Afghanistan : les talibans vont de porte en porte, marient de force des filles dès 12 ans et les réduisent en esclavage sexuel.

Commentaire de Robert Spencer:

« Les commandants djihadistes ont ordonné aux imams des zones qu'ils ont prises de leur fournir des listes de femmes célibataires âgées de 12 à 45 ans pour que leurs soldats les épousent, car ils les considèrent comme des "qhanimat" ou "butin de guerre" à partager entre les vainqueurs. »

D'où leur vient cette idée ? Sûrement d'une interprétation "extrémiste" de l'islam ? Voyons donc :

"Ô Prophète, certes, nous t'avons rendu licites tes épouses auxquelles tu as versé leur dot, et celles que ta droite possède parmi celles qu'Allah t'a données comme butin de guerre..." (Coran 33:50)

"Vous sont interdites vos mères, et vos filles, et vos sœurs (…). Et toutes les femmes mariées sauf celles que vos mains droites possèdent." (Coran 4:23-4)

"Les croyants réussissent en effet, qui sont humbles dans leurs prières, et qui fuient les conversations vaines, et qui font l'aumône, et qui préservent leur chasteté, sauf avec leurs épouses et celles que leurs mains droites possèdent, car alors ils ne sont pas blâmables...". (Coran 23:1-6)

(…)

Il a coûté aux États-Unis d’innombrables vies et une quantité incalculable d'argent et de ressources pour supposer, à tort, que ce comportement est "extrémiste", alors qu'il est cautionné à plusieurs reprises dans le texte fondamental de l'islam.

article du MailOnline (extrait):

Le viol de l'Afghanistan : les Talibans vont de porte en porte pour enlever de force des filles dès 12 anas et en faire des 'épouses' esclaves sexuelles pour leurs combattants – le retrait de l'OTAN laisse libre cours à leur progression

(…) Les combattants talibans vont de maison en maison, marient de force des filles dès 12 ans et les réduisent à l'esclavage sexuel, à mesure qu'ils s'emparent de vastes étendues de l'Afghanistan qui étaient jusque-là aux mains des forces gouvernementales.

Les commandants djihadistes ont ordonné aux imams des régions dont ils se sont emparés de leur fournir des listes de femmes célibataires âgées de 12 à 45 ans, afin que leurs soldats les épousent, car ils les considèrent comme des "butin de guerre", à répartir entre les vainqueurs.

Les combattants vont alors de maison en maison pour réclamer leur "dû", allant jusqu'à fouiller dans les armoires des familles pour déterminer l'âge des filles avant de les contraindre à une vie de servitude sexuelle.

Ce traitement brutal des femmes et des jeunes filles n'est que le dernier signe en date de l'effondrement de l'armée régulière afghane, qui a déjà poussé le président afghan à limoger son principal commandant.

Une journaliste a raconté avoir fui une ville du nord de l'Afghanistan - qu'elle n'a pas nommée - et s'être cachée chez son oncle de peur que les islamistes ne la retrouvent et ne l'exécutent.

La jeune femme, âgée de 22 ans, a expliqué qu'elle avait fui sous le nez des talibans après s'être déguisée sous une burqa et qu'elle s'était réfugiée chez son oncle dans un village voisin, mais qu'elle avait été contrainte de fuir à nouveau après que des informateurs eurent signalé sa présence aux combattants.

Aujourd'hui terrée dans un endroit reculé, quelque part dans le nord du pays, elle dit craindre pour sa vie et pour la sécurité de sa famille : " Est-ce que je rentrerai un jour chez moi ? Reverrai-je mes parents ? Où irai-je ? Comment vais-je survivre ?", dit-elle.

Pendant ce temps, des habitants terrifiés qui ont fui la ville de Koundouz, prise par les talibans la semaine dernière, ont parlé des représailles menées par les combattants djihadistes, qui ont traqué toute personne liée au gouvernement et l'ont décapitée ou abattue.

Les talibans se sont emparés de 9 des 34 capitales provinciales de l'Afghanistan et ont assiégé la plupart des grandes villes du pays dans un assaut fulgurant qui a vu les forces gouvernementales capituler en grande partie. (…)

Source : Afghanistan: Taliban going door-to-door, forcibly marrying girls as young as 12, forcing them into sex slavery – Jihad Watch

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Taliban jihadis seizing girls as “spoils of war” in Afghanistan

Vidéo 7:13 en anglais

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Les terroristes talibans exigents des chefs tribaux des villes qu'ils leur livrent des filles et des femmes pour le "djihad sexuel"

Un document publié par le service de presse du mouvement terroriste taliban a montré leur ordre donné dans toutes les provinces de l'Afghanistan pour activer ce qui est faussement appelé "djihad sexuel", selon la croyance des talibans et d'autres mouvements terroristes.
Cette récente décision montre la perversité de l'organisation terroriste, qui prétend injustement appartenir à l'islam, tout en pratiquant les actes les plus méprisables.
Le document publié par le mouvement terroriste, qui a été mis à la disposition de Shia Waves, comprenait un ordre aux notables et aux chefs tribaux des villes et des États afghans, de remettre à ses membres toutes les filles de plus de 15 ans, ainsi que les veuves et les femmes divorcées de moins de 45 ans, afin qu'ils puissent pratiquer leur brutalité, représentée par le soi-disant "djihad sexuel".
Ces appels trompeurs du mouvement terroriste s'inscrivent dans le cadre de ses tentatives continues de contrôler le plus grand nombre de villes et d'États afghans après le départ des forces étrangères du pays, et rappellent ce que les éléments criminels de l’État islamique ont fait quand ils contrôlaient un partie de l’Irak [et de la Syrie].

Source : Taliban terrorists demand tribal leaders of cities to hand over girls and women for "sexual jihad" – Shia Waves

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Traductions Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Articles plus complets en anglais :

Mail Online (traduction automatique), avec vidéos et nombreuses photos

The Sun (traduction automatique), avec photos, vidéo et carte

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Voir aussi :

Les talibans et l’ÉI se battent pour la suprématie en Afghanistan après le départ des troupes américaines et de l’OTAN (30 juillet)

Afghanistan : les Etats-Unis alertent leurs ressortissants, Moscou redoute une «guerre civile» (7 août)

En Afghanistan, l’empire financier des talibans contribue à leur avancée (11 août)

Afghanistan : trois nouvelles capitales provinciales tombent aux mains des Taliban (13 août)

Alors que les talibans s’approchent de Kaboul, le chef d’état-major afghan a été remplacé (13 août)

Kandahar, la deuxième ville d’Afghanistan, tombe entre les mains des Taliban (14 août)

«Chaos tragique» : Biden sous le feu des critiques aux Etats-Unis face à la situation en Afghanistan (14 août)

 

Suède : Le gouvernement autorise le mariage des enfants pour des “raisons particulières”

Par Robert Spencer

Comme on s’y attendait depuis longtemps, la Suède est en train de capituler devant la charia, morceau par morceau.

Ne croyez pas que cela s'arrêtera aux mariage des enfants. Il y a encore beaucoup de charia à mettre en place.

Le mariage des enfants est abondamment attesté par la tradition et la loi islamiques.

La direction des affaires religieuses de Turquie (Diyanet) a déclaré en janvier 2018 qu'en vertu de la loi islamique, les filles peuvent se marier dès l'âge de neuf ans.

"L'islam n'a pas de limite d'âge pour le mariage et les musulmans n'ont aucune excuse pour ceux qui refusent de l'accepter" - Ishaq Akintola, professeur d'eschatologie islamique et directeur de Muslim Rights Concern, Nigeria.

"Il n'y a pas d'âge minimum pour le mariage, que ce soit pour les hommes ou les femmes, dans la loi islamique. Dans de nombreux pays, la loi n'autorise les filles à se marier qu'à partir de l'âge de 18 ans. Il s'agit d'une législation arbitraire, et non de la loi islamique." - Dr Abd Al-Hamid Al-'Ubeidi, expert irakien en droit islamique.

Il n'y a pas d'âge minimum pour le mariage et les filles peuvent être mariées "même si elles sont au berceau". - Dr Salih bin Fawzan, éminent clerc et membre du plus haut conseil religieux d'Arabie saoudite.

"L'islam n'interdit pas le mariage des jeunes enfants". - Conseil d'idéologie islamique du Pakistan

Ces autorités disent ces choses parce que des hadiths que les musulmans considèrent comme authentiques rapportent que l'épouse préférée de Mahomet, Aïcha, avait six ans quand Mahomet l'a épousée et neuf ans quand il a consommé le mariage :

"Le Prophète a rédigé le contrat de mariage avec Aïcha alors qu'elle avait six ans, il a consommé son mariage avec elle alors qu'elle avait neuf ans et elle est restée avec lui pendant neuf ans (c'est-à-dire jusqu'à la mort de Mahomet)" (Bukhari 7.62.88).

Dans une autre tradition, c'est Aïcha elle-même qui raconte la scène :

Le Prophète m'a fiancée alors que j'étais une jeune fille de six (ans). Nous sommes allés à Médine et avons séjourné dans la maison de Bani-al-Harith bin Khazraj. Puis je suis tombée malade et mes cheveux sont tombés. Plus tard, mes cheveux ont poussé (de nouveau) et ma mère, Um Ruman, est venue me voir alors que je jouais à la balançoire avec quelques unes de mes amies. Elle m'a appelée et je suis allée vers elle, sans savoir ce qu'elle voulait me faire. Elle m'a attrapée par la main et m'a fait rester debout devant la porte de la maison. J'étais essoufflée et lorsque ma respiration s'est rétablie, elle a pris de l'eau et m'a frotté le visage et la tête avec. Puis elle m'a fait entrer dans la maison. Là, dans la maison, j'ai vu quelques femmes Ansari qui m'ont dit : "Meilleurs vœux et bénédiction d'Allah et bonne chance." Puis elle me confia à elles et elles me préparèrent (pour le mariage). De façon inattendue, l'Apôtre d'Allah est venu me voir dans l'avant-midi et ma mère m'a remise à lui, et à cette époque j'étais une fille de neuf ans. (Bukhari 5.58.234).

Mahomet était alors âgé de cinquante-quatre ans.

Épouser des jeunes filles n'était pas si inhabituel pour l'époque, mais comme dans l'islam Mahomet est l'exemple suprême de conduite (cf. Coran 33:21), il est considéré aujourd'hui comme exemplaire à cet égard. C'est ainsi qu'en avril 2011, le mufti du Bangladesh, Fazlul Haque Amini, a déclaré que ceux qui tentaient de faire passer une loi interdisant le mariage des enfants dans ce pays mettaient Mahomet sous un mauvais jour : "Interdire le mariage des enfants entraînera la remise en question du mariage du saint prophète de l'islam, [mettant] le caractère moral du prophète en question et en controverse." Il a ajouté une menace : "L'islam autorise le mariage des enfants et il ne sera pas toléré qu'un dirigeant tente de toucher à cette question au nom de l'octroi de plus de droits aux femmes." Le mufti a déclaré que 200'000 djihadistes étaient prêts à sacrifier leur vie pour toute loi restreignant le mariage des enfants.

De même, en décembre 2010, l'influent site Islamonline.com a justifié le mariage des enfants en invoquant non seulement l'exemple de Mahomet, mais aussi le Coran :

Le Noble Coran a également mentionné la période d'attente [c'est-à-dire pour qu'une femme divorcée puisse se remarier] pour la femme qui n'a pas encore eu ses règles, en disant : "Et celles qui n'attendent plus de menstruation parmi vos femmes, si vous en doutez, alors leur période est de trois mois, et [aussi pour] celles qui n'ont pas eu de menstruation" [Coran 65:4]. Comme cela n'est pas nié par la suite, nous pouvons déduire de ce verset qu'il est permis d'avoir des rapports sexuels avec une fille prépubère. Le Coran n'est pas comme les livres de jurisprudence qui mentionnent les implications des choses, même si elles sont interdites. Il est vrai que le prophète a conclu un contrat de mariage avec A'isha lorsqu'elle avait six ans, mais il n'a eu de rapports sexuels avec elle qu'à l'âge de neuf ans, selon al-Bukhari.

D'autres pays font de l'exemple de Mahomet la base de leurs lois concernant l'âge légal du mariage pour les filles. L'article 1041 du code civil de la République islamique d'Iran stipule que les filles peuvent être fiancées avant l'âge de neuf ans, et mariées à neuf ans : "Le mariage avant la puberté (neuf années lunaires complètes pour les filles) est interdit. Le mariage contracté avant d'atteindre la puberté avec l'autorisation du tuteur est valide à condition que les intérêts du pupille soient dûment respectés."

Selon Amir Taheri dans The Spirit of Allah : Khomeini and the Islamic Revolution (pp. 90-91), l'ayatollah iranien Khomeini a lui-même épousé une fille de dix ans alors qu'il avait vingt-huit ans. Khomeini a qualifié le mariage avec une fille prépubère de "bénédiction divine" et a conseillé aux fidèles de donner leurs propres filles en conséquence : "Faites de votre mieux pour que vos filles ne voient pas leur premier sang dans votre maison". Lorsqu'il a pris le pouvoir en Iran, il a abaissé l'âge légal du mariage des filles à neuf ans, conformément à l'exemple de Mahomet.

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Le gouvernement suédois dit OUI au mariage des enfants pour des 'raisons particulières'

Article traduit de "Regeringen säger JA till barnäktenskap vid 'synnerliga skäl'", Fria Tider, 9 avril 2021 :

Loi et droit – Le gouvernement dit oui à l'approbation du mariage des enfants s'il y a des "raisons particulières". C'est ce que stipule un projet de loi qui devrait entrer en vigueur le 1er juillet de cette année. Dans le même temps, l'exigence explicite de 18 ans dans le texte de loi est supprimée.

Sur son site web, le gouvernement a caché le nouveau projet de loi derrière un communiqué de presse concernant l'interdiction de reconnaître la polygamie étrangère.

- Le fait que les hommes soient autorisés à épouser plusieurs femmes n'est pas compatible avec le principe d'égalité de traitement des conjoints sur lequel repose le droit suédois et avec les exigences d'égalité, commente le ministre de la justice et des migrations, Morgan Johansson, même s'il est prêt à faire certaines exceptions.

La question de savoir comment traiter les immigrants qui ont des enfants mariés est une question politique encore plus sensible.

Il y a trois ans, l'opposition de droite a exigé une interdiction totale de toute forme de mariage dans lequel l'une des parties est mineure. La coalition de gauche au pouvoir a au contraire déclaré que le mariage d'enfants devait être accepté dans certains cas par les autorités suédoises.

- Nous avons aujourd'hui en Suède des filles et des garçons, c'est-à-dire des citoyens suédois, qui cohabitent entre eux, qui ont des relations sexuelles entre eux, qui vivent ensemble et qui ont des enfants ensemble, a commenté la députée sociale-démocrate Hillevi Larsson lors d'un débat parlementaire au cours duquel elle a tenté de défendre le mariage des enfants.

Lors d'un vote en mars 2018, le parlement a finalement passé outre à l'avis gouvernement et voté une interdiction totale. En effet, les modérés, les démocrates suédois, les chrétiens-démocrates, le parti du centre et les libéraux se sont mis d'accord sur une motion pour une telle interdiction.

Suppression de l'obligation des 18 ans

Le gouvernement est revenu à la charge avec un projet de loi dans lequel il souhaite faire une exception à l'interdiction totale demandée par le parlement. La nouvelle proposition de loi abolit la condition explicite actuelle de 18 ans pour les mariages contractés en vertu d'une loi étrangère. En outre, le mariage d'enfants pourra être approuvé en Suède s'il "existe des raisons particulières".

"Pour qu'il y ait des raisons spéciales, il faut que le refus de reconnaissance dans le cas individuel ait des conséquences graves, par exemple pour quelqu'un dans le couple, ou qu'il semble autrement déraisonnable de ne pas reconnaître le mariage", écrit le gouvernement, qui laisse au pouvoir judiciaire le soin de décider ce qui doit être considéré comme des "raisons particulières".

Selon une proposition de texte juridique, l'exemption s'applique si les deux parties ont désormais plus de 18 ans, mais que le mariage n'a pas été établi conformément à la loi suédoise. Par exemple, dans les cas où les enfants divorcent ou les femmes sont forcées d'épouser quelqu'un contre leur gré. Le gouvernement souhaite que la nouvelle loi entre en vigueur le 1er juillet de cette année.

Plusieurs organismes consultatifs critiquent la proposition du gouvernement de dire oui à certaines formes de mariage d'enfants. Parmi eux, "Les droits des filles dans la société" et "Ni putes ni soumises".

"Un État de droit tel que la Suède doit également être en mesure de traiter les droits de ces femmes et enfants vulnérables, même lorsque les circonstances sont extrêmement difficiles dans les cas où ils ont contracté un mariage à l'étranger dans des conditions contraires à la loi suédoise", écrit Les droits des filles dans la société dans sa réponse.

"Nous pensons qu'il ne faut pas faire d'exception en ce qui concerne les mariages d'enfants et les mariages forcés, même pas pour des raisons particulières", écrit Ni putes ni soumises.

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Source : https://www.jihadwatch.org/2021/04/sweden-government-allows-child-marriage-for-extraordinary-reasons

Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch