GUERRE CIVILE ? Une enseignante française témoigne

Nos lecteurs nous prient de publier :

Ceux qui ne voient pas une guerre civile d'ici 20 ans sont des naïfs, car un beau jour on ne pourra pas éviter de faire respecter l'ordre par la force...

 France : une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans en 2017 :

Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.
J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6ème à la 3ème) plus de 4.000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.

 Vous prétendez que les populations des banlieues sont « mises au garage dès le collège et le lycée » ?
Que « le socle d’une société épanouie est l’éducation » et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays ?
 Quelle vaste blague ! Non : quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité !
Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)
 Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3ème, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles ?
 Le français est pour eux une « langue étrangère » , la langue des « mécréants » comme ils aiment à me le répéter.
Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant « génération sacrifiée » :
Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).
 Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100.000 euros - un dans chaque classe -, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’Etat car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires ( musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif ) etc, etc, etc… Je continue ?
 Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.
Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est « le bled ». Leur seul désir : imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus : ils le revendiquent comme une fierté.
 Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration. Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.
La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.
 J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre : propos haineux à l’égard des français, des juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’Etat islamique et de la charia.Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les « sous-chiens » et les « faces de craie » comme ils nous appellent.
 Renvoyons les dans leur pays d’origine. Si vous aimez le vôtre …
 Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié.
M. F. (nom connu de la rédaction)

 

Un prof de lycée américain fait scandale en mimant l’assassinat de Trump dans sa classe

 

La vidéo de Madame Payal Modi tirant avec un pistolet à eau sur l'image du président américain lors de la retransmission de son investiture est devenue virale après que l'enseignante l'ait postée sur Instagram.

On entend un rire en arrière-plan durant la vidéo de huit secondes, même si on ne sait pas si les enfants étaient dans la salle de classe de l'école de Dallas, au Texas à ce moment.

Les responsables de l'éducation ont lancé une enquête après que des copies de la vidéo aient été regardées et retweetées des milliers de fois sur YouTube et Twitter.

Le clip a suscité la colère parmi certains utilisateurs des médias sociaux, qui ont appelé au licenciement de Modi.

Mais d'autres ont défendu l'enseignante, l'un d'entre eux déclarant: "C'est un pistolet à eau... c'est évidemment une plaisanterie."

L'établissement scolaire du district de Dallas a déclaré à Dallas News dans un communiqué: «Aujourd'hui, nous avons été mis au courant d'un message circulant sur les réseaux sociaux impliquant un enseignant de la W. H. Adamson High School.

«Le professeur a été placé en congé administratif et le district a ouvert une enquête. Il s'agit d'une question relative au personnel et, en tant que telle, nous ne pouvons pas commenter."

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch