Un symbole LGBTQ sur les agendas scolaires vaudois fait réagir élèves et corps enseignant

Cenator: Après la distribution de l'agenda portant le drapeau arc-en-ciel, il y a eu des réactions d'hostilité inattendues parmi les élèves.

Les 24 heures consacrent une page entière à expliquer le point de vue de la Cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture sous le titre: "L'agenda scolaire vaudois est-il un outil de propagande?"

La réponse de la journaliste, Simone Honegger, est Non.

Et soyons rassurés, la ministre et son staff vont éduquer la jeunesse pour que ce genre de réaction n'arrive plus.
Cesla Amarelle va mettre en place un plan d'action pour lutter contre l'homophobie et les inégalités, car "c'est la mission de l'école", rappelle la ministre.

Le logo LGBT signifie quels sont les valeurs et les principes de l'école, car celle-ci vise la réduction des inégalités.
Le vivre-ensemble est la condition de base de l'enseignement public.

La ministre socialiste a introduit la lutte contre la précarité menstruelle, comme si, avant elle, les jeunes filles de Suisse romande avaient eu du sang qui coulait le long des jambes faute de pouvoir s'acheter des moyens de protection.

Cesla Amarelle transpose ses favelas fantasmées sur la Suisse, où les marxistes distribuent la pilule et les protections hygiéniques pour gagner des partisans.

Cette femme a également supprimé les devoirs à domicile pour mettre tous les élèves à égalité, car certains parents ne peuvent pas aider leurs enfants. Le nivellement par le bas, c'est bien cela le socialisme.

Puis, toujours au nom du féminisme marxiste, elle a instauré des classes à part pour des filles pour les leçons de mathématiques, les garçons obtenant de meilleurs résultats : la non-mixité au nom de l'égalité des chances va résoudre ces différences.

Cesla Amarelle est allée jusqu'à diriger des écoles entières pour se rendre aux manifestations communistes, que ce soit les grèves du climat ou la grève des femmes. Et tout cela a passé comme une lettre à la poste, car tout ce que la guerre culturelle justifie fait désormais partie de la mission de l'école.

******

Le nouvel agenda scolaire des classes vaudoises de 9, 10 et 11ème [Katia BITSCH - RTS]
Un symbole LGBTQ sur les agendas scolaires vaudois fait réagir élèves et corps enseignant / La Matinale / 1 min. / mercredi à 06:00
Le symbole arc-en-ciel LGBTQ qui figure au dos du nouvel agenda scolaire vaudois suscite des réactions parmi les élèves. Le département n'y voit aucun militantisme, mais entend défendre les valeurs de respect. Le corps enseignant s'estime démuni pour ouvrir le débat sur l'homophobie.

Ce discret pictogramme aux couleurs de l'arc-en-ciel figure sur la couverture du nouvel agenda scolaire vaudois des élèves de 9, 10 et 11ème, un logo parmi d'autres symboles comme l'égalité hommes/femmes ou le développement durable. Mais c'est ce symbole arc-en-ciel qui interpelle certains élèves du collège d'Aigle.

"Pour moi la question de la sexualité relève du domaine privé, et c'est un sujet qui n'a rien à faire sur un agenda scolaire", estime l'un des élèves. Si certains n'y voient rien à redire, d'autres ont rayé le drapeau. Le sujet a en tout cas créé des débats auxquels les professeurs n'étaient pas préparés.

Plusieurs enseignants du canton ont d'ailleurs contacté la Société pédagogique vaudoise à ce sujet. Gregory Durand, son président, reconnaît un manque d'information: "Il n'y a pas eu d'indication donnée aux enseignants lors de la distribution de cet agenda et certains ont pu être surpris et n'ont pas su répondre. Cela montre bien qu'il faut aborder cette thématique dans le contexte scolaire."

>> L'interview complète de Gregory Durand dans La Matinale

Gregory Durand, pdt de la Soc. pédagogique VD, à propos du pictogramme LGBT sur les agendas / La Matinale / 1 min. / mercredi à 06:00

Aucun militantisme

Le Département de la formation, de la jeunesse et de la culture (DFJC)  vaudois affirme lui qu'il n'y a aucun militantisme pour la cause LGBTQ et que ce pictogramme véhicule les valeurs de respect de la diversité et de l'orientation sexuelle et affective.

Ce pictogramme s'inscrit dans un plan cantonal d'action contre l'homophobie, il représente les valeurs de l'école comme le respect de la diversité

Caroline Dayer, spécialiste de la prévention des violences. [RTS]

Caroline Dayer, déléguée départementale aux questions d'homophobie et de transphobie

La question de l'homophobie figure d'ailleurs au programme scolaire et le sujet fait partie des priorités du DFJC au même titre que l'égalité des genres, souligne Caroline Dayer, déléguée départementale aux questions d'homophobie et de transphobie. Que l’école doit communiquer sur ces valeurs est inscrit dans la loi sur l’enseignement obligatoire.

Un plan d'action qui prévoit des formations a par ailleurs été mis en place pour mieux outiller le corps enseignant face à ces questions. Dans la posture enseignante, il s'agit de faire passer le message que "chaque élève a le droit d'être qui il est ou qui elle est à l'école", rappelle Caroline Dayer.

>> Ecouter aussi l'interview de Cesla Amarelle dans Forum:

Un pictogramme sur les agendas vaudois fait débat: interview de Cesla Amarelle (vidéo) [RTS]
Un pictogramme sur les agendas vaudois fait débat: interview de Cesla Amarelle / Forum / 5 min. / hier à 18:00

Julie Rausis/kb

source: https://www.rts.ch/info/regions/vaud/12456975-un-symbole-lgbtq-sur-les-agendas-scolaires-vaudois-fait-reagir-eleves-et-corps-enseignant.html

Vaud: L’histoire du genre sera enseignée à l’école

[...] Certaines périodes de leurs cours d’Histoire seront désormais axées sur l’histoire du genre.

[...]

Dans la même lignée, l’école vaudoise souhaite également mettre davantage de lumière sur la question climatique.[...]«Ces compléments seront mis progressivement à disposition jusqu’à la rentrée 2023», [...] Ils permettront ainsi aux élèves d’aborder les enjeux de la crise environnementale d’un point de vue historique et socioécologique, mais aussi géographique.

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/lhistoire-du-genre-sera-enseignee-a-lecole-949096509398

Genève. Instruction publique: Les migrants affluent et il n’y a plus d’argent! Beaucoup de ces migrants ne sont pas alphabétisés et resteront en Suisse!

Christian Hofer: Evidemment, Anne Emery-Torracinta est socialiste et donc une partie du problème de Genève, avec sa diversité enrichissante qui se traduit, comme à son habitude, par une explosion des coûts sociaux.

On ne saurait trop conseiller à cette socialiste d'aller demander de l'argent à sa collègue Sommaruga qui est responsable de l'état de notre pays ou même à ces associations d'extrême gauche qui ont milité pour l'ouverture totale de nos frontières.

Par ailleurs, on rappelle que Genève a milité pour devenir une ville refuge. Où sont les protagonistes de cette imbécilité à présent?

Bien évidemment, et contrairement à la propagande de gauche, ces jeunes ne sont pas instruits et représentent une charge incroyable pour nos institutions. En clair, la gauche va saigner à blanc les autochtones et détruire le système de formation de leurs enfants.

Genève est devenu l'exact miroir de la France avec des impôts extrêmement élevés, un multiculturalisme acharné (près de 40% de sa population n'est pas suisse, sans compter les naturalisations) et une dette d'envergure. C'est cela le futur de l'Europe.

**********

Les jeunes migrants affluent, les effectifs scolaires progressent. La conseillère d'Etat juge que le DIP ne peut plus se serrer la ceinture.

«On a atteint les limites.» Cette phrase, la conseillère d’Etat genevoise chargée de l’instruction publique l’a martelée ce mardi matin lors de la conférence de presse de rentrée. Le message que souhaite faire passer la socialiste Anne Emery-Torracinta est le suivant: si de nouvelles économies sont demandées, «on devra toucher aux conditions-cadres, soit la masse salariale, le temps de travail et le nombre d’élèves par classe. Les fonds de tiroir ont été largement ratissés.»

Afflux d'ados mineurs non accompagnés

L’accueil des jeunes migrants constituera l’un des autres défis du DIP lors de cette année scolaire. Leurs effectifs ont explosé cette année: ils seront 1809 à la rentrée, contre 1445 l’an passé. Le gros des arrivées se concentre au niveau du secondaire II (926 jeunes gens à ce niveau), soit les adolescents de 15 ans et plus. «Une bonne partie arrivent en tant que mineurs non accompagnés. Ce sont essentiellement de grands ados, dont 85% resteront en Suisse selon les estimations de la Confédération. Et beaucoup ne sont pas ou peu alphabétisés.» Le système doit donc s’adapter en continu pour héberger, encadrer et instruire ces jeunes qui ne répondent pas aux standards habituels de leur classe d’âge.

Source et article complet

WP2Social Auto Publish Powered By : XYZScripts.com