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COVID-19: The Great Reset
(pas de sous-titres disponibles)
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(pas de sous-titres disponibles)
Débat RTS/Forum entre Bastienne Joerchel, directrice du Centre social protestant vaudois,
Christina Kitsos, conseillère administrative en ville de Genève,
Stéphane Rossini, directeur de l'Office fédéral des assurances sociales,
et Giuliano Bonoli, professeur de politiques sociales à l’Université de Lausanne.
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Débat entre quatre gauchistes au pouvoir pour savoir si notre filet social est à la hauteur de leurs idéaux.
Bien entendu, les quatre arrivent à la conclusion que la crise du Covid a montré d’énormes trous dans ce filet, qui est trop complexe et ne tient pas compte des « travailleuses et des travailleurs » qui se trouvent depuis longtemps sur notre territoire sans avoir accès aux prestations sociales, comme l’aide sociale et le logement subventionné, alors que ces gens cotisent aux assurances sociales. Ces défaillances et lacunes de notre filet social seraient une bombe à retardement.
En effet, dans bien des cantons de Suisse romande, un clandestin peut se procurer un numéro AVS et y verser des cotisations (partielles), ce que l’usine du social leur recommande afin de pouvoir faire du forcing pour l’obtention du permis d’établissement.
Les quatre intervenants déplorent que la Confédération transfère ces charges sur les cantons, les communes et des ONG. C’est le fonctionnement du système qui serait à repenser pour que plus personne ne passe entre les mailles du filet.
Les lacunes à corriger seraient d’offrir un meilleur accès à l’information, de rendre le système de l’assistance moins complexe, moins spécialisé, de diminuer les critères qui définissent les ayants droit. Il faut mettre en place un système qui s'adresse à tout le monde.
Christina Kitsos : Il faut rappeler que l’aide sociale est un droit. C’est un droit constitutionnel et ce n’est pas une assurance sociale.
Il faut distribuer plus d’argent et poser moins de critères. Durant le premier confinement, 70% des personnes qui faisaient la queue pour les aides alimentaires n’avaient pas d’aide sociale. Il faut travailler sur le non-recours aux prestations sociales. La loi sur les étrangers, avec permis « B » et « C », rend les gens réticents à demander de l’aide par peur de ne pas pouvoir renouveler leur permis.
Et les personnes en situation de demande d’asile disparaissent quand elles savent que leur demande d’asile sera refusée, néanmoins ces personnes restent dans nos villes. Il n’y a pas de filet social qui recouvre les besoins de ces personnes.
Les cantons reçoivent bien des aides fédérales, pour le logement et les primes d'assurance maladie, mais pas d’aides pour le reste.
Le système social est en tension, on ne pourra pas continuer ainsi s’il y a une troisième vague. Ce système est un système à étiquettes, il faut être malade ou chômeur, etc. Être dans le besoin devrait suffire pour obtenir de l’aide.
Il y a un autre problème. Selon une étude, les travailleurs au noir ne bénéficient pas d’une grande bienveillance dans la population. Les gens veulent une solidarité conditionnelle, ils ont le réflexe de se protéger contre les profiteurs. Cela doit changer. On parle souvent des profiteurs, mais on ne parle pas de ceux qui ne connaissent pas leurs droits à demander de l’aide.
La Chaîne du Bonheur a récolté des millions de francs, ce qui montre que l’esprit de solidarité est là. Mais la population doit comprendre que dans la durée, l’aide sociale, c’est un droit. L’article de la Constitution devrait être mieux connu pour que la population comprenne l’obtention de l’aide publique. Si on conditionne cette aide, si elle reste au bon vouloir de la population, cela va poser un problème éthique.
Non, il n’y a aucun risque que la solidarité s’émousse en Suisse.
Plus de 50% des personnes qui ont fait la queue aux Vernets pour l’aide alimentaire étaient des sans-papiers et malgré cela, la population genevoise a témoigné d’un vrai élan de solidarité. Il est également vrai que les gens ont été sensibilisés par l’opération Papyrus, cela a habitué les Genevois à la solidarité.
Il y a aussi les employés qui n'ont pas de contrat de travail écrit. Leurs employeurs ne respectent pas les lois, il y a des abus. Il y a aussi les gens qui sous-louent des logements pour se faire de l’argent sur le dos des plus précaires.
Le Covid nous permet une évaluation directe de notre système social. L’accompagnement du processus politique va être extrêmement intense ces prochaines années. Les lacunes donnent de bons arguments sur tous les thèmes évoqués et offriront un levier pour les faire aboutir. – fin du résumé
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Cenator : En somme, c’est de grand reset que les quatre camarades nous parlent.
Bien entendu, à les croire, il y aurait seulement des abuseurs qui se feraient de l’argent sur le dos des clandestins, tandis que personne ne se fait de l’argent sur le dos des contribuables.
Selon ces quatre intellectuels, le monde entier pourrait venir s’installer en Suisse pour s’y faire entretenir car la Suisse est riche.
Et pour ces gens, si le système s’effondre, c’est qu’il était mauvais. C’est tant mieux : la gauche ne rêve que de cela depuis la révolution de 1917, même si chaque essai a donné des résultats horrifiants. Notre establishment marxiste est certain qu’il saura construire un système plus juste, sans nations, sans identité, sans capitalisme, plus égalitaire, un système où, par exemple, les quatre intervenants auront une place de choix pour bâtir ce monde nouveau.
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La carrière politique de Stéphane Rossini résume totalement ce qu'est la prise du pouvoir du marxisme culturel sur notre pays.
Rossini est la figure emblématique du PS en Suisse romande, avec sa contribution à la diffusion de la pensée unique dans le monde académique, dans la recherche. Il est également emblématique du putsch marxiste actuel, mené au pouvoir par les manipulations et méthodes de persuasion de nos médias.
Son portrait, c’est du copié-collé avec les autres politiciens pastèques que nous avons en Suisse. Ce sont ce genre de personnes qui ont mis en place la tyrannie idéologique qui domine notre vie de A à Z.
Rossini était également « Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques », c’est-à-dire qu’il livrait à l’État des rapports et donnait son avis contre rémunération. Ces éléments étaient financés par nos impôts, établis à travers une vision orientée au possible, mais néanmoins considérés comme INDÉPENDANTS.
Les universités de Suisse romande recrachent chaque année depuis cinquante ans ce genre d’intellectuels.
Ci-après, un résumé de la carrière de Stéphane Rossini.
Né en 1963 à Sion, membre du Parti socialiste, Rossini était directeur de l'Office fédéral des assurances sociales jusqu'à fin novembre 2020.
Rossini préside actuellement le conseil de Swissmedic, ainsi que la Commission fédérale de l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité. [...]
Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques, en particulier des politiques sociales et de la santé, Stéphane Rossini est également chargé d'enseignement aux universités de Genève, Neuchâtel et Lausanne dans les domaines de l'administration publique, des sciences sociales et de la gestion de la santé.
Âgé de 55 ans, le Valaisan est licencié en sciences politiques et docteur en sciences sociales de l'Université de Lausanne.
Conseiller national de 1999 à 2015, Stéphane Rossini a notamment siégé à la Commission de gestion et à la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique. Il a également présidé le Conseil national en 2015.
[...]
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-75704.html
De mai 1989 à mai 1990, il est assistant à l'université de Lausanne et à l'Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP) de la même ville, situé à Chavannes-près-Renens, auprès du professeur Pierre Gilliand. Entre mai 1990 et juin 1994, il est chargé de recherche dans le cadre du Programme national de recherche 29, puis, entre juin 1994 et juin 1995, chef de projet de recherche à l'IDHEAP. Il est également directeur du diplôme de formation continue en travail social à l'université de Neuchâtel; il devient directeur-professeur du diplôme de formation continue en juin 1995.
Consultant indépendant au Conseil et recherche en politique sociale (CONSOC) à Haute-Nendaz entre 1995 et 2005, il devient chargé de cours en 2001 à l'université de Genève puis, dès octobre 2006, enseigne à la Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Lausanne et de Neuchâtel en tant que professeur-directeur du Master of Advanced Studies en action et politiques.
Carrière politique
En 1993, il est élu au Grand Conseil du canton du Valais, où il siège jusqu'en 1999, date à laquelle il est élu au Conseil national.
Réélu au Conseil National lors du scrutin du 23 octobre 2011, il est nommé président du Conseil national le 24 novembre 2014 […]
Le 3 octobre 2011, il annonce sa CANDIDATURE AU CONSEIL FÉDÉRAL pour succéder à Micheline Calmy-Rey […]
Source et extraits de : https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Rossini
En 2011, un politicien travailliste anglais, Paul Flynn, eut une merveilleuse inspiration en inventant une nouvelle notion, l’ineptocratie.
“L ‘ineptocratie est un système de gouvernement dans lequel les moins capables de diriger sont élus par les moins capables de produire quoique ce soit pour subvenir à leurs propres besoins, mais qui, néanmoins, sont récompensés en recevant biens et services produits par des gens à qui l’on vole le produit de leur travail et dont le nombre ne cesse de diminuer. »
A l’époque, j’avais publié un papier sur cette nouvelle forme de gouvernement à laquelle Aristote n’avait pas pensé, pour retrouver, la semaine d’après, dans le Figaro Magazine un article de Jean d’Ormesson reprenant la définition de l’ineptocratie dont il s’attribuait la paternité, ce qui n’avait pas laissé de me surprendre, mais pas tant que cela.
Je vais donc partir du constat que nous avons été en ineptocratie depuis trente ans au moins et que dans le fond, nos gouvernements n’ont qu’une idée, voler les talents aux bons serviteurs pour les refiler au mauvais serviteur, en en gardant une part importante pour eux. (Cf. la parabole des talents dans les Evangiles).
Hélas pour lui, le mauvais serviteur, celui qui enterre son talent, est envoyé en enfer, « là où il y a des pleurs et des grincements de dents » car le Christ n’a guère de sympathie pour les paresseux et les passagers clandestins…
Le vol n’a rien, mais rien à voir avec la charité chrétienne.
Saint Paul se faisait un devoir de travailler quand il visitait chacune des communautés qu’il avait créées.
Et donc, une société qui prend aux productifs pour donner aux bons- à -rien ne peut qu’aller en enfer, et nous y sommes.
Et c’est parce que nous y sommes que « les moins capables de nous diriger » sont en train de songer à « un grand réaménagement », pour continuer à nous voler le produit de notre travail.
Je m’explique.
Les ineptocrates ont non seulement dilapidé les talents que les générations précédentes leur avaient laissé, mais en plus ont emprunté comme des fous les talents que les générations suivantes n’allaient pas manquer de produire.
Mais les jeunes générations se trouvent bien incapables de produire quoi que ce soit puisque les ineptocrates sont toujours au pouvoir et ne cessent de faire rentrer de plus en plus de gens incapables de produire, au motif qu’ils en ont besoin au moment des élections.
Et du coup, la dette de l’Etat a littéralement explosée et est en train de devenir ingérable, ce que chacun peut constater.
Or, la dette étatique n’est que de l’impôt différé.
Pour servir et rembourser cette dette, il faudrait :
Ils sont donc bel et bien coincés.
Mais en bons élèves de l’ENA (Ecole Nationale des Agnan, le chouchou de la maîtresse dans le Petit Nicolas de Sempé et Goscinny), ils ne manquent pas d’imagination dans leur désir frénétique de rester au pouvoir.
Et le peuple du coup se doute qu’un coup tordu se prépare ,que l’on présente sous le nom de grand réaménagement (Great Reset en anglais) et prend peur à l’idée de ce qui va arriver,
A mon avis, il n’y a rien de nouveau dans les tuyaux. Il y a longtemps que le coup d’état actuel est en cours. Le grand réaménagement ne sera donc qu’une accélération d’un processus qui a commencé il y a bien longtemps.
Malgré toutes ces forfaitures, ils sont bel bien au bout du rouleau et du coup, comme tous les mauvais gérants, ils pensent à faire plus de ce qui a déjà échoué et donc à mettre le pied sur l’accélérateur et nous le savons par l’intermédiaire d’un Suisse, Monsieur Schwab, l’organisateur du forum de Davos.
Pour lui, le nouveau monde devrait s’organiser autour de trois principes qui seront bien sûr les fondations de ce grand réaménagement.
Je donne en premier le principe, et en second la traduction pour que même le lecteur du Monde le plus obtus comprenne (Je doute d’en avoir beaucoup dans le lectorat de l’IDL).
Je n’ai jamais été un « conspirationniste », pensant de façon générale que la bêtise humaine suffisait à expliquer nombre de désastres, mais je dois dire que le Covid est arrivé vraiment à point nommé pour donner une apparence de légitimité aux trois propositions mentionnées ci-dessus.
Le réchauffement atmosphérique qui aurait dû nous tuer dès 2018 d’après monsieur Gore en 2008 ne faisant plus peur à personne, il était urgent de créer une nouvelle grande peur de l’an 2000 pour ramener les citoyens à une saine obéissance, ce qui n’a pas manqué de se produire, à la grande satisfaction du lecteur du monde-électeur de Macron.
Le grand réaménagement n’est donc rien d’autre que la contre-attaque des hommes de Davos et autres ineptocrates pour rester au pouvoir envers et contre tout.
Et il faut bien que le lecteur se rende compte d’une chose et d’une seule : Un homme libre soit n’a rien à lui et est complètement autonome (un ermite dans la montagne se nourrissant de racines) ou au contraire, il a une certaine indépendance financière, fondée sur des actifs (actions, terres, immobilier, métaux précieux) dont la possession est garantie par le Droit de Propriété qui existe dans toutes les Constitutions des pays démocratiques.
L’ennemi n’est pas l’ermite mais celui qui dit non parce qu’il est indépendant financièrement.
Ils vont donc nous piquer nos actifs, et cela détruira nos démocraties.
Pour résoudre leurs problèmes, la solution la plus simple est en effet d’aller chercher l’argent là où il est, c’est-à-dire dans vos poches.
Et donc, pour résoudre les problèmes fiscaux des états gérés par les ineptocrates, le plus simple est d’annuler tout ou partie de la dette de l’état français, par exemple, et de la remplacer par une reconnaissance de dette ne donnant droit à aucun remboursement mais simplement au versement d’une rente de 1.5 % tant que le détenteur est en vie.
Improbable ?
Pas tant que ça.
En 1797, le ministre français des finances de l’époque ferme le marché des titres d ‘état pour déclarer que deux tiers de la dette ne seront jamais remboursés et qu’un tiers de la dette sera échangé contre une rente perpétuelle qui versera 5 % par an et dont les cours s’effondrent immédiatement tant tout un chacun voulait se débarrasser des titres restants tant qu’ils valaient encore quelque chose.
Je verrai assez bien monsieur Macron passer à la télévision, comme il le fait chaque semaine, lui dont la parole devait être « rare » pour nous annoncer, qu’à cause du Covid (ben voyons… !), toutes les obligations françaises déposées dans des assurances vie seront converties en obligations perpétuelles versant du 1.5 % à leurs heureux propriétaires.
C’est donc dire que le but essentiel de tous ces malfaisants va être maintenant de s’attaquer au droit de propriété soubassement ultime des systèmes démocratiques, ce qui implique un certain nombre de conséquences.
Le lecteur remarquera sans effort que toutes ces dispositions, même les plus farfelues sont d’ores et déjà en place.
Ma conclusion est donc toute simple : l’attaque que je sentais arriver depuis des années contre nos libertés fondamentales est lancée et bien lancée et le combat fait rage aux USA entre Trump et la classe des ineptocrates criminels.
Les citoyens américains ont bien de la chance, eux ils peuvent s’armer.
source: https://institutdeslibertes.org/le-grand-reamenagement-reset-ou-le-triomphe-de-lineptocratie/
https://www.youtube.com/watch?v=58MmE1Tir2k
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Rappel: Un site pour les détruire tous !
https://www.youtube.com/watch?v=dWbZW9e2VXI