Des centaines d’écoles britanniques reçoivent des menaces à la bombe envoyées par e-mail suivies d’un texte en arabe.

Des centaines d'écoles à travers l'Angleterre ont reçu lundi une alerte à la bombe, provoquant des évacuations.

La menace envoyée par message électronique prétendait qu'une bombe avait été placée sur les terrains scolaires et serait déclenchée si les demandes n'étaient pas satisfaites.

Les courriels proviendraient des États-Unis et ont été envoyés à travers le Royaume-Uni, principalement à Londres, Northumberland et Humberside.

Des écoles de West Midlands, du Lincolnshire, du Gloucestershire, de Bristol, du Bedfordshire, de Manchester et de Liverpool ont également reçu ce courriel.

 

 

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L'email de menace dirait ceci: «Ce message s'adresse à tout le monde. Nous avons envoyé un étudiant avec une bombe. La bombe doit exploser dans 3 heures. (...)

'Si vous n'envoyez pas l'argent! Nous ferons exploser l'engin. Notre site possède toutes les informations nécessaires.

'Si vous essayez d'appeler les flics, nous FERONS exploser l'engin sur le champs! TOUTE tentative de désamorçage par vos propres moyens le fera exploser.

Le mail est ensuite suivi par un texte en arabe.

 

 

L'école primaire catholique Lady Immaculate à Tolworth, l'école Cardinal Road à Feltham, à l'ouest de Londres et le collège communautaire Thurston à Suffolk auraient été évacués.

A 11h10, la police métropolitaine a tweeté: "La police enquête sur des informations faisant état de communications faites dans plusieurs écoles de Londres aujourd'hui, lundi 19 mars.

"Il n'y a pas eu d'arrestations. Les enquêtes sont en cours.

La police du North Yorkshire a déclaré au Mirror: "Nous avons eu un certain nombre de rapports ce matin concernant un canular de bombe dans plusieurs de nos écoles à travers le comté.

"On pense que c'est un problème national.

Nos inspecteurs de l'Unité de la cybercriminalité, appuyés par des agents locaux, ont examiné ces incidents et on ne croit pas qu'il existe une véritable menace.

"Nous travaillons avec les écoles pour rassurer et répondre à toute préoccupation."

 

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Triche d’Hillary Clinton prévenue à l’avance de questions: Une consultante de CNN démissionne

Nous parlions de cette affaire déjà ici. Devant la gravité des faits, la journaliste est licenciée.

Visiblement ce que divulgue WikiLeaks est considéré comme très important aux USA, tout le contraire des médias européens qui ont longtemps évité de parler de toutes ces révélations, préférant écrire des articles anti-Trump.

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CNN a annoncé lundi 31 octobre avoir cessé de collaborer avec Donna Brazile, présidente du Comité national démocrate et commentatrice politique, après la publication par WikiLeaks de courriels laissant entendre qu’elle a communiqué à l’équipe d’Hillary Clinton des questions prévues pour un débat.

https://youtu.be/xtBbaTM368E

Source et article complet

Clinton connaissait certaines questions. Les accusations de Trump sont confirmées.

Hillary Clinton a reçu en avance des questions qui lui ont été posées lors de débats de la primaire démocrate, révèlent des emails publiés lundi par WikiLeaks, qui confirment des accusations lancées par Donald Trump.

Un des emails rendus publics est particulièrement parlant: rédigé par l'actuelle présidente intérimaire du Parti démocrate, Donna Brazile, il est adressé à John Podesta, président de la campagne de Mme Clinton et Jennifer Palmieri, directrice de la communication de la candidate.

«Une des questions qui sera posée à HRC (Hillary Rodham Clinton, NDLR) proviendra d'une femme qui a une éruption cutanée», avertit Mme Brazile, qui officiait alors comme commentatrice sur la chaîne CNN. «Sa famille a été empoisonnée au plomb et elle demandera ce qu'Hillary pourrait faire pour les gens de Flint si elle devient présidente», précise Donna Brazile.

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WikiLeaks: les journalistes d’AP impliqués dans le scandale Clinton

Les révélations de WikiLeaks ne s’arrêtent pas. La correspondance de John Podesta, directeur de campagne de la candidate démocrate à l’élection présidentielle américaine Hillary Clinton, publiée par le site, dévoile les liaisons de l’équipe de Mme Clinton avec les journalistes de l’agence Associated Press (AP).

Les journalistes de l'agence Associated Press (AP) étaient impliqués dans le règlement du scandale autour de la correspondance de la candidate démocrate à l'élection présidentielle américaine Hillary Clinton, apprend-on de la correspondance de John Podesta, directeur de campagne de Mme Clinton, publiée par WikiLeaks.

La correspondance rendue publique par WikiLeaks dévoile les discussions datées de juin 2015 au sein de l'équipe d'Hillary Clinton visant le règlement du scandale autour de son proche, Sidney Blumenthal, qu'elle n'avait pas soumis à l'examen du département d'État à l'époque.

Le plan d'actions dédié est discuté dans cette correspondance avec la participation du porte-parole d'Hillary Clinton, Brian Fallon. En particulier, le représentant de campagne de Mme Clinton Nick Merrill évoque dans un mail l'idée de « remettre une histoire » aux journalistes amis de l'agence AP Matt Lee ou Bradley Klapper. Une copie de l'article écrit par ces auteurs est également ajoutée dans le fil de la correspondance. Cet article cite les propos de Nick Merrill qui indique que les 55 000 pages de documents ont été soumises à l'examen du département d'État, y compris tous les courriels de Sidney Blumenthal, justement celles que les fonctionnaires n'avaient pas trouvé.

En tant que secrétaire d'État entre 2009 et 2013, Hillary Clinton menait sa correspondance de travail via sa propre ressource privée. Elle a été ainsi accusée de cacher des informations et de faire potentiellement fuiter des secrets d'État. Mme Clinton a soumis près de 30 000 emails à l'examen du département d'État, mais a supprimé 30 000 courriels supplémentaires qu'elle a déclarés comme personnels.

Le Bureau fédéral d'enquête (FBI) avait déjà enquêté sur l'utilisation par Mme Clinton en tant que secrétaire d'État d'un serveur privé pour envoyer et recevoir des informations classées confidentielles. Selon les conclusions du bureau, les actions de Mme Clinton ne constituaient pas un crime. Cependant, selon l'annonce vendredi 28 octobre du membre du Congrès et chef du comité de surveillance de la Chambre des représentants Jason Chaffetz sur Twitter, le FBI vient de rouvrir l'affaire des emails d'Hillary Clinton. Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join ».

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Nos remerciements à Didier S.

Le FBI va enquêter à nouveau sur les emails d’Hillary Clinton

Dans une lettre dévoilée ce vendredi, le patron du FBI indique que ses services vont mener de nouvelles investigations dans l'affaire des emails de l'ancienne secrétaire d'Etat. De nouveaux éléments seraient apparus.

A 11 jours du premier tour de la présidentielle américaine, l'annonce est fracassante. Le directeur du FBI James Comey a écrit à des élus ce vendredi pour les informer que ses équipes allaient de nouveau enquêter sur l'affaire de la messagerie privée d'Hillary Clinton, dans une lettre rendue publique par des élus républicains du Congrès.

"Dans le cadre d'une affaire distincte, le FBI a pris connaissance de l'existence d'emails semblant pertinents pour l'enquête", indique James Comey. "Je vous écris pour vous informer que l'équipe enquêtrice m'en a informé hier, et que j'ai donné mon accord pour que le FBI prenne les mesures d'enquête appropriées afin de permettre aux enquêteurs d'examiner ces emails et de déterminer s'ils contiennent des informations classifiées".

Selon le New York Times, ces nouveaux emails auraient été découverts sur du matériel électronique saisi et appartenant à Huma Abedin, ancienne collaboratrice d'Hillary Clinton, et à son mari, Anthony Weiner. Cet ancien représentant démocrate avait démissionné en 2011 de son poste à la suite d'un scandale de textos à caractère sexuels.

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