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La politique monétaire suisse serait-elle vassalisée par l’Allemagne?
Par Liliane Held-Khawam
Le 27 février, la BNS a publié une partie de ses données comptables valables à fin janvier 2015, soit 15 jours après le désarrimage de l’euro. Le total du bilan est passé en un mois de 561 milliards à 558 milliards.
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Merci à Pierre H.
Adopter l’euro n’y ferait rien
Depuis le 15 janvier, la courbe la plus scrutée en Suisse n’est pas celle des cimes enneigées, mais celle du taux de change euro-franc.
En semaine 3 après le «krach» du taux plancher, l’euro semblait trouver la terre ferme à 1,06 franc, et les prévisionnistes voyaient un retour à la raison à 1,10. L’écran de fumée dissipé sur les injections de 1040 milliards d’euros par la Banque centrale européenne et les intentions du parti anti-Europe Syriza en Grèce, on soufflait un peu.
L’innovation, planche de salut
Finalement, l’euro ne sombrerait peut-être pas à 50 centimes, et le franc fort ne condamnerait peut-être pas l’économie suisse à une sanction permanente et définitive.
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Comment la BNS a piégé la Suisse pour adhérer à la zone euro
15 Janvier 2015. Coup de tonnerre sur les places boursières mondiales. La BNS vient de quitter le PEG, son taux-plancher de 1.20 franc suisse pour un euro. Des pertes titanesques -75 milliards- sur ses placements en euro sont devenues d’un coup réalité!
« La BNS est virtuellement en faillite »
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L’euro remonte face au franc suisse
Deux semaines après l'abandon du taux plancher par la BNS, l'euro remonte face au franc.
1,05 franc pour 1 euro. C'est le taux le plus élevé sur le marché des devises depuis l'abandon du taux plancher par la Banque nationale suisse, il y a deux semaine. Le dollar suit la même courbe ascendante.
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Après l’euphorie, l’inquiétude des frontaliers
Franc fort - Les entreprises réfléchissent aux moyens de rester compétitives, notamment par des baisses de salaires ou du chômage partiel.
Après la joie, le doute: alors que les frontaliers travaillant en Suisse ont vu leur pouvoir d'achat bondir de près de 20% mi-janvier avec l'appréciation du franc, certains craignent un retour de bâton avec des conséquences sur leur emploi.
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