Kenya : Rien qu’à Nairobi, des milliers d’ados tombées enceintes durant le confinement, dont 500 gamines de 10 à 14 ans

Dans la seule ville de Nairobi, près de 5000 filles sont tombées enceintes, dont plus de 500 étaient âgées seulement de 10 à 14 ans, selon les données compilées par le ministère.

«Devenir mère quand on est encore adolescente est une catastrophe dans la vie d’une fille, qui perd ainsi en autonomie. Le plus souvent, cela augure mal de ses chances d’atteindre son plein potentiel», a regretté en juin le ministre de la Santé, Mutahi Kagwe.

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20min.ch

 

Suissesse tuée au Kenya – «Elle craignait pour sa vie et devait se cacher»

Une Suissesse de 74 ans a été violée et étranglée au Kenya.

Une missionnaire bâloise a été violée et étranglée, dans la nuit de mardi à mercredi, à Milimani, au Kenya. Selon un ami, elle vivait dans la peur depuis un moment déjà.

L.B., une Bâloise de 74 ans, est morte dans d'atroces conditions, dans la nuit de mardi à mercredi, dans la maison qu'elle louait à Milimani.

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article complet:

Kenya : trois enseignants chrétiens assassinés par des islamistes d’al-Shabaab

Aux petites heures de ce matin, lundi 13 janvier, des militants du groupe islamique al-Shababb – originaire de la Somalie voisine – ont attaqué le centre d’hébergement des enseignants de l’école primaire de Garissa.

Ils ont froidement abattu trois enseignants qui s’y trouvaient. Un quatrième enseignant a été grièvement blessé et un autre aurait été enlevé. Le dortoir des enseignants a été incendié.

Source : International Chistian Concern, 13 janvier 2020.

Via Christianophobie.fr

Au Kenya, 9 chrétiens sortis d’un bus et abattus car ils refusaient de réciter la Shahada islamique

Au Kenya, neuf chrétiens ont été abattus par des « combattants présumés d’Al-Shabaab ». Deux autres sont toujours portés disparus.

Athanus, Enos, Kelvin, Wisely, Tikanee, Leonard, Francis, Rodgers et Anchari. Tous ont refusé de réciter la déclaration de foi islamique, la Shahada. Tous ont été assassinés. Deux autres, Emmanuel et Nathan, sont toujours portés disparus.

Leur bus a été attaqué à proximité de Kotulo, dans le nord-est du Kenya, le 6 décembre, par des « combattants présumés d’al-Shabaab ».  International Christian Concern (ICC) explique que les passagers ont dû descendre du bus. Devant leur refus de réciter la Shahada, ils ont été « abattus à bout portant ».

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Infochretienne.com / Christianophobie.fr

Kenya: Un couple suisse agressé brutalement. L’hôpital exige CHF 6000.- pour rendre le cadavre du mari.

KENYA - Ursula et Hans-Rudolf, un couple de Bienne, ont été brutalement agressés au Kenya. L'homme s'est rendu à l'hôpital avec des blessures graves. Les fortes demandes d'argent de l'hôpital ont mené l'épouse au désespoir.

Au final, Hans-Rudolf Schneider est mort d'une infection.

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Ursula (75 ans) et Hans-Rudolf Schneider († 70) de Biel BE avaient acheté une maison avec beaucoup de terrain près de Mombasa (Kenya). Mais à la fin du mois de février, leur paradis est devenu un enfer.

Dans la soirée du 22 février, trois hommes ont pénétré dans leur maison armés de machettes. Ce soir-là, Dolores Keller (69 ans), une amie du couple, rendait visite.

Dans la maison, les cambrioleurs ont tabassé Hans-Rudolf Schneider, l'abandonnant inconscient et en sang dans le salon. 

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"Les cambrioleurs ont ravagé la maison durant une heure et demie. Ils étaient vraiment brutaux. Ils se sont ensuite approchés d'Ursula et de moi. Ils nous ont plaquées sur le canapé et nous ont menacées. On devait se taire et ne faire aucun bruit", explique Dolores Keller. Argent, téléphone mobile, ordinateur portable et tablette: ils ont tout pris avec eux. Puis les trois hommes se sont enfuis dans la nuit.

Avec l'aide des voisins locaux, les deux femmes, ont immédiatement amené Hans-Rudolf à l'hôpital de Mombasa.

Là-bas, ils vont connaître un autre choc. "Ils ne voulaient pas traiter Papa avant que ma mère ne paie CHF 2500 en liquide", explique M.L. (52 ans) en colère. Le fils du couple Schneider a été alarmé du drame par Dolores Keller.

L'hôpital exigeait plus de CHF 10'000.--

Ces demandes d'argent sont répétées chaque jour durant le séjour de Hans-Rudolf Schneider à l'hôpital. « Nous devions payer plus de CHF 10'000.-- jusqu'à dimanche. » déclare L.. Depuis que le couple avait émigré en 2003, il ne possédait plus d'assurance maladie.

Dimanche, l'état de Hans-Rudolf Schneider s'est rapidement aggravé. Il a contracté une infection à l'hôpital et il a été placé dans un coma artificiel. Il a subi une forte fièvre.

"Nous avons parlé à la Rega au téléphone et nous avons organisé un rapatriement - le vol vers la Suisse était prévu pour ce lundi", déclare L. Mais cela ne se fera pas. Hans-Rudolf Schneider meurt le 4 mars, juste un jour avant son retour en Suisse, comme le confirme le Département fédéral suisse des affaires étrangères.

Au lieu d'exprimer sa sympathie, l'hôpital présente une facture à l'épouse: Ursula Schneider doit payer 6000 francs, sinon le corps de son mari ne sera pas rendu. "Cette arnaque est incroyablement cruelle, surtout en cette période difficile", déclare Dolores Keller, qui se tient aux côtés de son amie.

Ursula Schneider ne sait pas comment obtenir l'argent. Elle a tout perdu lors du cambriolage.

Source et article complet Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à notre lectrice

 

Rappels:

Pendant ce temps, nous déroulons le tapis rouge à n'importe quel Africain qui vient chez nous, gratuitement:

Pendant que les requérants d’asile bénéficient de soins dentaires gratuits, de nombreux Vaudois y renoncent par peur de la facture.

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Le Kenya était un pays prioritaire de la coopération au développement de la Suisse (DDC) depuis les années 1970 jusqu’en 2006. Entre 1990 et 2012, l’Aide humanitaire de la DDC a investi dans la région Corne de l’Afrique dans la reconstruction, la réhabilitation et la transformation des conflits, principalement auprès des nations émergentes pendant et après les guerres civiles. Depuis le début du XXIe siècle, la Suisse a en parallèle soutenu activement la consolidation de la paix et le renforcement de l’État, ainsi que les programmes de déminage, par l’intermédiaire de la Direction politique (DFAE) et du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS).

Source

Kenya. 147 étudiants chrétiens massacrés: « De bonnes vacances de Pâques pour nous » déclarent les islamistes

05/04/15 : Le président du Kenya appelle à ne pas « stigmatiser » les musulmans du Kenya.

Le Kenya a entamé, dimanche 5 avril, trois jours de deuil national à la mémoire des 148 victimes de l’attaque de l’université de Garissa perpétrée par les islamistes somaliens Chabab. Le pays, chrétien à 80 %, célèbrera Pâques dans le chagrin : les messes données à travers le pays seront largement dédiées aux personnes tuées jeudi à l’aube sur le campus de l’université.

Le gouvernement essuie depuis trois jours les critiques pour son incapacité à enrayer un cycle d’attaques des islamistes Chabab sur le sol kényan ayant fait plus de 400 morts depuis mi-2013.

Le président a affirmé que les Chabab ne réussiront pas à instaurer un califat au Kenya. Le Kenya fera «tout pour défendre son mode de vie», a-t-il déclaré, demandant l’aide de la communauté musulmane locale pour lutter contre les islamistes.

M. Kenyatta a parallèlement exhorté le pays et ses différentes communautés à rester unis : «Faisons en sorte que notre colère justifiée (…) ne débouche sur aucune stigmatisation», en référence aux musulmans, Somaliens ou Kényans d’ethnie somali, souvent pointés du doigt ou victimes d’abus policiers après de telles attaques. Samedi, une poignée de manifestants a défilé dans le quartier majoritairement somali d’Eastleigh à Nairobi, rappelant que « les musulmans sont aussi victimes du terrorisme» ou qu’être «musulman n’est pas être Chabab».

rfi


03 /04/15

Les survivants du massacre de l’université kényane de Garissa, dans lequel 147 personnes ont été tuées, racontent l’horreur, mais aussi le sarcasme des assaillants.

Car avant d’exécuter froidement leurs victimes, les islamistes somaliens shebab, qui ont réveillé les étudiants l’arme au poing jeudi, séparant les musulmans des non musulmans en fonction de leurs habits, se sont littéralement amusés, raconte Salias Omosa, un survivant de 20 ans.

« Nous ne craignons pas la mort, cela va être de bonnes vacances de Pâques pour nous » criaient en swahili les terroristes.

« Ils ont dit aux femmes de nager dans le sang« , comme pour se moquer d’elles, jouer avec elles, avant de partir en les ignorant raconte un secouriste.

Source

Via Fdesouche.com