Un demandeur d’asile irakien débouté couche avec une femme ivre, la tue et la découpe en morceaux, mais nie le crime en prétextant qu’il est homo

  • Azam Mangori est accusé d'avoir eu des relations sexuelles avec Lorraine Cox dans une ruelle alors qu'elle était ivre après une soirée, avant de la ramener dans son appartement et de la tuer.
  • Le jeune homme de 24 ans a dit à la police qu'il n'aurait pas pu le faire parce qu'il est gay
  • Mme Cox, 32 ans, a disparu après une soirée entre amis à Exeter en août de l'année dernière
  • Mangori admet avoir empêché l'enterrement mais nie le meurtre et le procès se poursuit

Azam Mangori, 24 ans, demandeur d'asile kurde irakien, est accusé d'avoir tué Lorraine Cox, 32 ans, après avoir eu des relations sexuelles avec elle, et d'avoir coupé son corps en sept morceaux.

Lorraine Cox, 32 ans

Il tenté systématiquement d'effacer ses traces, après avoir attiré Lorraine Cox ivre dans la chambre qu'il habitait, au-dessus d'un magasin de kebab dans le centre-ville d'Exeter en août dernier, un lundi férié.

Lorraine Cox, 32 ans, avait disparu après une soirée avec des amis, et la police a ouvert d'abord une enquête pour disparition.

Une enquête pour meurtre a été ouverte après la découverte de sa dépouille une semaine plus tard.

Le procureur Simon Laws QC a continué d'exposer le dossier contre Mangori, qui nie avoir assassiné la femme de 32 ans.

Mangori est sorti vers 2 heures du matin ce jour-là et a repéré Lorraine qui rentrait seule chez elle.

Il a eu des relations sexuelles avec elle dans une ruelle - ce qu'il a enregistré sur son téléphone - et l'a ensuite emmenée dans sa chambre où il l'a tuée.

Il a ensuite utilisé la carte SIM de sa victime pour faire croire à ses amis et à sa famille, inquiets, qu'elle était toujours en vie.

Cette carte SIM a été retrouvée plus tard sous une plaque d'égout près du magasin de kebab - tandis que dans une ruelle proche, la police a plus tard trouvé des sacs poubelles noirs scellés avec du ruban adhésif contenant ses bras et ses jambes.

Des caméras de surveillance on filmé Mangori en train de se rendre dans des magasins locaux et d'acheter des sacs poubelle noirs, du ruban adhésif, un foehn pour sécher un tapis taché de sang, un purificateur d'air pour cacher l'odeur du corps en décomposition dans sa chambre, des bâches pour empêcher les éclaboussures de sang sur les murs, et une valise.

Il a également acheté du matériel de nettoyage et consulté un site Web pour savoir "comment creuser une tombe à la main'', puis il a été vu sur vidéosurveillance en train d'acheter une truelle.

Dix jours avant le meurtre, il avait acheté un grand couteau de cuisine qu'il a utilisé ensuite pour découper le corps.

Dans le sac à dos de Lorraine, elle avait un papier avec ses mots de passe, et Mangori l'a photographié pour les utiliser pour ses faux messages.

Lorraine était allée au kebab la nuit de sa mort et avait mangé un kebab sur un banc à proximité.

Mais lorsque la police a examiné de plus près la vidéosurveillance, cela montrait Mangori quittant le bâtiment à 2 h 03, puis Lorraine et un homme s'embrassan, puis Mangori revenant à 2 h 45.

La police a interrogé Mangori, "qui pensait toujours qu'on ne se doutait de rien'', a déclaré le procureur, ajoutant: "Il jouait la comédie depuis le début.''

Il a prétendu être Christopher Mayer et a présenté une carte d'asile à ce nom - mais on lui avait refusé l'asile au Royaume-Uni en décembre 2018 et il était passible d'expulsion.

La police lui a montré l'image de lui avec Lorraine, mais il a dit qu'il ne croyait pas que c'était lui.

Il a dit: "Je suis gay, pourquoi est-ce que je ramènerais une femme chez moi? Je n'ai jamais vu cette femme."

Gay, ce n’étaiti pas toute la vérité, car Mangori avait tenté de contacter des escortes tant masculines que féminines cette nuit-là avant de quitter son appartement et de suivre Mme Cox.

Le procureur a déclaré que c'était un seul même homme qui avait suivi Mme Cox, avait profité de son état d'ivresse pour coucher avec elle, l'avait ramenée chez lui et était la dernière personne à l'avoir vue vivante.

Comble du cynisme, Mangori a dit aux policiers qui l'interrogeaient "J'espère qu'elle va bien", alors qu'ils se trouvaient dans la pièce même où il avait gardé son corps pendant une semaine.

"Cela  montrait comme il mentait facilement et résolument".

Mais la police a repéré un téléphone sur son lit: le numéro de série a été vérifié et a montré que la carte SIM de Lorraine y avait été utilisée. Cela a marqué un tournant décisif dans l'enquête, a expliqué le procureur devant le tribunal.

Mangori a d’abord été arrêté pour soupçon d'enlèvement.

Une fouille de la zone a permis de retrouver plusieurs parties du corps près du bâtiment.

Le torse et la tête ont été retrouvés plus tard sous un tas de bois dans une forêt à plusieurs kilomètres de la, après que Mangori, portant un sac de sport, eut pris un taxi pour Newton St Cyres près d'Exeter.

Mangori admet avoir empêché l'enterrement légal de Lorraine mais il nie son meurtre et son procès se poursuit.

On ne sait pas comment Lorraine est morte, car il s’est passé trop de temps entre le meurtre et l’autopsie.

Mais la question est de prouver que Mangori l'a tuée, peu importe comment.

Lorraine était nue et son T-shirt a été enfoncé dans sa bouche. Pourquoi faire cela si ce n'est pour la tuer? a dit le procureur.

Un tatouage que portait Lorraine a même été découpé, manifestement pour gêner son identification.

Traduction abrégée : Cenator

Article complet : Daily Mail

 

Venise va interdire l’ouverture de nouveaux Kebabs

Soucieux de ne pas se dénaturer, la ville de Venise va interdire l’ouverture de nouveaux Kebabs et Fast-Food dans son enceinte. Préserver le patrimoine au détriment de l’ouverture culturelle, est-ce sain ?

Le quotidien The Guardian annonce que la municipalité de Venise a décidé d’empêcher l’ouverture de nouveaux Kebab ainsi que des chaînes de fast-food qui vendent la part de pizza à l’unité.

Ce nouveau décret a pour objectif la préservation du patrimoine culturel de la ville la plus célèbre d’Italie.

Ce genre de restrictions est assez courante en Italie. Les villes de Florence et Vérone ont déjà pris des mesures similaires.

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