Les camarades réclament solidarité, assistance et logements subventionnés pour les “travailleurs non déclarés”

Débat RTS/Forum entre Bastienne Joerchel, directrice du Centre social protestant vaudois,

Christina Kitsos, conseillère administrative en ville de Genève,

Stéphane Rossini, directeur de l'Office fédéral des assurances sociales,

et Giuliano Bonoli, professeur de politiques sociales à l’Université de Lausanne.

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Débat entre quatre gauchistes au pouvoir pour savoir si notre filet social est à la hauteur de leurs idéaux.
Bien entendu, les quatre arrivent à la conclusion que la crise du Covid a montré d’énormes trous dans ce filet, qui est trop complexe et ne tient pas compte des « travailleuses et des travailleurs » qui se trouvent depuis longtemps sur notre territoire sans avoir accès aux prestations sociales, comme l’aide sociale et le logement subventionné, alors que ces gens cotisent aux assurances sociales. Ces défaillances et lacunes de notre filet social seraient une bombe à retardement.

En effet, dans bien des cantons de Suisse romande, un clandestin peut se procurer un numéro AVS et y verser des cotisations (partielles), ce que l’usine du social leur recommande afin de pouvoir faire du forcing pour l’obtention du permis d’établissement. 

Les quatre intervenants déplorent que la Confédération transfère ces charges sur les cantons, les communes et des ONG. C’est le fonctionnement du système qui serait à repenser pour que plus personne ne passe entre les mailles du filet.

Les lacunes à corriger seraient d’offrir un meilleur accès à l’information, de rendre le système de l’assistance moins complexe, moins spécialisé, de diminuer les critères qui définissent les ayants droit. Il faut mettre en place un système qui s'adresse à tout le monde.

Christina Kitsos : Il faut rappeler que l’aide sociale est un droit. C’est un droit constitutionnel et ce n’est pas une assurance sociale.

Il faut distribuer plus d’argent et poser moins de critères. Durant le premier confinement, 70% des personnes qui faisaient la queue pour les aides alimentaires n’avaient pas d’aide sociale. Il faut travailler sur le non-recours aux prestations sociales. La loi sur les étrangers, avec permis « B » et « C », rend les gens réticents à demander de l’aide par peur de ne pas pouvoir renouveler leur permis.

Et les personnes en situation de demande d’asile disparaissent quand elles savent que leur demande d’asile sera refusée, néanmoins ces personnes restent dans nos villes. Il n’y a pas de filet social qui recouvre les besoins de ces personnes.

Les cantons reçoivent bien des aides fédérales, pour le logement et les primes d'assurance maladie, mais pas d’aides pour le reste.

Le  système social est en tension, on ne pourra pas continuer ainsi s’il y a une troisième vague. Ce système est un système à étiquettes, il faut être malade ou chômeur, etc. Être dans le besoin devrait suffire pour obtenir de l’aide.

Il y a un autre problème. Selon une étude, les  travailleurs au noir ne bénéficient pas d’une grande bienveillance dans la population. Les gens veulent une solidarité conditionnelle, ils ont le réflexe de se protéger contre les profiteurs. Cela doit changer. On parle souvent des profiteurs, mais on ne parle pas de ceux qui ne connaissent pas leurs droits à demander de l’aide.

La Chaîne du Bonheur a récolté des millions de francs, ce qui montre que l’esprit de solidarité est là. Mais la population doit comprendre que dans la durée, l’aide sociale, c’est un droit. L’article de la Constitution devrait être mieux connu pour que la population comprenne l’obtention de l’aide publique. Si on conditionne cette aide, si elle reste au bon vouloir de la population, cela va poser un problème éthique.

Non, il n’y a aucun risque que la solidarité s’émousse en Suisse.

Plus de 50% des personnes qui ont fait la queue aux Vernets pour l’aide alimentaire étaient des sans-papiers et malgré cela, la population genevoise a témoigné d’un vrai élan de solidarité. Il est également vrai que les gens ont été sensibilisés par l’opération Papyrus, cela a habitué les Genevois à la solidarité.

Il y a aussi les employés qui n'ont pas de contrat de travail écrit. Leurs employeurs ne respectent pas les lois, il y a des abus. Il y a aussi les gens qui sous-louent des logements pour se faire de l’argent sur le dos des plus précaires.

Le Covid nous permet une évaluation directe de notre système social. L’accompagnement du processus politique va être extrêmement intense ces prochaines années. Les lacunes donnent de bons arguments sur tous les thèmes évoqués et offriront un levier pour les faire aboutir. – fin du résumé

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-notre-filet-social-est-il-a-la-hauteur?id=11773822

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Cenator : En somme, c’est de grand reset que les quatre camarades nous parlent.
Bien entendu, à les croire, il y aurait seulement des abuseurs qui se feraient de l’argent sur le dos des clandestins, tandis que personne ne se fait de l’argent sur le dos des contribuables.

Selon ces quatre intellectuels, le monde entier pourrait venir s’installer en Suisse pour s’y faire entretenir car la Suisse est riche.

Et pour ces gens, si le système s’effondre, c’est qu’il était mauvais. C’est tant mieux : la gauche ne rêve que de cela depuis la révolution de 1917, même si chaque essai a donné des résultats horrifiants. Notre establishment marxiste est certain qu’il saura construire un système plus juste, sans nations, sans identité, sans capitalisme, plus égalitaire, un système où, par exemple, les quatre intervenants auront une place de choix pour bâtir ce monde nouveau.

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La carrière politique de Stéphane Rossini résume totalement ce qu'est la prise du pouvoir du marxisme culturel sur notre pays.

Rossini est la figure emblématique du PS en Suisse romande, avec sa contribution à la diffusion de la pensée unique dans le monde académique, dans la recherche. Il est également emblématique du putsch marxiste actuel, mené au pouvoir par les manipulations et méthodes de persuasion de nos médias.

Son portrait, c’est du copié-collé avec les autres politiciens pastèques que nous avons en Suisse. Ce sont ce genre de personnes qui ont mis en place la tyrannie idéologique qui domine notre vie de A à Z.

Rossini était également « Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques », c’est-à-dire qu’il livrait à l’État des rapports et donnait son avis contre rémunération. Ces éléments étaient financés par nos impôts, établis à travers une vision orientée au possible, mais néanmoins considérés comme INDÉPENDANTS.
Les universités de Suisse romande recrachent chaque année depuis cinquante ans ce genre d’intellectuels.

Ci-après, un résumé de la carrière de Stéphane Rossini.

Né en 1963 à Sion, membre du Parti socialiste, Rossini était directeur de l'Office fédéral des assurances sociales jusqu'à fin novembre 2020.

Rossini préside actuellement le conseil de Swissmedic, ainsi que la Commission fédérale de l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité. [...]

Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques, en particulier des politiques sociales et de la santé, Stéphane Rossini est également chargé d'enseignement aux universités de Genève, Neuchâtel et Lausanne dans les domaines de l'administration publique, des sciences sociales et de la gestion de la santé.

Âgé de 55 ans, le Valaisan est licencié en sciences politiques et docteur en sciences sociales de l'Université de Lausanne.

Conseiller national de 1999 à 2015, Stéphane Rossini a notamment siégé à la Commission de gestion et à la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique. Il a également présidé le Conseil national en 2015.

[...]

https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-75704.html

Carrière professionnelle

De mai 1989 à mai 1990, il est assistant à l'université de Lausanne et à l'Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP) de la même ville, situé à Chavannes-près-Renens, auprès du professeur Pierre Gilliand. Entre mai 1990 et juin 1994, il est chargé de recherche dans le cadre du Programme national de recherche 29, puis, entre juin 1994 et juin 1995, chef de projet de recherche à l'IDHEAP. Il est également directeur du diplôme de formation continue en travail social à l'université de Neuchâtel; il devient directeur-professeur du diplôme de formation continue en juin 1995.

Consultant indépendant au Conseil et recherche en politique sociale (CONSOC) à Haute-Nendaz entre 1995 et 2005, il devient chargé de cours  en 2001 à l'université de Genève puis, dès octobre 2006, enseigne à la Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Lausanne et de Neuchâtel en tant que professeur-directeur du Master of Advanced Studies en action et politiques.

Carrière politique

En 1993, il est élu au Grand Conseil du canton du Valais, où il siège jusqu'en 1999, date à laquelle il est élu au Conseil national.

Réélu au Conseil National lors du scrutin du 23 octobre 2011, il est nommé président du Conseil national le 24 novembre 2014 […]

Le 3 octobre 2011, il annonce sa CANDIDATURE AU CONSEIL FÉDÉRAL pour succéder à Micheline Calmy-Rey […]

Source et extraits de : https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Rossini

Le grand réaménagement (reset) ou le triomphe de l’ineptocratie

En 2011, un politicien travailliste anglais, Paul Flynn, eut une merveilleuse inspiration en inventant une nouvelle notion, l’ineptocratie.  

“L ‘ineptocratie est un système de gouvernement dans lequel les moins capables de diriger sont élus par les moins capables de produire quoique ce soit pour subvenir à leurs propres besoins, mais qui, néanmoins, sont récompensés en recevant biens et services produits par des gens à qui l’on vole le produit de leur travail et dont le nombre ne cesse de diminuer. »

A l’époque, j’avais publié un papier sur cette nouvelle forme de gouvernement à laquelle Aristote n’avait pas pensé, pour retrouver, la semaine d’après, dans le Figaro Magazine un article de Jean d’Ormesson reprenant la définition de l’ineptocratie dont il s’attribuait la paternité, ce qui n’avait pas laissé de me surprendre, mais pas tant que cela.

Je vais donc partir du constat que nous avons été en ineptocratie depuis trente ans au moins et que dans le fond, nos gouvernements n’ont qu’une idée, voler les talents aux bons serviteurs pour les refiler au mauvais serviteur, en en gardant une part importante pour eux. (Cf. la parabole des talents dans les Evangiles).

Hélas pour lui, le mauvais serviteur, celui qui enterre son talent, est envoyé en enfer, « là où il y a des pleurs et des grincements de dents » car le Christ n’a guère de sympathie pour les paresseux et les passagers clandestins…

Le vol n’a rien, mais rien à voir avec la charité chrétienne.

Saint Paul se faisait un devoir de travailler quand il visitait chacune des communautés qu’il avait créées.

Et donc, une société qui prend aux productifs pour donner aux bons- à -rien ne peut qu’aller en enfer, et nous y sommes.

Et c’est parce que nous y sommes que « les moins capables de nous diriger » sont en train de songer à « un grand réaménagement », pour continuer à nous voler le produit de notre travail.

Je m’explique.

Les ineptocrates ont non seulement dilapidé les talents que les générations précédentes leur avaient laissé, mais en plus ont emprunté comme des fous les talents que les générations suivantes n’allaient pas manquer de produire.

Mais les jeunes générations se trouvent bien incapables de produire quoi que ce soit puisque les ineptocrates sont toujours au pouvoir et ne cessent de faire rentrer de plus en plus de gens incapables de produire, au motif qu’ils en ont besoin au moment des élections.

Et du coup, la dette de l’Etat a littéralement explosée et est en train de devenir ingérable, ce que chacun peut constater.

Or, la dette étatique n’est que de l’impôt différé.

Pour servir et rembourser cette dette, il faudrait :

  • Cesser de subventionner les incapables, mais c’est impossible puisque les ineptocrates se feraient virer instantanément aux élections suivantes.
  • Augmenter les impôts sur les bons serviteurs qui, du coup, pourraient soit décider de rejoindre les rangs des bons à rien, soit filer vivre sous des cieux plus cléments puisque, comme le dit la sagesse populaire, « trop d’impôt tue l’impôt «

Ils sont donc bel et bien coincés.

Mais en bons élèves de l’ENA (Ecole Nationale des Agnan, le chouchou de la maîtresse dans le Petit Nicolas de Sempé et Goscinny), ils ne manquent pas d’imagination dans leur désir frénétique de rester au pouvoir.

Et le peuple du coup se doute qu’un coup tordu se prépare ,que l’on présente sous le nom de grand réaménagement (Great Reset en anglais) et prend peur à l’idée de ce qui va arriver,

A mon avis, il n’y a rien de nouveau dans les tuyaux. Il y a longtemps que le coup d’état actuel est en cours. Le grand réaménagement ne sera donc qu’une accélération d’un processus qui a commencé il y a bien longtemps.

  • Les ineptocrates ont en effet commencé par massivement augmenter les impôts sur les petits épargnants, pour les spolier en imposant des taux d’intérêts à zéro pour que les nouveaux emprunts ne leur coûtent rien, ruinant de ce fait les plus méritants. Les petits épargnants ont en effet amassé environ 1500 milliards d’euros d’obligations de l’État français dans leurs assurances- vie.
    Il y a 10 ans, les taux d’intérêts servis sur ce placement étaient à 3 %, c’est-à-dire que les épargnants recevaient un revenu net d’impôts de 45 milliards par an.
    Aujourd’hui, les taux sont à zéro ou même négatifs (ce qui est une impossibilité logique puisque cela voudrait dire que le futur est plus certain que le présent) et les épargnants ne touchent donc plus rien, c’est-à-dire que les ineptocrates imposent le produit de l’épargne des petites gens à 100%, ce qui n’est rien d’autre que du vol.
    Et du coup le pouvoir d’achat des épargnants va baisser de 45 Milliards et ils vont connaître la misère.
    Où l’on voit quelles sont les préoccupations premières des ineptocrates : d’après Charles Pratt (voir son interview sur la chaîne de l’IDL ), la fraude sociale s’élèverait à 51 milliards, soit à peu près la même somme.
    Entre condamner des vieux travailleurs a une fin de vie sordide et faire stopper une fraude gigantesque qui ne profite qu’aux mauvais serviteurs, leur choix a été vite fait.
  • Ensuite, ils ont fait acheter leurs obligations, dont plus personne ne voulait, par la BCE, alors même que cela était formellement interdit par tous les traités.
    Pour la première fois dans l’histoire, il n’y a donc plus de prix de marché pour les obligations de notre pays, ce qui n’augure rien de bon puisque cela permet aux ineptocrates d’emprunter sans que cela ne leur coûte rien.
  • Et enfin, cet été, ils ont organisé un véritable coup d’État en réussissant, au nom du Covid, à faire mutualiser la dette française par les autres pays européens, ce qui était interdit non seulement par les traités mais aussi par la Constitution allemande.
    N’ayant plus de bons serviteurs à piller en France, ils entendent donc maintenant piller les « bons serviteurs » allemands suédois ou hollandais. Heureusement la Pologne et la Hongrie ont opposé leurs vétos à cette tentative, pour l’instant.

Malgré toutes ces forfaitures, ils sont bel bien au bout du rouleau et du coup, comme tous les mauvais gérants, ils pensent à faire plus de ce qui a déjà échoué et donc à mettre le pied sur l’accélérateur et nous le savons par l’intermédiaire d’un Suisse, Monsieur Schwab, l’organisateur du forum de Davos.

Pour lui, le nouveau monde devrait s’organiser autour de trois principes qui seront bien sûr les fondations de ce grand réaménagement.
Je donne en premier le principe, et en second la traduction pour que même le lecteur du Monde le plus obtus comprenne (Je doute d’en avoir beaucoup dans le lectorat de l’IDL).

  1. Il faut réorganiser nos sociétés pour qu’elles soient plus « justes ». Traduction, les impôts sur la classe moyenne et ses actifs vont exploser, les paresseux vont toucher plus.
  2. Les Etats doivent investir massivement dans l’économie « verte » et transformer de fond en comble les villes et les lieux de production. Traduction : Le capitalisme de connivence a de beaux jours devant lui et votre immobilier ne vous appartiendra plus. Votre niveau de vie va baisser profondément.
  3. Entre le Covid et le réchauffement atmosphérique, nous avons besoin absolument d’un gouvernement mondial tant les problèmes ne peuvent plus être gérés à l’échelle nationale. Traduction : Dites adieu à la démocratie, de puissants génies comme Jacques Attali vont se coopter et assureront notre bonheur. Mais ils seront malheureusement obligés d’ouvrir des camps de concentration pour y mettre l’auteur de ces lignes et nombre de ses lecteurs, mais on ne fait pas d’ omelettes sans casser des œufs.

Je n’ai jamais été un « conspirationniste », pensant de façon générale que la bêtise humaine suffisait à expliquer nombre de désastres, mais je dois dire que le Covid est arrivé vraiment à point nommé pour donner une apparence de légitimité aux trois propositions mentionnées ci-dessus.

Le réchauffement atmosphérique qui aurait dû nous tuer dès 2018 d’après monsieur Gore en 2008 ne faisant plus peur à personne, il était urgent de créer une nouvelle grande peur de l’an 2000 pour ramener les citoyens à une saine obéissance, ce qui n’a pas manqué de se produire, à la grande satisfaction du lecteur du monde-électeur de Macron.

Le grand réaménagement n’est donc rien d’autre que la contre-attaque des hommes de Davos et autres ineptocrates pour rester au pouvoir envers et contre tout.

Et il faut bien que le lecteur se rende compte d’une chose et d’une seule : Un homme libre soit n’a rien à lui et est complètement autonome (un ermite dans la montagne se nourrissant de racines) ou au contraire, il a une certaine indépendance financière, fondée sur des actifs (actions, terres, immobilier, métaux précieux) dont la possession est garantie par le Droit de Propriété qui existe dans toutes les Constitutions des pays démocratiques.
L’ennemi n’est pas l’ermite mais celui qui dit non parce qu’il est  indépendant financièrement.

Ils vont donc nous piquer nos actifs, et   cela   détruira nos démocraties.

Pour résoudre leurs problèmes, la solution la plus simple est en effet d’aller chercher l’argent là où il est, c’est-à-dire dans vos poches.
Et donc, pour résoudre les problèmes fiscaux des états gérés par les ineptocrates, le plus simple est d’annuler tout ou partie de la dette de l’état français, par exemple, et de la remplacer par une reconnaissance de dette ne donnant droit à aucun remboursement mais simplement au versement d’une rente de 1.5 % tant que le détenteur est en vie.

Improbable ?

Pas tant que ça.

En 1797, le ministre français des finances de l’époque ferme le marché des titres d ‘état pour déclarer que deux tiers de la dette ne seront jamais remboursés et qu’un tiers de la dette sera échangé contre une rente perpétuelle qui versera 5 % par an et dont les cours s’effondrent immédiatement tant tout un chacun voulait se débarrasser des titres restants tant qu’ils valaient encore quelque chose.

Je verrai assez bien monsieur Macron passer à la télévision, comme il le fait chaque semaine, lui dont la parole devait être « rare » pour nous annoncer, qu’à cause du Covid (ben voyons… !), toutes les obligations françaises déposées dans des assurances vie seront converties en obligations perpétuelles versant du 1.5 % à leurs heureux propriétaires.

C’est donc dire que le but essentiel de tous ces malfaisants va être maintenant de s’attaquer au droit de propriété soubassement ultime des systèmes démocratiques, ce qui implique un certain nombre de conséquences.

  1. Interdiction du cash
  2. Destruction des monnaies pour liquider la dette étatique.
  3. Diabolisation de tous les élus (Orban, Trump, Salvini, Dutertre etc…) n’acceptant pas le « projet » que nos ineptocrates transnationaux ne dissimulent même pas.
  4. Excommunication et mise au pas de tous les intellectuels qui ne pensent pas comme eux.
  5. Fermeture des librairies. Interdiction d’un certain nombre de livres ou d’émissions qui sont brûlés en place publique.
  6. Destruction des commerçants indépendants, qui tendent à soutenir les populistes et le droit de propriété.
  7. Faillite des propriétaires de logements qui seront tous squattés sans vergogne par les représentants de la classe des gens ne produisant rien mais ayant tous les droits.
  8. Instauration d’un salaire versé à tout un chacun dans la population quel que soit ses mérites ou ses efforts.
  9. Euthanasie des vieux dans les maisons de vieillesse (ce qui a bien commencé lors de la crise du covid).
  10. Interdiction des cultes et des rassemblements pour des raisons sanitaires.

Le lecteur remarquera sans effort que toutes ces dispositions, même les plus farfelues sont d’ores et déjà en place.

Ma conclusion est donc toute simple : l’attaque que je sentais arriver depuis des années contre nos libertés fondamentales est lancée et bien lancée et le combat fait rage aux USA entre Trump et la classe des ineptocrates criminels.

Les citoyens américains ont bien de la chance, eux ils peuvent s’armer.

source: https://institutdeslibertes.org/le-grand-reamenagement-reset-ou-le-triomphe-de-lineptocratie/

Le Grand Reset économique, l’arme fatale des mondialistes ? Voici le VRAI Davos !

Tout le monde est partant pour le grand reset, enfin presque tout le monde, il y a un gars qui a le pouvoir de faites quelque chose pour arrêter ça et vous savez exactement de qui je parle, et ils ont fait une erreur qu'ils ont essayé de de mettre Trump de leur côté.

Ils ont invité Donald Trump à Davos, deux fois je crois, mais en janvier, quand Donald Trump a vraiment commencé à voir la bête qui se dressait contre lui, il est allé à Davos, oui au forum économique mondial, et il leur a fait un énorme doigt d'honneur nous nous sommes engagés à préserver la majesté de la création de dieu, et la beauté naturelle de notre monde, mais pour embrasser les possibilités de demain nous devons rejeter les éternels prophètes de malheur, et leurs prédictions de l'apocalypse, ces alarmistes exigent toujours la même chose : le pouvoir absolu de dominer, transformer et contrôler chaque aspect de nos vies, nous ne laisserons jamais les socialistes radicaux détruire notre économie et ruiner notre pays. deux jours après que Donald Trump ait donné ce discours, un gauchiste de 89 ans l'étrange milliardaire George Soros a fait une intervention d'urgence, à Davos une fois de plus, avertissant que les élections américaines de 2020 déterminerait, je cite le sort de notre monde.

Maintenant puisqu'on parle de Davos, jetez un coup d'oeil une fois de plus, c'était un mois après que Dnald Trump s'est adressé à Davos et leur a fait un doigt d'honneur, voici ce que le pape François et l'économiste Jeffrey Sachs ont répondu.

C'est un pays dangereux, en ce moment, il sera absolument dangereux si l'atout Trump est réélu, si Trump est réélu, si Trump est Réélu François a invité ce type au synode sur l'Amazonie en tant qu'invité d'honneur et conseiller, il est aussi conseiller de Bernie Sanders, qu'est-ce que qu'il fait au Vatican, pourquoi ce type qui est un promoteur, pour le socialiste, le socialiste pur et dur Bernier Sanders se retrouve en tant que conseiller pour le pape, pourquoi a-t-il ses accès au Vatican, les gars; Jeffrey Sachs soutient l'avortement et la contraception mais ce n'est pas un problème pour le Vatican.

Pour le Vatican, pour le pape François et pour ses amis à l'ONU, c'est évidemment Donald Trump le problème, Je considère clairement l'administration Trump comme un danger pour le monde, mais tel que je le vois, comme un phénomène purement temporaire, qui disparaîtra en 2020.

Vous comprenez, vous voyez pourquoi il y a tant de haine envers Trump ? Parce que malgré tous ses défauts il est capitaliste il n'est pas mondialiste, il ne sera jamais l'un d'entre eux, c'est pourquoi il a retiré les États-Unis de l'accord de paris sur le climat, Donald Trump a retiré les Etats-unis de l'organisation mondiale de la santé, l'entreprise de Bill Gates, et maintenant il menace de retirer les états-unis de l'organisation mondiale du commerce.

Les gens disent :" oui Donald Trump s'est marié deux fois, c'est vraiment un homme mauvais", il est en train de tenir tête à des démons, personne n'a dit qu'il était saint, il frappe les vaches sacrées des nations unies dans le monde entier en ce moment-même. l'assemblée générale vote couramment à 185 voix contre les états-unis sur presque tout les sujets désormais.

Et vous vous souvenez, puisqu'on parle des nations unies, en novembre 2019, juste avant que le coronavirus arrive, Trump est allé aux Nations unies, à l'assemblée générale, et il a déclaré la guerre au mondialisme, Les dirigeants avisés mettent toujours le bien de leur propre peuple, et de leur propre pays, d'abord, l'avenir n'appartient pas aux mondialistes, l'avenir appartient aux patriotes. peu après le discours que Donald Trump a livré à l'ONU, que s'est-il passé ?

Le coronavirus s'est répandu dans le monde, et l'économie américaine qui était en plein essor, a été mise sous assistance respiratoire, pensez-vous que c'était un accident ? donc quand ils vous disent et qu'ils nous disent à tous, de rester à la maison, de porter un masque, pour que grand-mère ne tombe pas malade, vous devez comprendre ce qi se passe vraiment, ils ne s'intéressent pas à votre grand-mère, ils ne s'occupent pas des personnes âgées, ils ne se soucient pas des bébés, ils veulent les avorter, afin de pouvoir sauver notre société, ils avortent des millions de bébés dans le monde entier , ils ne se soucient pas des bébés, ils ne s...

https://www.youtube.com/watch?v=58MmE1Tir2k

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Rappel: Un site pour les détruire tous !

https://www.youtube.com/watch?v=dWbZW9e2VXI