La Suisse trop clémente envers le viol

La peine minimale pour les crimes sexuels se limite à des jours-amendes. Inacceptable et archaïque.

 

«Allez donc expliquer à une jeune fille ou à un jeune homme sodomisés que ce qu’ils ont subi est moins grave qu’un viol en tant que tel, parce que la peine minimale encourue n’est passible que de jours-amendes!» s’emporte Me Bertani. La loi suisse, contrairement à nombre de pays européens, aux Etats-Unis et au Canada, fait en effet la distinction entre le viol et la contrainte sexuelle. 

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