Employé “licencié à tort pour jihadisme”. Les CFF devront payer une indemnité au Franco-Marocain

Un récent arrêt du Tribunal administratif fédéral stipule que les CFF ont eu tort de virer un collaborateur en poste à Genève puis à Lausanne, où il supervisait la circulation du train, relève «Le Matin Dimanche».

En 2017, l’homme avait notamment diffusé une vidéo d’un attentat terroriste à Barcelone. Ce qui avait fortement accru les inquiétudes de ses chefs.

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20min.ch

La France, fille ainée de l’Eglise, pouponnière du jihadisme

"Notre maison brûle et nous regardons ailleurs". Cette parole célèbre fut prononcée par le président français Jacques Chirac à l'occasion du IVème Sommet de la Terre en septembre 2002. L'homme parlait du réchauffement climatique et fustigeait l'apathie planétaire face à cette menace. Aujourd'hui, la France peut reprendre à son compte à l'identique le propos au sujet de l'islamisme qui ravage villes et campagnes. Par une singulière lâcheté, les divers gouvernements qui se sont succédés depuis que la barbarie islamiste est en hausse se sont évertués à regarder ailleurs pour ne pas voir les incendiaires à l'œuvre. Lorsque l'incendie devenait trop voyant, notamment eu égard au nombre de victimes, la désinformation jouait alors à plein. La piste d'un déséquilibré privilégiée, apparemment aucune motivation terroriste, une suite d'actes isolés, une savante combinaison de ces trois explications revenait à chaque fois pour exonérer la responsabilité de l'Islam qu'on retrouvait systématiquement s'agissant de la motivation des auteurs.

Comme si cela ne suffisait pas, la racaille de banlieue ne cesse de s'enhardir, caillassant transports publics, pompiers, policiers et autres services publics à chaque fois qu'elle se sentait menacée dans ses biotopes devenues zones de non-droit. Là-encore, aucune réponse des pouvoirs publics, trop occupés à éviter l'explosion des banlieues. Eh oui, le jeune des quartiers est un être sensible que la vue de l'autorité effraie. Pour exprimer son traumatisme, il organise des manifestations dont le but est de tout ravager sur le parcours, ceci dans l'impunité la plus totale, histoire de ne pas infliger un nouveau choc au pauvre jeune déjà tant malmené. Comble du comble, le président François Hollande s'est rendu au chevet d'un délinquant vigoureusement interpellé par la police suite à sa forte opposition, marquant ainsi sa solidarité avec l'énergumène et, partant, son désaveu de l'action policière.

Face à cette invraisemblable situation, il se trouve un homme qui a choisi de parler, de jouer les oies du Capitole face aux menaces qui pèsent sur son pays. Actuellement réfugié en Suisse, le policier Sébastien Jallamion a refusé de se taire plus longtemps s'agissant de ce qu'il constatait dans sa pratique professionnelle. Mal lui en a pris. Le pouvoir ne saurait tolérer la moindre voix discordante, à plus forte raison lorsqu'elle émane de quelqu'un qui sait de quoi il parle. Le policier a donc été révoqué par un ministre socialiste sans autre forme de procès, lourdement condamné pour avoir évoqué une vérité qui dérange et, paroxysme de la haine gauchiste, fiché S étant identifié comme présentant un danger pour l'Etat. En fait, s'il représente un danger, c'est seulement pour l'état socialiste, coupable d'une passivité trop évidente pour ne pas relever de la complicité face à l'évolution de la délinquance et du terrorisme islamique en France.

Le futur n'est pas très encourageant à voir les réactions du président Macron, personnage manifestant une vive allergie à la contradiction. Le départ du Chef d'Etat-Major des Armées sur fond de budget de défense réduit montre à quel point le premier personnage de l'Etat tient à être entouré de béni-oui-oui. L'engagement très récent d'un flagorneur de la première heure, le journaliste Bruno Roger-Petit, célèbre pour ses éditoriaux cire-pompes et sa haine de la police, au poste de porte-parole de l'Elysée montre très clairement la direction que le gouvernement entend prendre. Je suis votre chef, ce que Macron a rappelé aux hauts-gradés de tout poil s'applique à la France entière. Toute pensée hétérodoxe sera frappée d'anathème, le coupable chassé des terres du Royaume.

En attendant, l'incendie islamiste se propage en toute quiétude malgré l'état d'urgence qui va tranquillement devenir le droit ordinaire, permettant à l'administration Macron de contrôler les citoyens sans aucun effet sur le jihadisme puisque ce n'est pas son but. D'ici peu, on va appeler une nouvelle fois ces policiers méprisés à la rescousse, histoire de canaliser les velléités contestataires des syndicats peu convaincus par le nouveau droit du travail imposé par ordonnances, c'est-à-dire en contournant le processus parlementaire que la démocratie impose. Face à des syndicalistes infestés de membres du Black Block, les forces de l'ordre vont une nouvelle fois essuyer les plâtres pour cause d'incurie gouvernementale dont elles ne sont en rien responsables. Si d'aventure, l'un ou l'autre policier s'avisait de répliquer, sa tête ne tardera pas à rouler dans la cour du Ministère de l'Intérieur.
Ainsi va la France, notre voisine, qui, au vu de la veulerie de nos propres autorités, ne manquera pas de nous contaminer, nous permettant ainsi de goûter aux maux dont elle souffre.

La Côte-aux-Fées, le 30 août 2017 Yvan Perrin

L’islam, un semblant de religion marqué par le djihadisme et que les ingérences de l’Occident contribuent à radicaliser

Par Mahin Nezam.

Les six croyances fondamentales de l’islam, copiées-collées du judaïsme, sont: croire en Allah, aux anges, aux écritures « sacro-saintes » de l’islam-idéologie, aux apôtres, au jour du jugement et à la prédestination. Ces six croyances existent parce que, un jour au VII ème siècle, à une certaine heure et dans un certain endroit, Mahomet le messager d’Allah aurait affirmé que ces six croyances étaient fondamentales, ce qui a été reporté, par la suite, dans un des très très nombreux « hadith » ou dires de Mahomet.

Depuis cette époque lointaine, le seul choix « religieux » offert aux jeunes hommes musulmans qui ne sont pas fortunés est soumission à l’islam-idéologie et révolte ou razzias contre les non-musulmans, tout particulièrement contre tout envahisseur du monde musulman; ce qui empêche toute évolution et intégration équilibrées et sereines, tout humanisme, toute réforme, tout débat et toute avancée. Comme Albert Einstein avait raison de dire que « La vie c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. »

Les cinq piliers ritualistes musulmans pour éviter d'aller en enfer et s'ouvrir les portes du paradis ou « djina », rites dont tout musulman estime sacrilège de questionner le sens, sont rappelés ci-après; il s’agit plutôt de bonnes manières musulmanes pratiquées généralement par tous les musulmans, que de pratiques religieuses.

Réciter les prières, ou plutôt les suppliques prescrites, en nombre prescrit, cela aux moments prescrits et dès la petite enfance, sous peine de châtiment corporel. Mahomet aurait ordonné « enseignez à vos enfants à prier dès l’âge de 7 ans et battez-les si à 10 ans ils ne prient pas ». Les fréquentes prières quotidiennes que Mahomet et ses successeurs exigeaient transformèrent la foi des musulmans en mode de vie. Mahomet et surtout les premiers califes insistèrent à associer le pouvoir politique au pouvoir « religieux » pour enlever à leur expansionnisme guerrier son caractère impérialiste et pour faire de l’islam-idéologie une obligation sacrée de tous. Dès l’époque de Mahomet, le musulman fait le « djihad » qui est une obligation imposant aux musulmans la propagation de leur foi par la résistance et la lutte, soit « par son cœur, par sa langue, par ses mains ou par l’épée ». Comme le rappelle Sami A. Aldeeb Abu-Sahlieh dans son ouvrage « La fatiha et la culture de la haine. Interprétation du 7e verset à travers les siècles »: « en droit musulman, celui qui nie l’obligation de prier est considéré comme apostat et passible de la peine de mort. Et celui qui ne prie pas par paresse est considéré comme un pécheur, et doit être contraint de prier. Puis, s’il refuse, il peut être mis à mort ».  De plus, toujours selon le droit musulman, les cinq prières quotidiennes que doit réciter tout musulman ne sont valides que si la « fatiha » y est récitée. La « fatiha » est la sourate d'ouverture du coran qui comprend sept versets, dont les 6e et 7e versets comportent l’invocation haineuse suivante: «Dirige-nous vers le chemin droit. Le chemin de ceux que tu as gratifiés, contre lesquels (tu n’es) pas en colère et qui ne sont pas égarés », les gens contre lesquels Allah est en colère étant les juifs, et les gens égarés étant les chrétiens. Comme le confirme l’étude de Sami A. Aldeeb Abu-Sahlieh, ces versets priés tels qu’ils sont « compris par la quasi-totalité des exégètes musulmans, y compris Mahomet, sèment la haine ... »

Ces versets sont « loin de constituer la seule composante discriminante de la prière musulmane. On n’a à cet égard qu’à écouter les prêches du vendredi, qui comportent souvent des invocations demandant à dieu de détruire les mécréants, de rendre veuves leurs femmes, et orphelins leurs enfants, et de les frapper par des maladies incurables. De tels prêches sont entendus et diffusés non seulement dans les pays arabes et musulmans, mais parfois aussi dans les lieux de culte des pays occidentaux ». Pour tout bon musulman le minimum obligatoire est de 17 récitations de cette «fatiha» haineuse par jour. La tradition veut que les musulmans sachent, en arabe classique, au moins une sourate par cœur. Comme la « fatiha » est courte et indispensable pour la prière (« salat »), elle est en général apprise par coeur dès l'enfance dans les écoles coraniques (« madrasas ») et dans le milieu familial. Elle est récitée au début de chaque unité (« rak’ah ») de prière; en fin de prière est ajouté le terme « amin » (amen).

Charité, mais pour les musulmans exclusivement, et pas pour accueillir des réfugiés syriens musulmans, à proximité en Arabie Saoudite et au Quatar. La charité est une arme de combat bien commode, dès lors qu’on l’emploie à sens unique. On se demande pourquoi le chrétien (?), récemment marié à une Druze, George Clonney donnerait au Darfour ses revenus publicitaires de Nestlé. L’objectif de l’aumône légale est de permettre de développer les activités caritatives avec lesquelles les musulmans riches contrôlent les populations musulmanes pauvres et déshéritées, avant tout en finançant le prosélytisme et le «jihad». Le pape Francois, adepte de la théologie de la libération et leader lui d’une religion authentique, que des musulmans menacent d’assassiner alors qu’il leur a apporté son soutien, a mis en garde les chrétiens contre ce travers malfaisant de tout don.

Pèlerinage ou « hadj » à la Mecque ou « Mekke » en Arabie Saoudite.

Actions accomplies conformément à des règles traditionnelles et faisant partie d'un cérémonial comme par exemple le jeûne du « ramadan ».

Et surtout, déclarer Mahomet comme le seul et unique messager de Allah le seul dieu de tout l’univers.

Ces rituels musulmans sont fondés sur les modèles juifs; prière rituelle, jeûne, abattage rituel, forme de la « shahada » ou profession de foi, étaient pratiqués par les juifs, cela bien des siècles avant la naissance de Mahomet. Pas étonnant puisque, avant d’être messager de Allah et de l’islam, Mahomet fut un propagandiste judéo-nazaréen.

Pèlerinage ou «hadj», aumône légale ou «zakat» et quelques autres actions traditionnelles contraignantes, tels que fêtes musulmanes, «ramadan», jeûne, «halal», ont tous comme objectifs de faire peser sur la société musulmane une chape dominatrice infaillible de communautarisme et d’entrisme, (stratégie d’organisation et arme favorite des musulmans dit modérés), communautarisme et entrisme qui ont pour but de renforcer le pouvoir de contrôle et de coercition du groupe sur l’individu et d’empêcher la société d’évoluer, tout comme dans la chrétienté de l’inquisition. Ces traditions contraignantes de l’islam enseignent à l’homme « le droit chemin », ainsi qu’il est écrit dans la première sourate du coran, c’est-à-dire les bonnes manières musulmanes.

A ces cinq rituels, il ne faut pas oublier d’y inclure le devoir de prosélytisme et de « jihad » ou guerre « sainte » musulmane qui est l’acte de dévotion suprême et qui a comme objectif d’écraser les mécréants et de reconquérir le monde que selon l’islam-idéologie, Allah avait créé, à l’origine, entièrement musulman. « Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez » (coran, sourate 8, verset 65). "Celui qui quitte la religion de l’islam, tuez-le."(Hadith Bukhari, volume 9, livre 84, numéro 57). Pour Allah, les associateurs sont « les pires » de toute la création tandis que les musulmans, eux, sont « les meilleurs de toute la création ».

Tant que ce n’est pas par la guerre dont des actes terroristes et en détruisant notre civilisation occidentale et nos démocraties, il n'y a rien de condamnable à ce que l’islam et l’impérialisme des USA désirent prendre la première place dans le monde. C’est une aspiration que l’on peut comprendre. Les Chinois, qui eurent un passé glorieux, désirent, eux aussi, reprendre cette position qui fut la leur. Mais les Chinois n’ont pas choisi la voie de la destruction de la civilisation occidentale; ils imitent notre civilisation, nos progrès et nos valeurs, avec l'intention de parvenir à nous surpasser. Avec une vision à long terme, les Chinois se tournent vers l’avenir alors que les musulmans ne parviennent pas à surmonter leur passé et font au monde une guerre asymétrique, idéologique, archaïque et barbare, pendant que les Américains et les Français font des guerres illégales ou fondées sur leurs mensonges. C’est très dangereux.

Différentes prescriptions impératives du coran font clairement obligation à tout musulman de pratiquer le «jihad». Cette obligation ne souffre d’aucune dérogation. Dans son Petit livre vert, l’Ayatollah Khomeini affirme haut et fort: « La guerre sainte signifie la conquête des territoires non-musulmans ». Se battre et se faire tuer pour l’islam-idéologie est, depuis le VII ème siècle, un point fondamental et considéré comme incontestable de l’islam-idéologie. Pourquoi les musulmans crient-ils à la nécessité du sacrifice et à la fatalité de l’hécatombe? L’islam-idéologie promet aux jihadistes leur part du butin et à ceux qui meurent au combat, des récompenses éternelles au paradis. Lors de ses raids et razzias, Mahomet avait droit au cinquième du butin qu’il partageait avec Allah, affirmait-il. Admirable répartition pour que tous les autres, même si ils étaient très nombreux ne se plaignent pas de ne se répartir que quatre cinquièmes.

Au XXI ème siècle, la guerre consiste en des rapports conflictuels qui se règlent par une lutte armée, en vue de défendre un territoire, un droit ou de les conquérir, ou encore de faire triompher une idée. Le droit international humanitaire classe les conflits armés en deux catégories:

1. Le conflit armé international qui se caractérise par des opérations de guerre entre deux ou plusieurs États souverains.

2. Le conflit armé non international qui survient lorsque des groupes opposés s'affrontent à l'intérieur du territoire d'un même pays.

Il y a toujours situation de guerre quand les agresseurs entreprennent des actions afin d’imposer aux agressés un système politique, un système de gouvernement, une invasion, une religion, une idéologie, une loi fondamentale, en totale contradiction avec leur volonté et leurs valeurs. Normalement, mais plus en UE et aux USA, en réaction et légitimement, les agressés font que leur armée et leurs citoyens s’opposent aux agresseurs et évidemment ils ne les accueillent pas chez eux.

Une guerre asymétrique est une guerre qui oppose la force armée d'un État à des combattants matériellement « insignifiants », dont les stratégies se servent des points faibles de l’adversaire et utilisent des armes et des tactiques non-
conventionnelles pour parvenir à un but souvent ethnique, politique ou idéo-
religieux. Les guerres asymétriques englobent notamment terrorisme, guérilla et razzia et se distinguent des guerres conventionnelles classiques entre États.

Traditionnellement, une guerre est un état de droit avec ses lois, un espace et un temps bien définis et des belligérants identifiés; dans ce cadre, une guerre asymétrique est celle du faible au fort. L’attaquant et l’attaqué possèdent des ressources militaires plus ou moins de même nature, mais dont les puissances et les capacités belliqueuses et financières sont inégales et, surtout, dont les stratégies sont fort différentes.

Une guérilla urbaine est une guerre asymétrique qui consiste en actions entreprises par des groupes violents constitués sur des bases ethniques, idéo-religieuses ou mafieuses. Elle consiste en des incendies de véhicules, de commerces, de cages d’escaliers, d’édifices publiques, d’agressions répétées à l’égard de résidents de la zone urbaine, de caillassages, d’attaque des transports en commun, d’embuscades tendues aux services de polices, de pompiers et de secours, de razzias dans les supermarchés et les centres commerciaux, etc, et d’actes terroristes.

Le jihadisme musulman est une guerre asymétrique, totale, multiforme, de type révolutionnaire, irrégulière, de guérilla et subversive qui utilise tant des armes dites par nature (fusils, canons, armes chimiques, biologiques et atomique, etc,) que les armes dites par destination, c’est-à-dire tout objet ou technique qui peut servir à blesser quelqu’un ou à détruire quelque chose, même si ce n’est pas son usage premier ou principal (sciences humaines, guerre psychologique, manipulation, persuasion, contrainte, chantage, technologies de l’information et de la communication, stratégie indirecte, affreuses mutilations et tortures comme celles de victimes du Bataclan en 2015, etc). Cette guerre de type asymétrique est une confrontation entre une ou des armées régulières d’Etats et des groupes armés pour lesquels les lois de la guerre et les conventions de la Croix-Rouge n’ont ni sens, ni valeur et que ces groupes armés ne respectent évidemment pas. Guerres irrégulières et de guérilla, donc « jihad", sont toujours intensément politiques et idéologiques. L’objectif de toute stratégie de guerre asymétrique, comme par exemple celle des talibans (étudiants sunnites en religion) ou de DAESH (état islamique), est de durer plus longtemps que les forces qui s’y opposent, de ne jamais faire la paix et d’avoir toujours l’intention de vaincre.

Pour les wahhabistes, la stratégie du «jihad» consiste habituellement en une islamisation ou une re-islamisation par la force et la violence alors que pour les frères musulmans, la stratégie consiste d’abord en une infiltration des états et des nations afin d’assurer à la fraternité musulmane une prise de pouvoir plus ou moins en douceur, en infiltrant des agents de subversion et des terroristes. Les chiites iraniens, qui ne sont pas des arabes mais des perses, ne sont pas des djihadistes envahisseurs mais réagissent premièrement par des déclarations puis ensuite par des actes aux agressions de l’Occident en particulier celles des USA.

Quelque soit l’orientation des diverses stratégies du «jihad» l’objectif est toujours, comme au VII ème siècle, la vengeance, l’envahissement, la mise sous contrôle des citoyens occidentaux, la neutralisation des opposants à la fraternité musulmane et à son islam-idéologie, l’établissement d’une complicité du silence, par exemple avec des assassinats spectaculaires de braves gens musulmans ou non-musulmans, la menace d’attentats ou d’attaques avec par exemple des armes bactériologiques ou atomiques, le contrôle psychologique des citoyens occidentaux et des musulmans accueillis en Occident en les manipulant et en les intoxiquant, la mobilisation de tous les musulmans vivants en Occident et la démobilisation des citoyens des pays occidentaux. A cela il faut ajouter les déclarations de dirigeants occidentaux déconnectés des réalités et des aspirations des peuples européens et/ou islamo-collabos, peuples qu’ils ne consultent même pas, tout cela pour que, premièrement, le pouvoir islamique s’oppose aux ingérences et aux agressions guerrières illégales de l’Occident et, secondairement, pour qu’il s’implante en Occident et que les musulmans augmentent leur emprise sur l’Occident.

Winston Churchill l’avait bien déclaré en 1938, à Londres, à la Chambre des communes, au Premier Ministre alors en exercice Neville Chamberlain et en impliquant aussi le français Daladier, à propos des Accords de Munich: «Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le séshonneur. Et vous aurez la guerre tout de même. » (The Official Report, House of Commons (5th Series), Hansard, 13 May 1940, vol. 360, c. 1502). Comme Chamberlain, Daladier, Pétain et d’autres face au nazisme, nombre des élus européens actuels, confrontés à l’islam-idéologie sont ambigus; ils sont incapables de dire, clairement et fermement aux musulmans que, à l’exemple de l’Arabie Saoudite, on ne veut pas qu’ils s’ingèrent chez nous (principe de réciprocité). Pour ne pas offenser les musulmans, ils croient sauver la paix en reculant devant leurs exigences et leurs attaques, quand ce n’est pas en les décorant de la légion d’honneur ou en nommant l’Arabie Saoudite à la présidence du comité des droits de l’homme de l’ONU, etc.

Alors que, pour un Occidental au XXI ème siècle, la guerre asymétrique et la violence n’ont rien à faire dans une religion, l’islam compte classiquement cinq types de « djihad » : par le cœur, par la langue, par la main, par le sexe et par l'épée. Le djihad par le cœur invite les musulmans à résister et à "combattre afin de s'améliorer ou d'améliorer la société". Le terme «djihad» aurait deux significations dans l’islam, la première: guerre «sainte» et résistante; la deuxième guère différente: dépassement de soi, soit une qualité qu’un guerrier kamikaze musulman se doit de posséder. Ces dernières définitions du terme « jihad» sont les définitions politiquement correctes francophones. En réalité, selon le coran «jihad» signifie toujours combat et résistance, combat qui est impérativement qualifié d’acte «religieux». «Ô Prophète, incite les croyants au combat. » (coran, sourate 4, verset 89). Le terme de «jihad» n’aurait été introduit en islam que vers l’an 1000. Le frère de Tariq Ramadan, un guide musulman de Genève disciple des frères musulmans, Hani Ramadan a prêché une troisième signification, plus acceptable pour apitoyer les calvinistes et socialistes genevois: « une aide humanitaire destinée à soulager les souffrances des victimes palestiniennes », aide humanitaire qui est, avant toute chose, transformée en effort de guerre contre les peuples du livre, c’est évident.

Beaucoup de citoyens occidentaux ne perçoivent pas cette guerre «sainte» qui leur est faite, en particulier parce que tant la «taqiya» musulmane que les «useful idiots» les manipulent et les trompent. Quand à la majorité des élus, par manque d’imagination, de culture historique et de clairvoyance, ils sont incapables de comprendre les barbaries de fervents musulmans et supposent que leurs discours et actes extrémistes sont des métaphores voir des arguments de négociation.

De nos jours il y a plusieurs variétés ou pratiques de la guerre sainte musulmane qu'est le «jihad».

Le «djihad» militaire ou guerrier, en particulier le terrorisme musulman qui représente toujours une déclaration de guerre à une population ou à une nation, laquelle, quoi qu’en disent les angéliques, se doit alors de se défendre. Il est impossible de trouver un terrain commun d’entente tant que des pays occidentaux comme les USA et la France multiplient leurs ingérences dans des nations étrangères, déclenchent des guerres préemptives illégales contre des pays comme la Libye ou la Syrie et que les terroristes musulmans continuent de croire qu’ils peuvent gagner. Nos gouvernants angéliques ou «buenisimos » comme le disent les Espagnols, font tous les mêmes erreurs stratégiques (ou plutôt n’ont pas de stratégies mais que des tactiques) avec les terroristes qu’ils soient musulmans, FARC, ETA, etc, mais aussi « petits » terroristes qui sévissent partout en Europe, même dans nos petites villes. Ces élus et les angéliques malfaisants, le plus souvent «useful idiots» de gauche, ont une vision candide et historique de la colonisation musulmane et de la lutte des classes et interprètent le terrorisme musulman pas comme une guerre déclarée mais comme une rébellion de pauvres peuples ignorants soumis dans la pauvreté et blessés par la colonisation européenne passée et par la confrontation entre leur triste réalité et le monde des riches en particulier l’impérialisme américain. Ces élus, ces «useful idiorts» et toute la bien-pensance sont en complet décalage avec la réalité; d’une part ingérences de l’Occident en pays musulmans et d’autre part déni de réalité, minimisation et sociologisme sont leur crédo, alors que l’on sait depuis une génération qu’il y a, par exemple en France, 700 quartiers violents que l’on dénomme maintenant « sensibles » alors qu’ils sont en réalité de non-droit, ce qui est intolérable pour une nation démocratique. De plus on sait que nombre des ingérences guerrières de l’Occident sont fondées sur des mensonges. Dans ces conditions ces élus ignorent complètement les raisons, la nature et l’étendue réelle des problèmes que cause le terrorisme musulman dans le monde et n’ont pas de stratégies contre le terrorisme. D’une part, ils continuent à agresser les pays musulmans et, d’autre part, envoient aux terroristes dont les attentats sont de plus en plus meurtriers, des messages de faiblesse en faisant croire à la population que ces terroristes partagent avec eux une aspiration à faire la paix, alors même que ces terroristes n’envoient aucun vrai signal qu’ils sont disposés à abandonner les armes, bien au contraire. De plus, même si il y a des musulmans opposés au radicalisme, ces musulmans et les angéliques de tout poil fuient toutes polémiques et confrontations avec les musulmans radicaux, à cause des connotations « religieuses » que ces radicaux font valoir. En effet les radicaux leur affirment s’appuyer sur une interprétation dévote et stricte des textes musulmans « sacro-saints » ou plutôt idéologiques pour justifier le «jihad» contre l’Occident dont ils craignent et haïssent l’hégémonie. Leur guerre sainte ne permet ainsi aucun dialogue, même avec les musulmans dits modérés. Le « jihad» barbare et aveugle de califats du XXI ème siècle est comme une sorte de psychopathologie endogène; il se nourrit de lui-même de la haine; haine des juifs, des chrétiens, des athées, des femmes, de la société démocratique, de l’humanisme, des USA, de la France et de la modernité de l’Occident. Face à cette haine musulmane éprise de vengeances et de victoires, qui convertit le suicide de ses propres terroristes en martyrs «religieux», les prises de position des angéliques et leurs mass-médias contribuent à ce que la haine idéologique, ethnique et nationaliste de cette lutte armée musulmane divinise et ritualise les comportements criminels de musulmans.

Encore actuellement, ce «djihad» militaire n’est pas plus dangereux pour nos démocraties occidentales et leurs citoyens que les autres «djihad» mais il ne mobilise pas seulement des soldats mais aussi une partie des forces de police et de justice européennes contre les menaces d’attentats dans leurs propres pays et ces forces ne peuvent pas se consacrer aux autres tâches indispensables, tel le contrôle des frontières. Tout acte terroriste consiste à frapper des braves gens de la population civile afin de les couper de leur dirigeants, de les monter contre eux quand ce n’est pas de les faire voter pour un autre plus islamo-collabo. Par une action tactique, tout acte terroriste veut atteindre des objectifs stratégiques. Il n’en reste pas moins que depuis le 9 septembre 2011 les musulmans ont conduit plus de 30.000 attaques terroristes, soit environ 5 par jour; 5 par jour, cela représente des pressions fortes et répétées de la fraternité musulmane pour liquider les islamolucides. Cette liste d’attaques terroristes, signalée dans le site www.religionofpeace.com, est incomplète parce que les mass médias internationaux se gardent de citer tous les actes terroristes conduits. Il en est de même des cartes des méfaits commis par les réfugiés militants ou économiques: https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=z12D0zt-V4iI.kXGfjpzjOS1Q.

Le « jihad » dit civil, en réalité une forme de guérilla urbaine, soit:

- Les intolérables violences et le vandalisme des espaces publics tels que voitures brûlées, boutiques pillées, profanation de tombes et d’églises chrétiennes, attaques de commissariats de police barricadés, plaques d'égouts de routes enlevées et vendues comme vieux fer. A noter que si il s’agit d’une mosquée, les médias parlent bien de profanation mais si il s’agit d’une église ou d’une tombe catholique, les médias parlent de dégradation, voir de vandalisme.

- Les déprédations des logements.

- La délinquance.

- Les agressions.

- Les razzias et les raids.

- Les émeutes et la guérilla urbaines.

- Les insultes.

- Les intimidations.

- Le harcèlement sexuel.

- Les viols.

- Le pouvoir islamo-mafieux des trafiquants de drogues.

- La joie de détruire, de casser, de raider, de se battre, et autres comportements asociaux.

Soit toutes ces intolérables incivilités (en novlangue) systématiques et quotidiennes qui sont de fait une guérilla urbaine permanente et des raids violents contre les autorités (services sociaux, assurance chômage, ambulances, police, pompiers, armée, lieux de cultes chrétiens, bâtiments publics, etc.) et la propriété privée. Les médias et des élus parlent pudiquement d’incidents alors que se sont des violences intolérables. De plus sans ce «jihad» civil, il y aurait beaucoup plus de places dans les prisons, beaucoup moins de bénéficiaires des diverses prestations sociales, de diverses allocations et de l’assurance chômage, des prestations considérées comme une nouvelle version des razzias du XXI ème siècle dans l’esprit de très nombreux musulmans.

Le «djihad» civil est perpétré par de nombreux musulmans qui, la plupart du temps, ne sont même pas perçus comme des musulmans par les non-musulmans des pays occidentaux. Ce «djihad» civil est encouragé par les guides religieux musulmans, les écoles coraniques, le milieu familial musulman qu’il soit radical ou dit «modéré» et le laxisme des autorités policières, juridiques, morales, religieuses et militaires. Les traditions et les textes de l’islam-idéologie contiennent tout ce qu’il faut pour inciter subtilement à l’agression anti-occidentale et anti-démocratique, sans pour autant recourir à des discours idéologiques ouvertement incendiaires ou incivils. Ainsi pour les immigrés musulmans, il est légitime de transgresser les lois d’un pays d’accueil mécréant quand c’est pour la bonne cause religieuse» musulmane.

Le «djihad» politique de victimisation, soit les revendication ininterrompues de privilèges et de concessions sans cesse plus nombreux, qui étendent l’emprise de tous les musulmans, tant territoriale que dans la société, qui augmentent de facto leur poids politique bien au-delà de ce qui découle de nos lois, de nos valeurs et vertus démocratiques et surtout de leurs apports à la société, et qui se transforment sournoisement en autant d’obligations et de restrictions imposées aux non-musulmans comme par exemple:

- Port du voile.

- Ramadan.

- Alimentation « halal », sans porc, ni boudin, etc, et préparées par des musulmans.

- Prière ou plutôt supplique dans les lieux publics, dans les entreprises et dans les établissements d’enseignements.

- Interdiction de l’alcool.

- Tribunaux islamiques.

- Finance islamique.

- Occupation autoritaire ou illégale d’espaces publiques.

- Refoulement progressif dans nos villes des non-musulmans au-delà des zones occupées, par les musulmans.

- Maîtrise de leurs quartiers par les musulmans et expulsion de la police.

- Zones de non-droit dans les villes; les médias appellent pudiquement ces zones de non droit « quartiers populaires » ou « quartiers sensibles ». Ces zone de non-droit aussi appelées pudiquement «zone islamique» se peuplent majoritairement de personnes d’origine immigrée. Un nouveau droit d’origine tribale ou idéologique (« charia ») s’y impose.

- Place de la femme et des enfants dans notre société.

- Harassants et coûteux contrôles de sécurité dans les aéroports et ailleurs.

- Infiltration des organes de pouvoir : police, armée, services publics, postes d’élus municipaux, organisations communautaires, services sociaux, enseignement, etc.

Le « djihad » politique est perpétré par des musulmans que les non-musulmans perçoivent, souvent à tort, comme “modérés”, mais aussi, à l’évidence, par des musulmans radicaux.

Le «djihad» juridique soit le dépôt de plaintes pour n’importe quel motif contre n’importe qui émettant la moindre critique contre l’islam-idéologie, son messager Mahomet et des musulmans, afin de contraindre les non-musulmans à perdre temps et argent pour se défendre, tout en grignotant notre démocratie et notre liberté d’expression. Ce qui, entre autre et inévitablement, amène certains non-musulmans à être condamnés pour erreurs de procédure ou parce qu’ils tombent sur des juges censeurs ou talibans aux idées peu claires sur ce qu’est la liberté d’expression, voir l’humour, et qui cherchent à donner des gages de dhimmitude aux musulmans en condamnant des non-musulmans.

Cet djihad juridique antidémocratique amènent les moins courageux des chrétiens et des athées à s’autocensurer, ou à n’oser s’exprimer qu’en privé, alors qu’ils devraient débattre de la réciprocité et dire fermement ce qu’ils ne veulent pas tolérer. Le «djihad» juridique permet aussi aux musulmans dits « modérés » de désigner les cibles à abattre aux musulmans radicaux, crimes d’honneur inclus, cela sous le couvert du respect de leurs « droits ».

Le « jihad » du sexe soit comme l’a admis par exemple, en septembre 2013, le Ministre de l’intérieur tunisien que des femmes et des adolescentes avaient réussi à quitter la Tunisie pour se rendre en Syrie pour y assouvir les désirs sexuels des combattants djihadistes. Il faut ajouter que l’agression sexuelle, dont le viol punitif, est une arme de guerre musulmane et l’enfantement par le nombre est le «djihad» des épouses bonnes musulmanes et soumises.

Ces cinq modes de « djihad » sont tous dangereux et se renforcent mutuellement. Vu que la menace d’attentats terroristes du « djihad » militaire n’est jamais partiellement anticipée, écartée et combattue mais fait surtout les scoops des médias, le « djihad » civil, le « djihad » politique, le « djihad » juridique et le « djihad » du sexe rencontrent bien trop peu de résistance de la part des démocraties, de leurs tièdes dirigeants et de nos médias, à l’exception de sites de réinformation comme par exemple www.lesobservateurs.ch, http://newobserveronline.com/, www.thedailybell.com, ou  www.ripostelaique.com. De tels sites de réinformation qui, jour après jour, remettent en question le politiquement correct et dénoncent les ingérences en pays musulmans de gouvernements occidentaux, sont les piliers de la « réforme due à l'Internet» soit comment l'information révélée sur l'Internet est en train de changer la façon dont fonctionne notre société du XXI ème siècle. Seul un site de réinformation ose souligner que le pays musulman le plus démocratique est la Tunisie et cela justement parce que ni les USA, ni la Grande Bretagne ni la France n’y sont entrés avec leurs armées pour s’y ingérer. Le choix de ces sites de réinformation est devenu énorme comme le prouve à chacun une recherche en français sur Google « site web de réinformation » qui donne plus de 70.000 résultats.

Le danger et le vrai risque de la politique en démocratie sont l’endormissement d’élus dans leur médiocrité abyssale et du peuple Souverain dans sa passivité alors qu’un pays « associé » déclare une guerre illégale à un pays, par exemple la Syrie. Trop de tièdes dirigeants et de journalistes sont intimidés, ne s’opposent pas aux gouvernements occidentaux qui s’ingèrent illégalement mais cèdent aux musulmans qu’ils croient « modérés » alors que tous les musulmans ont un rôle dans cette guerre de prosélytisme et de conquête de l’islam-idéologie. A part quelques modernistes, ces dits musulmans « modérés » sont tant un paravent pour leurs condisciples musulmans radicaux qu’une cinquième colonne dans nos démocraties.

Les journalistes tant de la presse écrite que de la radio et de la télévision sont devenus, pour la grande majorité, de pâles copistes de la propagande de l’UE, des USA, de la fraternité musulmane et des communiqués de presse des gouvernants. Sans imagination, répartie, culture historique et stratégie, à l’image de trop d’élus ils sont médiocres, bâclent leur travail et concoctent tous le même article ou exposé politiquement correct. Le métier de journaliste n’est plus d’enquêter puis de décrire le vrai mais de recommander le « bien » et le « vivre ensemble », de faire acte d’allégeance au système, d’empêcher les citoyens de percevoir la réalité et de rendre impossible toute pensée déviante (crime par la pensée) ou dissidente, cela par la munition linguistique fumigène du politiquement correct. Ces journalistes bannissent les mots tabous. Ainsi le terme « élitiste » est devenu un injure; ce n’est que chez des skieurs et des gymnastes artistiques que le politiquement correct permet de parler d’une élite. Pour désinformer, élus et journalistes inventent de nouvelles expressions et de nouveaux sens à de nombreux mots. Comme nombre d’élus, ces journalistes abusent des mots sidérants, des mots trompeurs, des mots marqueurs et des mots subliminaux. Ils s’obligent à écrire dans la presse et à parler à la radio et à la télévision en novlangue, pour obliger les gens à penser conformément à la ligne des dirigeants politiques au pouvoir et au politiquement correct. Ce terme de novlangue inventé par Georges Orwell dans son roman prophétique « 1984 », publié en 1949 déjà, est une tromperie, sur et par le langage, devenue réalité avec le politiquement correct. Les journalistes pratiquent le politiquement correct aussi pour empêcher que les citoyens conceptualisent leurs pensées dissidentes, débattent et réfléchissent par eux-mêmes. Ces journalistes partiaux et soumis ont grand succès parce que la majorité souvent invisible des citoyens occidentaux ne cherchent pas à savoir ce qu’ils pensent vraiment; ils répètent ce que leurs politiques et leurs médias politiquement corrects disent qu’ils pensent! Leur nouvelle idéologie n’est pas plus religieuse que l’islam-idéologie, le salut et la fraternité par l’euro la sainte monnaie unique et par les immigrants, la rédemption des nationalismes et des colonisations occidentales culpabilisés et repentants, la solidarité des consommateurs compulsifs et manipulés par la publicité, la nouvelle religion du saint marché mondialisé à la sauce américaine, la fraternité avec les musulmans et la soumission à l’islam-idéologie. Considérer, comme la gauche, que le nationalisme est un faux visage trompeur du racisme et du militarisme, alors que la globalisation et l’interventionnisme humanitaire ne sont pas simplement la politique à la mode mais sont sanctifiés, est non seulement une absurdité antidémocratique mais un mensonge manipulateur tout comme la « reductio ad hitlerum » des partis de droite. Un député au Parlement européen n’est plus le représentant de son pays à Bruxelles et le défenseur de son pays mais un représentant bruxellisé des eurocrates de Bruxelles dans son pays. On ne raisonne plus. On inverse les valeurs. On accomplit. On se soumet, d’une part à l’UE, aux USA et à leurs mensonges et, d’autre part, aux exigences de la fraternité musulmane.

Il faut toujours inclure dans les cinq rituels musulmans le devoir de prosélytisme qui est un des piliers de l’islam et la colonne du « jihad". Contrairement à ce que croient les musulmans contemporains, comme l’était et l’est encore la religion juive, l’islam du premier siècle musulman n’était pas une religion prosélytique mais une alliance entre tribus. Depuis Médine sa cité refuge en Arabie, Mahomet réussit à rallier les tribus d’Arabie, non par la puissance de la parole mais par des razzias et des raids victorieux, barbares et surtout enrichissants pour sa tribu.

On pourrait aussi rajouter à ces cinq rituels l’hédonisme purement matérialiste et consumériste qui fleurit entre autres en Arabie Saoudite et au Qatar, où faire du shopping plusieurs fois par jour est le nouveau piétisme affairiste. Ce consumérisme des centres d'achat qui sont les cathédrales de la nouvelle religion de la consommation et la consommation en général ressemblent trait pour trait à l’addiction. Un drogué ne peut pas s’empêcher d’augmenter les doses et de rapprocher les prises. Un client consommateur, c’est la même chose. Parents et société, évitons de plonger nos enfants occidentaux dans la logique musulmane du manque. Plus on a une vie intérieure riche, plus on est structuré par de vraies valeurs, non seulement humanistes, morales et éthiques, mais aussi culturelles et spirituelles, plus on a de sens critique, moins on éprouve le besoin de consommer à tout propos et plus on protège l’environnement. Plus les valeurs traditionnelles sont inexistantes ou disparaissent, plus on est dans l’addiction, plus on s’adonne sans défense à la logique de la consommation, plus on est manipulé par la publicité et plus on détruit la nature. Selon notre culture judéo-chrétienne et greco-romaine, qui veut tout avoir s’expose à tout perdre, qui ne veut vivre que pour soi et sur soi n’arrive qu’au dépérissement et à l’hébètement.

Bien qu’il y ait eu, avant l’islam, une culture arabe qui s’exprime en langue arabe classique, il n’y a pas de culture islamique. L’héritage arabe d’avant la colonisation musulmane n’a rien à voire avec l’héritage musulman. L’islam n’est qu’une idéologie envahissante née au VII ème siècle et peaufinée par les califes les siècles suivants pour asseoir fermement leur pouvoir et leur domination sur le peuple. Pour arriver à leurs fins et nous islamiser, les musulmans ont inventé récemment une soit-disante culture islamique; pour nous faire croire que l’islam est la « religion » de paix qui nous fait cruellement défaut et qui va éliminer le mal dans le monde, ils tentent de transformer leur idéologie totalitaire en culture dominante (pour des nuls?). Des politiciens occidentaux ignorants et/ou collabos comme Barack Hussein Obama, des « useful idiots », croient facilement ces mensonges et les propagent. Ainsi par exemple, Ibn Ruchd ou Averroes, le traducteur d’Aristote, n’est pas un musulman cultivé qui a influencé la culture européenne, comme le raconte maintenant des guides musulmans qui veulent nous faire croire qu’il existerait une culture islamique. La vérité est que les leaders idéologiques musulmans de l’époque ont exilé Averroes, avaient fait brûler ses livres, ont interdit tant ses enseignements que ceux d’Aristote et de toute la science gréco-sassanide en langue arabe. Du reste à ce jour, Averroes n’a jamais été réhabilité en pays musulmans. L’islam a toujours persécuté la science et la philosophie, puis il a fini par les étouffer. A partir de 1275 environ, deux mouvements apparaissent dans le monde: d’une part les pays arabes musulmans plongent dans la plus triste décadence intellectuelle et culturelle, de l’autre l’Europe occidentale se passionne avec résolution et courage pour la recherche scientifique de la vérité.

Autre exemple, le « ramadan » n’est pas une pratique culturelle libre mais une pratique idéologique imposée par l’islam-idéologie. Le jeûneur du ramadan, si il reste confiné chez lui, il ne gêne personne, malgré le nombre important de ceux qui, déshydratés et épuisés, s’évanouissent le jour et vomissent ou souffrent d’indigestion la nuit quand ils se goinfrent bruyamment pour compenser leur jeûne diurne. Par contre, si le jeûneur sort de chez lui, c’est comme avec les drogues, il y a incompatibilité, par exemple faiblesse au volant, irritabilité à l’égard des autres, improductivité au travail, inattention et irritabilité à l’école et au volant, incivilités dans les immeubles locatifs, etc, entre ce rituel idéologique et les activités humaines, qu’elles soient professionnelles ou autres.

Selon l’islam-idéologie l’animal qui doit être égorgé (boucherie « halal » ou abattage rituel) doit être bien conscient, soit en possession de tous ses moyens. Dans le coran, Allah ordonne impérativement, à tous les musulmans, de ne pas consommer la viande de porc qui leur est interdite (sourate 2, verset 173) ni le vin, « abominable péché», (sourate 2, verset 219). Dieu merci dans le cochon tout est bon et production non « halal » et consommation de porc augmentent dans le monde. Ce type d’interdit alimentaire est un héritage des religions polythéistes qui existaient avant le judaïsme, le christianisme et l’islam-idéologie. L’abattage rituel, lui, n’est ni un rituel religieux, ni une valeur culturelle, mais une sauvagerie incompatible avec nos valeurs occidentales, puisque en Europe depuis une génération, on exige des bouchers d’insensibiliser l’animal avant de le tuer. L’abattage rituel, c’est-à-dire égorger et saigner les animaux alors qu’ils sont conscients et les laisser mourir d’hémorragie, ce qui prend, par exemple, un bon quart d’heure ou d’avantage de souffrances pour un bovin, est aussi la cause d’un problème d’hygiène sanitaire: tout particulièrement la contamination de la viande par une redoutable Eschérichia coli (bactérie présente dans les intestins de l’animal) qui est un danger pour les consommateurs, tout particulièrement les enfants.

Quelle valeur ont la liberté et la responsabilité de chacun dans une communauté dans laquelle il y a des interdictions à foison comme dans la fraternité musulmane? Si une religion ou une idéologie prescrit à ses adhérents tout ce qu’il doivent faire et manger, alors ces personnes ne sont plus considérées comme des personnes responsables qui répondent de leurs actes et raisonnent. Dans une telle communauté, moins la responsabilité individuelle est mise en avant, plus il faut créer de nouveaux interdits et plus il faut investir dans de coûteuses mesures préventives, ce qui est à l’opposé des Lumières, de la Réforme et de l’innovation.

L’islam-idéologie est donc principalement une anti-religion moyenâgeuse; ceci rapproche l'islam du communisme, du nazisme, du maoïsme et d’autres idéologies totalitaires. Ce qui est important pour l’islam-idéologie, c'est que le peuple obéisse à la tribu, à l’état musulman, au calife le lieutenant de Allah, à la « charia », etc, tout en pratiquant accessoirement les commandements ritualistes rappelés ci-dessus, pour lui donner un semblant de religion. Le nazisme allemand avait aussi ses rituels « religieux », comme le rappelle Milton Mayer dans son livre « They Thought They Were Free: The German 1933-1945 ». Tout comme l'islam-idéologie, le marxisme et toutes les idéologies cohérentes et structurantes, le socialisme-national nazi avait pour objectif de fonctionner comme une « religion ». Ainsi, non sans raison, on parle de vulgate nazie, de vulgate marxiste, etc. Le communisme international fut en quelque sorte l'église matérialiste dont le Saint-Siège était à Moscou. On a même dit que le marxisme était devenu une nouvelle religion, « un opium des intellectuels ». Déjà en 1928, Joseph Goebbels qui était fanatiquement dévoué à Hitler qu'il considérait comme le sauveur de la nation allemande, écrivait dans son journal: « Le socialisme-national est une religion. Il ne lui manque que le génie religieux... Il nous manque le rite... Il faudrait que le socialisme-national devienne un jour la religion d’Etat des Allemands... Mon Parti est mon Eglise, et je crois servir le Seigneur...». Toutes les idéologies, même les plus absurdes, inutiles et barbares, ont leurs partisans.

L’islam-idéologie est très proche du communisme par la manipulation du langage. Pendant plusieurs générations, le communisme s’est maintenu en URSS et se maintien encore avec fermeté et violence à Cuba et ailleurs, parce que certains mots y étaient ou y sont encore interdits; et voilà que nous en Occident nous n’osons plus maintenant prononcer certains mots sans être accusés d’islamophobie et/ou d’europhobie. Nous sommes bien enferrés dans cette situation en Europe puisque pour nombre de juges européens, l’islamophobie n’est plus une opinion, c’est un délit et du racisme; mais la christianophobie, la cathophobie, l’antisémitisme et la démocratiophobie restent, elles, des opinions! Même poser une question ou débattre sur l’islam, est poursuivi pour islamophobie; poser une question ou débattre de l’UE est une europhobie alors qu’un europhobe est lui plus réaliste que naïf idéaliste. L’islamisation de l’Europe se fait en douceur dans l’eurobéatitude. L’UE cache ainsi aux citoyens que l’immigration n’est plus une immigration de travail mais une fort coûteuse invasion migratoire économique et militante de peuplement. Les terroristes musulmans ont déclaré ouvertement une guerre asymétrique aux pays de la coalition occidentale alors que les USA, l’Angleterre, la France, etc, sont entrés en guerre contre l’Iraq, la Libye, la Syrie, etc.. Quoiqu’en disent les angéliques multiculturalistes, il n’en reste pas moins que cette islamisation et son terrorisme musulman sont déjà une guerre asymétrique généralisée et bientôt mondiale; en Occident c’est encore une guerre d’intimidation et d’exigences, en Orient c’est une guerre d’élimination. C’est la guerre. Elle n’a pas été évitée. Elle se généralise et fera rage dans tout l’Occident. L’avenir de notre monde occidental est sinistre.

Question guerres, les Occidentaux ont-ils été, jusqu’à ce jour, opérationnellement et moralement meilleurs que les musulmans? Au lecteur de juger lui-même. Malgré d’énormes dépenses (plus de 5 trillions d’USD pour la lutte contre le terrorisme), vu leur manque de stratégies les USA ont des capacités opérationnelles limitées, inefficaces et guère efficientes. De plus, ils n’ont pas compris dans quel type de guerre ils se sont engagés successivement de l’Afghanistan à la Syrie. Contrairement à la Russie, leur armée croit taper fort, préemptivement, avec une stratégie limitée et peu de résultats. De plus, depuis bien trois générations, les USA sont toujours entrés en guerre après en avoir créé, au préalable, eux-mêmes les conditions, le plus souvent en appliquant la doctrine du 1% de Dick Cheney et en exigeant de leurs services de renseignement non pas de renseigner et d’éclairer les décisions stratégiques des gouvernants américains mais de fournir des arguments aux décisions tactiques de politiciens et de conduire pas seulement des engagements mais aussi des opérations « sous fausse bannière ». Les USA ont ainsi imaginé dangerosité de l’adversaire, menace, légitimité et consensus euro-atlantique en culpabilisant les pays qui ne participent pas à leurs guerres préemptives et à leurs boycotts. Habituellement, de tels gouvernements qui déclenchent des conflits et des boycotts sont des gouvernements affaiblis qui cherchent à se consolider, ou plutôt à renforcer et rendre plus populaires leurs dirigeants, tout en distrayant leurs électeurs, par exemple à l’approche d’élection, comme la France de Hollande et les USA de Obama.

Ni les USA, ni leurs satellites européens n’ont respecté la souveraineté des états et l’interdiction du crime d’agression soit l’article deux de la Charte des Nations Unies: « Interdiction de la menace ou de l’emploi de la force dans les relations internationales » et le principe six des « Principes du droit international consacrés par le tribunal de Nuremberg » émis en 1950 suite au procès soit:

« Les crimes énumérés ci-après sont punis en tant que crimes de droit international.

a. Crimes contre la paix:

i) Projeter, préparer, déclencher ou poursuivre une guerre d'agression ou une guerre faite en violation de traités, accords et engagements internationaux;

ii) Participer à un plan concerté ou à un complot pour l'accomplissement de l'un quelconque des actes mentionnés à l'alinéa i.

b. Crimes de guerre:

Les violations des lois et coutumes de la guerre qui comprennent, sans y être limitées, les assassinats, les mauvais traitements ou la déportation pour les travaux forcés, ou pour tout autre but, des populations civiles dans les territoires occupés, l'assassinat ou les mauvais traitements des prisonniers de guerre ou des personnes en mer, l'exécution des otages, le pillage des biens publics ou privés, la destruction perverse des villes ou villages ou la dévastation que ne justifient pas les exigences militaires.

c. Crimes contre l'humanité:

L'assassinat, l'extermination, la réduction en esclavage, la déportation ou tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, lorsque ces actes ou persécutions sont commis à la suite d'un crime contre la paix ou d'un crime de guerre, ou en liaison avec ces crimes. »

Ces violations ne sont-elles pas les raisons pour lesquelles, depuis 2001, les USA perdent beaucoup plus de vétérans par suicide que de soldats au combat? Leurs soldats ont un problème de motivation, d’indication à ces guerres dites préemptives, d’éthique guerrière, de confiance dans leur pays et leurs dirigeants, d’insatisfaction et de pénible remise en question. De plus on se demande à quoi servent les 60 milliards annuels dépensés pour le renseignement pour des politiciens qui sont devenus aussi revanchards que les terroristes musulmans et qui, de plus, abandonnent leurs propres vétérans.

Au lieu de lutter contre le terrorisme, les USA et leurs satellites ont encouragé le terrorisme et adopté de nombreuses mesures simplistes si ce n’est rocambolesques, coûteuses et inefficaces pour tenter d’intercepter les terroristes mais n’ont pas appliqué de vraies stratégies pour lutter avec succès contre le terrorisme et éviter sa légitimité. Les USA n’ont rien appris de leurs erreurs commises dès l’été 1979 quand le Président Carter (de gauche évidemment) a donné (indépendamment du gouvernement afghan!) l’autorisation à la CIA d’aider les moudjahidines islamistes afghans (Opération Cyclone des USA qui força l’URSS à intervenir en décembre de la même année), puis en 1998, en 2001, etc. La France, dès 2015, répète à souhaits les erreurs des USA de 2001; avec arrogance la France prétend exporter par ses vaillants soldats et ses avions de combat l’idéologie droit de l’hommiste, la « religion » de l’Autre, la mondialisation sans frontières et la démocratie décadente de l’UE et des USA.

Comme dans tout conflit asymétrique, au lieu de contribuer à la lutte contre le terrorisme musulman, les faibles succès tactiques obtenus, par exemple dernièrement par les USA et la France en Syrie ont renforcé et nourri les avantages stratégiques des terroristes musulmans, leur ont donné légitimité et, avec l’aide des mass-médias occidentaux, ont facilité et avantagé le recrutement des djihadistes dans le monde entier. De plus comme dans toute combat asymétrique, les pertes des djihadistes apportent des victoires à tous les musulmans. La force des frappes américaines et leurs effets collatéraux n’ont pas eu d’effet dissuasif mais renforcent le djihadisme et ses réponses guerrières et terroristes. Même les actions humanitaires en pays musulmans, comme celle de la Suisse en Iraq, et la mondialisation représentent pour les musulmans des ingérences qui ne compensent pas, ni ne font pardonner les invasions guerrières et l’ingérence des USA mais ont mis la Suisse dans le groupe de la coalition qui agresse et menace la Syrie et l’Iraq. La formation d’imans, prévue à à l’Université de Fribourg et ailleurs en pays chrétiens, ne fera qu’attiser encore plus le sentiment des musulmans que l’Occident veut tout décider pour eux et les tyranniser.

L’islam-idéologie tout comme l’impérialisme USA avec l’UE son satellite se sont mis tous deux dans un contexte mondialisé sans frontières et ne peuvent dès lors que s’affronter partout dans le monde. D’autant plus que pour les musulmans le « djihad » cherche à défendre leur foi absolue en l’unique Allah. Ce qui fait qu’il est devenu encore plus difficile que les citoyens et leurs gouvernants d’un pays occidental énoncent clairement leurs conditions strictes et impératives d’acceptabilité et de réciprocité dans leur propre pays pour toute pratique « religieuse », idéologique ou culturelle introduite par des immigrants qui veulent s’établir dans ce pays. Il ne s’agissait pas d’attendre que ces immigrants soient installés chez nous pour les punir et les domestiquer mais d’anticiper les problèmes, de communiquer avec clarté et fermeté nos exigences et nos vertus et d’appliquer le principe de réciprocité dès le début des années septante. Malheureusement, début des années septante, les gouvernants européens, en particulier les français ne rêvaient que de favoriser la création de la grande Eurabia qui allait être plus puissante que les USA et la Russie..

Mahin Nezam

 

 

 

 

Où en est l’enquête sur les attentats du 13 novembre ?

Samedi dernier, un délinquant de 25 ans, Mohamed S., a été mis en examen puis écroué pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle. Il est soupçonné d’avoir aidé à offrir un refuge à Abdelhamid Abaaoud, le chef opérationnel présumé des attentats.

Salah Abdeslam, un des auteurs présumés des attentats, est toujours insaisissable.

L’enquête progresse aussi du côté belge

En Belgique, huit hommes sont inculpés et emprisonnés à ce jour. Les enquêteurs recherchaient deux hommes contrôlés le 9 septembre en Autriche avec Salah Abdeslam. Non identifiés, ils avaient produit deux fausses cartes d'identité belges.

Deux autres suspects ont été inculpés. Selon la télévision publique flamande VRT, l'un d'eux est une connaissance d'un des kamikazes des attentats, Bilal Hadfi, qui s'est fait exploser au Stade de France.

Plus généralement, où en est on de la lutte contre l’islamisme ?

Mercredi, le gouvernement a saisi le Conseil d’Etat pour avis, afin de vérifier s’il est constitutionnel d’interner ou de placer sous surveillance électronique les suspects dotés d’une fiche « S »

Cette consultation inquiète : si le gouvernement la mettait en œuvre, cela signifierait la possibilité de rétention d’individus « présentant des indices de dangerosité ». Des personnes pourront être emprisonnées à titre préventif : des islamistes de retour du jihad en Syrie… comme des opposants encombrants.

En effet, les islamistes radicaux ne représentent que la moitié des 20 000 fichés « S ». On trouve même certains militants de la Manif pour tous…

De nombreux faits divers inquiètent…

Lundi, à Châlons en Champagne, un lycéen de 15 ans a été interpellé dans son ancien lycée en possession d’une arme blanche et d'une barre de fer. Il avait tiré début octobre sur une enseignante avec un pistolet à billes en criant « Allah Akbar »…

L’acte d'un déséquilibré ? Pourtant, celui ci ne s'est pas radicalisé en prison.

Le problème de l’islamisme s’inscrit plus globalement à l’échelle européenne… voire mondiale

En témoigne notamment, l’attentat commis samedi dernier dans le métro londonien. Un homme a essayé de trancher la gorge d'un passager en hurlant : « C'est pour la Syrie !».

Mercredi dernier, aux Etats Unis, une tuerie « halal » a eu lieu à San Bernardino. Ici encore, les terroristes ayant tué 14 personnes pendant un repas de Noël du personnel sont des islamistes.

De nombreuses vagues de populations musulmanes continuent d’arriver en Europe via les flux de clandestins.

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