Christian Hofer: Suite de l'article publié avec une explication des chiffres.
Évidemment, l'article n'évite pas la bien-pensance, l'OFS prétendant "qu'il n'y a pas de conclusion à tirer" alors que la violence a éclaté avec la venue de certaines ethnies, d'où une destruction de notre sécurité, des agressions sexuelles immondes, une hyperviolence gratuite. Et cela est irréfutable.
Enfin, on ne sait pas dans quel registre sont classés les naturalisés. Or de nombreux migrants ont bénéficié de notre passeport, pour le plus grand bonheur de certains cantons de gauche comme Genève et Vaud ou encore à Zurich.
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L’OFS a considéré deux populations distinctes d’étrangers. Elle s’intéresse d’abord aux personnes résidant en Suisse, et les détenteurs d’un permis B ou C. Dans cette catégorie, il apparaît qu’en chiffres absolus ce sont les Suisses qui sont le plus souvent condamnés, de par la loi du nombre. C’est pourquoi les statisticiens ont calculé un «taux de condamnation» par rapport à l’ensemble du groupe des Suisses, qui est de 2,7 condamnations pour 1000 habitants. Pour certaines nationalités, l’OFS a regroupé les ressortissants par régions. Par exemple, pour l’Afrique méridionale occidentale, ses ressortissants ont été condamnés 61 fois, mais leur taux de condamnation atteint le record avec 32,8‰.
L’OFS a aussi regroupé les ressortissants de l’ex-Yougoslavie dans une même catégorie qui cumule 2064 condamnations avec un taux de 8,9‰. Dans une seconde statistique, l’OFS s’est penché sur les condamnations qui ont frappé les étrangers sans statut de résident. Pour eux, le taux des personnes en délicatesse avec la loi sur les étrangers est évidemment très élevé, autour des 90%.
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