouvertement, ni leurs idées totalitaires et ségrégationnistes, ni leurs objectifs de jihad offensif, ni leur imposition de la charia. Jusqu’où vont-ils nous mener à leur fantaisie se sont demandés de plus en plus d’Helvètes clairvoyants?

Nombre de parents se sont rendus compte que les revendications sans fin des musulmans gangrènent nos écoles publiques: demandes de dispense de cours de natation, de gymnastique et d’histoire, conflits autour de la nourriture, contestation de nombreuses connaissances enseignées au programme scolaire de l’instruction publique, enseignement de notre Hymne national chrétien, théorie de l’évolution, histoire et science de la vie, contraception, avortement, virginité, liberté religieuse et de conscience, égalité entre les sexes, contestation du contenu des cours d’histoire lorsque l’islam est mis en cause, boycott des cours touchant à l’holocauste, lors d’excursions scolaires refus de visiter des sites historiques qui comprennent églises, couvents, signes religieux, opposition aux camps scolaires mixtes, exigence de lieux et de classes non mixtes, restriction de toutes les occasions de mixité à l’école et dans le domaine public, refus d’examen et d’interrogation des filles par un homme, interdiction d’organiser des fêtes ou des manifestations pendant le ramadan, interruptions des cours pour motif de prières et de ramadan, interdiction des fêtes comme sapin de Noël, oeufs de Pâques, anniversaires, demandes de certificats de virginité, existence de mariages forcés de mineures et de majeures, de crimes d’honneur et de mutilations sexuelles d’enfants, contestation de l’autorité sur les élèves mâles des enseignantes et directrices d’écoles au seul motif de leur sexe féminin, refus de serrer la main aux enseignants, refus d’examen par le médecin et le dentiste scolaire, refus que les élèves suisses portent leurs vêtements traditionnels, etc. Et autres absurdités, telle qu’il faut, vu l’éventualité de perdre leur virginité comme l’affirme des guides doctrinaires musulmans entre autres Ali Khamenei, interdire la bicyclette aux filles qui vont à l’école.

A observer toutes ces revendications des musulmans pratiquants, nombre d'enseignants et parents d’élèves, ont conclu, avec raison, que la communauté musulmane n’a aucun respect du caractère obligatoire de l’école publique dans notre pays, renient nos traditions, nos valeurs et nos vertus et, de plus et surtout, font preuve quotidiennement de ne pas vouloir s’assimiler et au contraire de mettre tout en oeuvre pour nous coloniser.

Pour compléter le tableau voyons encore quelques faits:

  • Certains de nos directeurs et directrices de l’instruction publique ignorent que l’enseignement de la natation dans les écoles a été introduit il y a plus de quarante ans pour lutter contre les quelques 300 décès annuels par noyade chez les enfants et les adolescents. Le budget du Département militaire fut mis à contribution et, grâce à cet enseignement, ces décès diminuèrent drastiquement. Et voilà que certains veulent faire marche arrière pour satisfaire une idéologie extra-européenne néfaste. Plus nos autorités acceptent de telles demandes, plus les adolescentes sont stigmatisées et gardées en isolement, moins les musulmans s’assimilent et plus ils ont de nouvelles exigences.
  • Les guides doctrinaires musulmans, avec une indulgence machiste, épargnent évidemment les garçons et les jeunes hommes de nombre de ces interdits de l’islam-idéologie. Les demandes de dispense ne concernent tout simplement pas les mâles musulmans.
  • En Suisse dans les écoles coraniques et les centres musulmans, les guides de l’islam-idéologie enseignent à des milliers d’enfants musulmans le sexisme, l’endogamie idéologique, l’auto-exclusion, l’infériorité des femmes, la ségrégation, l’apartheid, la polygamie, l’exclusion de l’autre, l’intolérance, le rejet de notre civilisation, de nos lois et de nos valeurs morales et démocratiques.
  • En France voisine par exemple, c’est bien pire. Alors qu’aucun musulman pratiquant est obligé de prier dans une mosquée, en irrespect de la loi de 1905, les élus français adorent favoriser et, avec l’argent des autres, financer la construction de mosquées et d’écoles coraniques pour leur nouveau lumpenprolétariat d’électeurs. En France il y a déjà plusieurs milliers de mosquées. Cela correspond à plus de 300.000 m2 de territoire conquis. A 1 m2 par musulman pratiquant qui prie ostensiblement, cette surface va certainement rapidement se multiplier. Leurs imams sont habituellement soit disciples du salafisme, salafisme qui est l’islam dur pour les purs, soit disciples des frères musulmans, soit rétribués par les pétromonarchies. Ceux qui ne le croient pas devraient lire la deuxième édition du livre de Joachim Véliocas: « Ces maires qui courtisent l’islamisme ». Ces maires français n’utilisent plus le terme mosquée, terme français dérivé  de l’espagnol « mezquita ». Pour tromper les contribuables ils parlent en novlangue de centres culturels et religieux  alors qu’il n’y a qu’une manière de traduire en français le mot arabe « masdjid » qui signifie « lieu où l'on se prosterne », « culos en pompa» comme le disent les Espagnols. Tout comme Munich eut une responsabilité écrasante dans le nazisme, Paris, Londres devenu Londonistan, Stockholm, Berlin et Bruxelles ont une responsabilité énorme en ce qui concerne la reconquête de l’Europe par l’islam-idéologie. Les dirigeants politiques français feraient mieux de moins critiquer les Polonais, les Hongrois, etc, et de plus critiquer les musulmans pratiquants, leurs élus islamo-collabos et eux-mêmes.

Le 29 novembre 2009, grâce à la campagne menée par l’UDC Oscar Freysinger, les Suisses refusèrent aux immigrants musulmans le droit de manifester leur « religion » de manière ostentatoire en construisant de nouveaux minarets. Nombre de musulmans pratiquants ont alors montré combien ils sont bien trop susceptibles pour vivre dans une démocratie directe.

L’interdiction des minarets par les Suisses fut, aussi bien un vote du Souverain en faveur de l’assimilation, de la tolérance et du principe de réciprocité, qu’un vote pour dénoncer le fossé qui sépare, ce que pense de l’islam-idéologie la majorité du peuple le Souverain, de ce que persistent à croire et faire croire nombre d’élus islamo-collabos et de dirigeants politiques européens. Tant d’élus suisses ont fait le choix de dissoudre la Suisse dans l’Eurabia puis l’Eurislam que beaucoup de leurs électeurs perdent confiance dans leurs gouvernants. Ce qui est extraordinaire chez certains de ces élus idiots utiles, ce qui les rend irremplaçables, c’est qu’ils sont tellement stupides et aveugles qu’ils ne se rendent même pas compte qu’ils ne sont plus à l’écoute du Souverain, mais manipulés par l’UE, les USA et des musulmans pratiquants.

Lors de cette votation de 2009 contre les minarets, le message du Souverain helvétique à ses élus fut:

  • Arrêtons de traiter les musulmans avec tant d’égards et de générosité parce qu’ils sont violents, revendicateurs, arrogants, remplissent nos prisons, coûtent cher aux contribuables, ont du pétrole et de traiter les Suisses avec mépris, qu’ils soient chrétiens ou athées, parce qu’ils sont civilisés, consensuels, affables, discrets, respectueux, travailleurs, des entrepreneurs innovants et que ceux qui ont la foi pratiquent discrètement de vraies religions personnelles et intimes. Soyons fiers d’être des Suisses. Nous n’avons aucune raison à nous excuser d’être Suisses. Comme en 2009, nous avons à leur prouver que nous sommes nous, que nous défendons la préférence nationale, aimons la Suisses notre patrie et les Suisses et n’inversons pas nos valeurs.
  • Les élus politiques du pays neutre qu’est la Suisse doivent éviter de s’ingérer dans les affaires politiques de pays étrangers et les critiquer, doivent éviter de devenir des complices de l’ingérence des USA et de leur satellite l’UE dans les pays musulmans tout particulièrement, mais ne doivent plus tolérer que des pays, en particulier musulmans et leurs ressortissants se mêlent de tout chez nous.
  • Toute concession aux musulmans reste une concession idéologique grotesque, carnavalesque, burlesque ou barbare, même si on l’appelle un compromis ou si on la cache sous un autre vocable. Les musulmans ont le devoir de respecter le principe de réciprocité. Ils ont le droit de vivre en musulmans pratiquants, de préférence dans leurs pays musulmans, par contre les Suisses n’ont pas l’obligation de s’adapter à leur inculture étrangère, à leurs exigences, à leurs violences, à leur vision animale du sexe et à leur islam-idéologie. L’histoire a prouvé qu’il n’y a que des accommodements déraisonnables avec l’islam, le contenu barbare, fanatique et antidémocratique de son coran, ses hadiths et ses fatwas.
  • Nous ne vous avons pas élus pour que vous désintégriez notre Etat-nation et le peuple suisse en le privant de sa mémoire historique nationale par déculturation, tout en brisant son unité, ses valeurs et ses vertus par une immigration inconsidérée, démesurée, militante et fort coûteuse, de plus avec des immigrants extra-européens qui. depuis une génération et pour la grande majorité, ne veulent pas faire l’effort de s’assimiler.
  • Nous ne voulons pas de leurs minarets, de leur soit-disante religion, de leurs « valeurs », de leurs mœurs, de leur « culture », de leur vision moyenâgeuse de la société, des femmes, des enfants et du monde, que la Suisse et l’Europe deviennent tiers-monde, que change notre vie, notre culture et notre avenir, que des immigrés profitent allègrement de notre système social sans rien ou guère apporter au pays et par dessus le marché de devoir payer des impôts pour ce qu’est en train de devenir la Suisse en dérive et pour ce foutoir qu’est devenue l’UE.

Vu leurs votes, la majorité des Suisses semblent bien être d’avis que:

  • L’islam-idéologie insulte tout citoyen et toute citoyenne helvétiques épris de liberté, d’égalité des sexes, de logique, de raison et de démocratie directe.
  • Toute soumission aux musulmans et accommodement avec l’islam ou autre idéologie encourage à d’avantage de radicalisme et diminue la qualité de l’enseignement publique, nos libertés, notre manière de vivre et notre qualité de vie.
  • Que signifie, dans une démocratie être tolérant quand on est agressé par l’intolérable et l’intolérance et que le principe de réciprocité n’est pas respecté? Sans réciprocité il ne peut y avoir de dialogue entre civilisations différentes ou d’accord entre Etats-nations. Comment accepter le cruel abattage rituel halal en Europe quand on ne peut pas manger du porc dans un vol de compagnie aérienne de pays musulman, qu’un expatrié doit demander un permis cochon-alcool dans l’émirat d’Abu Dabi ou une licence personnelle pour acheter et boire de l’alcool au Qatar?
  • La régression des conditions féminines dans les écoles et dans les cours de récréation est devenue un grave problème de l’enseignement public, pas seulement en France mais aussi en Suisse.
  • L’islam-idéologie n’est pas une doctrine religieuse comme le catholicisme ou le protestantisme, mais un projet politico-idéologique-légal totalitaire et colonisateur qui ne sait exister que par la guerre sainte, le prosélytisme, la ségrégation, la conquête et la victoire, conquête qui consiste aussi à s’approprier de notre territoire en implantant des minarets dans notre pays.
  • Contrairement à ce que répète l’idéologie relativiste et multiculturaliste de la gauche vertueuse, d’autres groupes bien-pensants et les idiots utiles, toutes les civilisations et les cultures ne se valent pas et toutes ne méritent pas le même respect.
  • Contrairement à notre démocratie directe, l’islam est un bunker idéologique qui ne s’accorde jamais avec le réel, mais fait la guerre sainte pour que notre réel  du XXI ème siècle se soumette à l’islam.
  • Les musulmans s’organisent progressivement et dès qu’ils le peuvent en état  musulman dans notre Etat-nation.
  • Tous les immigrants accueillis en Suisse, musulmans inclus, doivent s’adapter, s’assimiler et se conformer à la culture dominante helvétique, aux valeurs de notre pays et de notre démocratie, en particulier séparer leur « religion » de l’Etat, être Suisse avant d’être musulman et s’assimiler dans notre humanisme du XXI ème siècle ou retourner vivre dans un des nombreux pays musulmans à faible densité de population.
  • En Suisse comme ailleurs, les musulmans réclament, avec arrogance, la laïcité pour les autres, mais surtout pas pour eux; à ce sujet il nous faut garder à l’esprit  que nos cantons et la Suisse ne sont pas laïques comme la France. Les musulmans pratiquants réclament la suppression des sapins de Noël, des chansons de Noël et des oeufs de Pâques, la suppression des chansons et des hymnes qui contiennent des références à Dieu ou à Jésus-Christ, la suppression des signes chrétiens dans les écoles et dans tout espace public, la suppression des manifestions scolaires et des congés liés à notre culture judéo-chrétienne et gréco-romaine, à notre passé et à nos valeurs, la suppression d’emblèmes tels que notre drapeau national et la croix rouge, même les tomates parce qu’elles représentent une croix de croisés quand on les coupe, la suppression de notre calendrier avant et après J-C, la suppression des chiffres romains et même la croix suisse alors que cette dernière n’est pas un signe religieux mais un emblème de notre civilisation et de notre histoire. Compte tenu des relations entre nos églises  chrétiennes et nos gouvernements cantonaux et communaux, il est certains que les Suisses ne sont manifestement pas prêts à abjurer la dimension religieuse de leur patrimoine culturel. Les croix aux entrées de nos villages ne sont pas que la croix de Jésus, c’est aussi un emblème de notre « laïcité » helvétique puisque la séparation de l’église et de l’Etat est une invention chrétienne qui est différente dans chacun de nos cantons. En Suisse, ce sont Calvin à Genève, Viret à Lausanne, qui entendirent maintenir une Église indépendante des autorités civiles et souveraines.
  • Depuis la deuxième guerre mondiale, suite à l’immigration de juifs, de ressortissants de pays de l’URSS pendant la guerre froide, d’Italiens, d’Espagnols, et même d’Asiatiques et de Chiliens communistes, etc, c’est la première fois, en Suisse, que la croyance ou l’idéologie d’immigrants se sent blessée par le pays d’accueil. L’immigration n’était, alors, pas une immigration d’établissement mais surtout de travail. Pour les réfugiés, il s’agissait de vrais réfugiés d’états voisins, pas de faux réfugiés sans formation ou analphabètes de pays éloignés. Le migrant était le plus souvent européen et émigrait  pour économiser un capital en apprenant à travailler vite et bien et nombreux sont ceux qui retournaient vivre dans leur pays d’origine. Depuis une génération, on a passé d’une migration de travail à une migration de peuplement et de colonisation militante. Ces migrants militants/économiques viennent en temps que peuples nous envahir et nous coloniser. La vague migratoire de masse actuelle vient du Moyen Orient et de l’Africanistan (Niger, Tchad, Mali, Burkina, Erythrée, etc, ) et la prochaine vague viendra du Maghreb. Le problème n’est donc pas la Suisse pays d’accueil et nous les Suisses, mais bien l’immigration militante des musulmans eux-mêmes et leur islam-idéologie et des Africains.

Quand il y eut en Suisse ce référendum portant sur l’interdiction des minarets, des élus islamo-collabos ou lâchement « pacifiques », de même que la Conférence des évêques catholiques et des pasteurs protestants, tous des analphabètes de leur propre passé, ont multiplié leurs avertissements puis leurs réprimandes. Le Souverain, soit le peuple suisse, n’a pas écouté ces « élites ». Plein de bon sens et de connaissances historiques, il a voté contre les minarets, ces phares du djihad qui auraient occupé son territoire. Les Suisses ont compris que les minarets des musulmans c’est comme les porte-avions des USA, un territoire conquis; la marine américaine aime à appeler ses puissants porte-avions qui sont l’épine dorsale de leur Défense et de leur pax americana devenue « bellum americanum" «quatre acres et demi de territoire américain souverain et mobile». Les minarets des musulmans ne sont pas mobiles, mais représentent un territoire reconquis par l’islam et poussent en UE et dans le sultanat du Sultan Erdogan comme des champignons ou plutôt des moisissures. En interdisant les minarets, les Suisses ont dit aux musulmans pratiquants qu’ils devaient faire preuve de discrétion en terre de mécréance et qu’en Suisse tout particulièrement ils n’étaient pas en terre d’islam. Ce vote du Souverain suisse ne fut pas une restriction de la liberté religieuse mais une résistance à une conquête ostentatoire, à une dépossession de l’espace publique et du territoire de l’Etat-nation suisse et un rappel que toute vraie religion est une affaire individuelle et intime.

Malgré le résultat de cette votation contre les minarets et les raisons de la décision du Souverain, des dirigeants politiques et des élus malfaisants persistent à proclamer que l’islam est une religion de paix et de tolérance ou plutôt « de pets et de tollé rance », cela paradoxalement justement quand de fervents musulmans pratiquants font exploser des bombes ou assassinent des mécréants dans un café ou une gare. Lorsque des fervents musulmans égorgent un journaliste mécréant, ces élus imitent les perroquets des lieux où on se prosterne (masdjids) et parlent alors d’un faux-pas ou d’un dérapage inopportun. Les journalistes de ces élus confondent leur métier avec le militantisme politique de gauche, cherchent tant à plaire à ces élus qu’ils finissent par abêtir le public. Ces journalistes de gauche sont devenus les vecteurs de la censure du politiquement correct alors que les journalistes de droite deviennent les victimes de cette même censure. De plus le fait qu’ils soient à droite signifie qu’ils sont de vilains racistes. Plus les conséquences désastreuses de leur politique se font sentir, plus insistent ces élus et leurs journalistes, soit leurs prostituées intellectuelles comme les avait dénommés John Swinton alors chef du « New York Times ». Quand des événements viennent ridiculiser leurs prises de position, quand la réalité contredit leurs opinions, ils affirment que c'est parce qu'on n'a pas poussé leur logique du politiquement correct et du mélangez-vous, métissez-vous, aimez les autres jusqu’au mépris des vôtres, suffisamment à fond et avec plus de moyens financiers confisqués aux contribuables. Les médias, qui sont devenus le ministère de propagande de ces élus et qui restent même et encore subventionnés, recourent à la novlangue  qui leur est chère pour répéter les mêmes bêtises et les mêmes mensonges. Il serait beaucoup plus raisonnable que tous nos élus, nos dirigeants politiques et leur ministère de la propagande, soit les mass médias dits merdias de masse ou encore médiocres de masse, dénoncent les ordres impératifs de l’islam-idéologie du coran et les musulmans les pratiquant en Europe. Plus on le fera, plus on ouvrira les yeux des musulmans et plus on encouragera les musulmans dissidents et réformistes à à Réformer l’islam-idéologie, à dénoncer leur intégrisme musulman, leurs terroristes musulmans et leur islamo-racaille, à les maîtriser et à les faire disparaitre, ce qui est de leur responsabilité et leur devoir. 

Après cette votation et actuellement, tout comme chez leurs voisins, monte chez de nombreux Helvètes un accablant sentiment de dépossession, de déculturation, de désorigination, de décivilisation, de dénationalisation, d’envahissement par un deuxième état dans leur Etat-nation et de mondialisme sauvage.  Comme leurs voisins européens, les Suisses sont submergés par un quintuple sentiment frustrant:

  • La mondialisation mal appliquée, qui appauvrit la classe moyenne, grignote le capital qui nous appartient de nos deuxième et troisième piliers de nos rentes vieillesse, délocalise des industries productrices, uniformise les citoyens et les nations et aspire leurs forces vives.
  • L’immigration militante et économique, qui dissout leur identité nationale, leur culture, leurs valeurs et leurs vertus, fait pousser des mosquées comme des moisissures toxiques et résistantes, coûte de plus en plus cher aux citoyens-contribuables et est en train de ruiner leurs communes de domicile.
  • L’UE supranationaliste et multiculturaliste qui dévore leurs libertés, l’état de droit, leur Etat-nation et leur démocratie directe et participative .
  • Les attaques contre leur histoire, même contre leur hymne national. Pour l’UE et la gauche islamo-collabo, l’Europe n’est plus cette terre avec une histoire qui a été successivement romanisée, christianisée et soumise aux disciplines et à l’esprit des Grecs, comme le rappelait Paul Valéry.
  • Non sans bonnes raisons, les Helvètes ne craignent plus un choc de cultures mais un choc avec les deux incultures supranationalistes que sont les dictatures de l’UE et de l’islam-idéologie.

Si tous les peuples européens avaient été consultés et avaient pu s’exprimer par leurs votes, si tous avaient eu pour mener campagne un homme politique clairvoyant, courageux et persévérant comme Oscar Freysinger, notre qualité de vie ne serait pas tellement violentée et notre Etat-nation ne serait pas malmené. Le temps passe. Activons-nous pour que notre Suisse ait le dernier mot, pour que notre qualité de vie redevienne ce qu’elle était et pour que les meilleurs, les plus honnêtes et les plus à l’écoute du Souverain soient élus.

 

PD. Dr. méd. Dominique Schwander

Quarry Heights 17

Panama. R. de Panama

 

 

 

 

Merkel voilée avec, en arrière plan, le Reichstag hérissé de minarets

La chaîne de télévision allemande ARD a réalisé dimanche un montage de la chancelière allemande Angela Merkel en burqa devant le Reichstag hérissé de minarets.

« Qu'est-ce qui se passe avec nos valeurs ? Comment la vie va-t-elle changer ? Comment doit-on réagir si les immigrés ont des problèmes avec l'égalité, avec les droits de la femme et la liberté de parole ? », s'exclame le présentateur, Rainald Becker, de l'émission « Bericht aus Berlin » (« Message de Berlin »).

Merci à Marcus de Riposte Laïque