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Médecins Sans Frontières et les Hôpitaux universitaires de Genève ont questionné les personnes qui se pressaient pour obtenir des pâtes, des conserves, du riz et autres produits de première nécessité. Sur les quelque 2000 qui étaient présentes, 554 ont répondu à cette enquête.
>> Lire aussi: Une distribution massive de nourriture aux plus démunis à Genève
[...] 52% sont des sans-papiers, 28,3% des résidents étrangers avec permis de séjour, 3,6% des Suisses, 4,5% des demandeurs d’asile. Suivent d’autres statuts ou des non-réponses. [...]>> Les explications du professeur Chappuis sur les profils:
: "Il y a l’exemple des employées de maison des Philippines mais aussi des gens d’Amérique latine, de Mongolie, des engagements précaires. [...]
La faible proportion de personnes assurées est révélatrice de cette fragilité extrême. Seulement 40% des personnes qui ont répondu ont une assurance maladie et le taux tombe à 10% chez les sans-papiers.
[...]
Darius Rochebin/boi
article complet: https://www.rts.ch/info/regions/geneve/11309509-60-des-personnes-qui-ont-fait-la-queue-pour-manger-a-geneve-n-ont-pas-d-assurance-maladie.html
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https://lecourrier.ch/2020/05/03/le-nouveau-visage-de-la-pauvrete/
https://www.lfm.ch/actualite/geneve/1683-colis-alimentaires-distribues-aux-vernets/
https://www.20min.ch/fr/story/plus-de-trois-heures-de-queue-pour-un-colis-alimentaire-787313476744
https://www.lematin.ch/suisse/1700-colis-alimentaires-distribues-vernets/story/12132532
etc..
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Cenator: Il faut être bien naïf, un fonctionnaire bobo comme Rochebin ou le Dr Chappuis, qui n’ont jamais vraiment dus se battre pour remplir leurs frigos de bios, pour s’étonner de la présence de files d’attente lorsque de la nourriture est distribuée gratuitement. Ces bobos sont des décalés complet par rapport aux réalités de la vie que monsieur tout le monde doit affronter.
Ici, nous sommes en présence de dispositifs spectaculaires (la distribution de cornets alimentaires et leur importante médiatisation) destinés à culpabiliser la population en vue probablement d’une prochaine opération Papyrus.
Tout d’abord, tout ce qui est gratuit attire des foules, ces personnes ne font pas partie des Suisses de souche qui, eux, préfèrent se serrer la ceinture que d’aller demander. Dans ces files, personne n’a l’air affamé mais les décalés susmentionnés veulent essayer de nous convaincre de leur extrême dénuement en nous apprenant que 60% d’entre eux n’ont pas d’assurance maladie. Ce pourcentage est probablement tout faux mais peu importe. En effet, aucune de ces personnes ne paie de primes d’assurance maladie car, ou bien elles ne sont pas assurées ou bien elles bénéficient de subsides complet. Par contre, 100% de ces personnes sont soignées par des services médicaux ad-hoc coûtant des millions aux contribuables.
En Suisse, il est relativement facile de devenir un assisté social professionnel, que l’on soit clandestin ou non. Dans le contexte de crise économique gravissime qui se profile, les caisses publiques et les réserves diverses vont se vider très rapidement et il faudra de toute urgence éliminer les dépenses inutiles. Et il va de soi que l’expulsion des clandestins et des étrangers assistés à vie doit figurer en tête de liste des actions à entreprendre, cela pour diminuer les coûts et décourager les étrangers tentés par l’Eldorado helvétiques des assistés.
Malheureusement, le parlement est rempli de Verts-Rouges n’ayant pas d’autres soucis actuellement que de comptabiliser les statues et les noms de rues de nos villes, qui surreprésentent le genre masculin… cela afin d’y remédier par la suite.
(Exemples: A la place du Boulevard de Saint-Georges à Genève, une rue Grisélidis-Réal, prostituée,
A Lausanne, la municipalité confirme la nécessité de mieux représenter les femmes dans l’espace public)