Une richesse pour la France, vraiment ?

En France, l'éducation Nationale serait l'administration dont rêve l'Europe, le Monde entier. Nous aurions, dit-on dans les médias, une immigration qui serait la richesse de la France. C'est totalement faux et voici pourquoi ?

Il suffit d'aller sur quelques sites communautaristes pour réaliser que cette richesse de la France est un véritable désespoir. De comprendre que notre  République a laissé grandir en son sein, un désastre culturel. Des femmes et des hommes musulmans sont complètement lessivés intellectuellement par une culture islamique qui les rends schizophrènes et inaptes à note vision du monde occidental.

Dans les exemples qui suivent, on peut constater que non seulement le niveau de Français est déplorable malgré que ces femmes soient nées en France pour la plupart, mais que la logique et la cohérence sont absentes de leurs réflexions. Voilà des femmes et à travers elles, des hommes qui sont dit-on, cette richesse de la France : incultes, effrayés, superstitieux, et vivant dans un monde effarant ou le pire du religieux, côtoient le ridicule de la croyance. Ce sont des moineaux dans une cage, et les religieux ne sont là que pour assurer leur pouvoir et leur donner leurs graines empoisonnées.

On peut prendre conscience dans ces extraits, que ces femmes n'ont même pas de culture approfondie sur l'islam et ignorent tout du Coran. Sinon, elles seraient apostates, et libres ! Aucune ne comprend que les hommes peuvent les battre, (Sourate 4 verset 34), qu'ils peuvent mentir aussi, et qu'ils peuvent avoir plusieurs femmes. Elles se liquéfient devant des situations que n'importe quelle autre femme, ayant une idée de la réalité, traiterait d'une manière logique et cohérente en tant que femme libre et égale à l'homme. Ces femmes musulmanes sont des handicapées de la vie sociale en France et en Europe. Elles sont les victimes d'une vision religieuse qui les rend totalement ineptes à la vie normale d'une femme en occident, incapables de raison et terrifiées de la peur du jugement dernier, et des peurs venues du fond de leur éducation familiale islamique.

L'éducation Nationale, en refusant de prendre en compte les peurs, et les dégâts de l'éducation islamique dans les familles, est aussi responsable de ces dégâts.

La France, en refusant de mettre à niveau les femmes nouvellement arrivées sur notre territoire, à travers le regroupement familial, les mariages, par une vérification de leur niveau culturel, de leur niveau de Français, de leur niveau de connaissance de notre culture millénaire, de notre combat pour l'égalité des sexes, et par un suivi dans le temps, a fait que nous hébergeons des bombes à retardement, et qui explique ces familles incapables de faire de leurs enfants, des adaptés sociaux, à défaut d'être intégrés et encore moins assimilés ! Je fais bien la différence entre ces femmes, et ces hommes, musulmans de naissance et l'islam. Entre l'individu, et cet enseignement religieux et traditionnel qui les a formaté. Il faut beaucoup de force de caractère à apostat pour sortir du carcan islamique, et ainsi pouvoir voler de ses propres ailes.

Les élus, Présidents, Députés, Sénateurs et autres Maires et Conseillers, sont responsables de ce gâchis. Les politiques de la ville n'ont servi à rien. L'éducation nationale a abaissé les niveaux de tous, plutôt que de libérer les enfants de leurs peurs ! Les assistants sociaux ont démissionné de leurs responsabilités concernant le suivi des familles. Tous ces acteurs ont, depuis 40 ans, laissé croître un cancer, laissé propager une gangrène. Ils ont laissé à l'islamisme le terrain d'une pseudo éducation. Ils ont permis à ces islamistes de propager la haine du chrétien, du juif, et la peur de l'autre, l'étranger, le Français, celui chez lequel pourtant, ils vivent !

La France est victime de ces politiciens qui n'ont jamais voulu prendre leurs responsabilités.

Nous sommes désormais en face d'une multitude de "nés Français" qui se vivent comme des étrangers, fiers de leur origines, alors mêmes que ce sont ces origines, à base religieuse et familiale, qui les enferment dans une prison culturelle, et les détruit à petits feux.

En lisant les propos qui suivent, vous ne pourrez que basculer entre le rire et les larmes, et surtout réaliser que nous ne sommes pas sortis de cette situation catastrophique que nous ont léguée les Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande ! Il est à craindre hélas, que nous en avons pris pour cinq ans supplémentaires avec Macron.

Gérard Brazon

https://www.facebook.com/pg/ConfidencesEntreFemmesSeulement/posts/ 

Ano pour anonyme! Elles ont encore un peu de conscience tout de même.

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Là en Français, c'est le pompon! Beau frère, pour bofrer, frère pour frer, et je vous passe les fautes de grammaire. Merci L'éducation nationale !

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Et il y a des tonnes de demandes sur tous les sites islamiques qui démontrent que les musulmans sont totalement hors jeu dans les sociétés occidentales. Ils sont pétris de peurs les plus folles les unes que les autres.

 

 

Al-Andalous: l’opération de propagande islamique de l’Education nationale française

Comme dans Al-Andalous, l’Espagne conquise par les Musulmans au Moyen-Âge, ne serions-nous pas infiniment plus heureux si la France était dominée par l’Islam et si les Chrétiens étaient mis en minorité? Notre civilisation serait bien plus florissante, bien moins violente, et notre économie beaucoup plus prospère. Tel est le discours en creux que l’Éducation nationale transmet aux élèves que des parents inconscients lui confient, abandonnant ainsi toute référence à une démarche scientifique pour transformer les cours d’histoire en propagande bien huilée.

(...)

L’académie de Toulouse et la nostalgie du califat

Pour illustrer les dégâts de la propagande relativiste, je prends au hasard le site de l’académie de Toulouse, qui propose des contenus pédagogiques, dont un consacré à Al-Andalous. On y lit un certain nombre d’assertions hallucinantes. En voici un florilège.

C’est avant tout par l’Espagne que sont passés les grands courants de civilisation entre l’Orient et l’Occident et qu’ont été transmis les fondements de la culture grecque et les apports scientifiques des Arabes, issus de leurs relations avec l’Inde et la Perse et de leurs propres recherches. (…)

Source et suite de l'article

Rappel: France. Baccalauréat : les musulmans pourront être convoqués après l’Aïd el-Fit

Le catéchisme socialiste de l’« éducation nationale »

 

Tour de vis totalitaire et socialiste en France

Dans un document de 17 pages présenté le 22 janvier 2015, intitulé « Grande mobilisation pour l’école : pour les valeurs de la République » sont énumérées les mesures présentées en urgence et dans la précipitation par Najat Vallaud-Belkacem et Manuel Valls pour mobiliser l’école en faveur des « valeurs » de la République. Cette République, attaquée par « des islamistes qui n’ont rien à voir avec l’islam », est en péril : c’est elle qui a nourri, éduqué et blanchi ces mêmes terroristes. La mobilisation est donc de mise. Pour sûr, ce document ne changera absolument rien, mais constitue un des fer de lance du tour de vis totalitaire que va prendre la République socialiste sous l’injonction de Manuel Valls. Car l’école républicaine, disait Vincent Peillon, « est aussi un instrument de l’action politique républicaine et socialiste » (La Révolution Française n’est pas terminée, p. 193).

Deux leitmotiv : la laïcité et le « combat contre le racisme »

La laïcité, dit Najat Vallaud-Belkacem, « est au fondement de l’école parce qu’elle distingue le savoir du croire, qu’elle trans- forme l’enfant en élève, permettant de dépasser les spécificités individuelles, les parcours personnels et familiaux, pour créer un “nous“ commun et républicain ». J’insiste sur l’expression « créer un “nous“ commun et républicain. » On retrouve le terme de « créer », expression théologique par excellence, qui ne s’applique, rigoureusement, qu’à Dieu. À moins que la République n’ai remplacé Dieu, évidemment. Le « nous » est « commun » (tautologie idiote), mais surtout « républicain ». C’est exactement ce que j’appelais, en 2012, la « ligne Buisson de la laïcité » (en référence à Ferdinand Buisson (1841-1932), grand acteur de gauche dans l’expropriation des églises) : ligne laïciste dure, extrême, construite en opposition radicale aux religions et à l’histoire de France. « La religion, ici, c’est la République, comme la foi, ici, porte sur la laïcité », écrivait Vincent Peillon (La Révolution Française n’est pas terminée, p. 188).


Le combat contre le racisme.
Najat a intégré dans les programmes scolaires, « de manière transversale, les problématiques de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et toutes les formes de discriminations, les notions de droits et de devoirs, le principe de laïcité ». Une manière d’arroser les amis (SOS-racisme, MRAP, etc.) et de noyer les enfants sous leur charabia idéologique. L’AGRIF (qui défend l’identité Française et lutte contre le racisme anti-français et anti-chrétien) n’a toujours pas été contactée… Il faut dire que peu de ses équipes sont encartés au Parti socialiste, ce qui semble être une condition sine qua non.

Laïcité et antiracisme, voilà les deux mesures phares de ce document à destination des acteurs de l’éducation nationale (ceux qui vivent en dehors de la Bête, entendez : qui enseignent à la maison, auront le droit «  à des contrôles renforcés »). Mais ce n’est pas tout. Il faut, comme pour toute religion, une ritualité et une solennité. Aussi lit-on que « Les rites républicains seront valorisés : le rétablissement de l’autorité des maîtres passe par la compréhension et la célébration des rites et symboles de la République ; les projets d’école et d’établissement comporteront des actions relatives à la formation du citoyen et à la promotion de ces valeurs ».

On trouve également le retour de l’ « ordre moral républicain » (comme le note Michel Janva du Salon Beige, cela fait bien peu Mai 68) : « Un parcours citoyen de l’école élémentaire à la terminale : il s’articulera notamment autour de l’enseignement moral et civique, de l’éducation aux médias et à l’information, de la participation des élèves à la vie sociale de l’établissement et de la Journée défense et citoyenneté ». L’ « enseignement moral et civique », on sait ce qu’il en coûte. Par moral, sous leur plume, entendez évidemment « morale socialiste » : il ne s’agit pas de scruter son âme pour y découvrir les principes naturels et universels de la vie bonne, mais il s’agit d’incarner enfin l’idéologie socialiste dans l’âme des petits Français. Vincent Peillon était beaucoup plus clair : « C’est au socialisme qu’il va revenir d’incarner la révolution religieuse dont l’humanité a besoin. » (La Révolution Française n’est pas terminée, p. 195).

Bref, tout ce qui est présenté dans le document républicain est très flou, inconsistant et impraticable. L’enseignant, pris sous ces injonctions théologiques, ne peut plus que se soumettre à la Bête et à accepter les interventions des ayattholas antiracistes et laïcistes, des « référents laïcité » (corps de métier constitué pour l’occasion) et des « proviseurs vie scolaire », qui seront soigneusement choisis dans les rangs de la gauche. Le flou permet justement la manipulation.

Et si vous n’êtes pas un bon républicain, il vous en coûtera cher : « Les comportements mettant en cause les valeurs de la République traités : ils seront systématiquement signalés au directeur d’école ou au chef d’établissement et seront suivis d’un dialogue éducatif avec les parents et, le cas échéant, d’une sanction disciplinaire ».

Ce qui me permet de conclure avec un autre catéchisme :

« De nombreux martyrs sont morts pour ne pas adorer "la Bête" (cf. Ap 13-14), en refusant même d’en simuler le culte. » (Catéchisme de l’Église catholique, 2113)

 

Pour aller plus loin :

- Vivien Hoch, Vincent Peillon, prophète d’une religion laïque, CERU, 2012
- Thibaud Collin, Sur la morale de Monsieur Peillon, Salvator, 2013

Éducation nationale : lire, une « habitude élitiste »

Ce lundi matin, un professeur (d'ailleurs on dit une professeure si l'on ne veut pas se rendre complice du « système oppressif contre la femme »), poste le texte suivant sur son compte Facebook :

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Sa directrice d'établissement convoque donc ce professeur des écoles, pour lui dire qu'il est intolérable que les enfants « lisent beaucoup trop », parce que cela pousse les enfants « à adopter une attitude élitiste ». L'histoire de cette convocation, qui commence à se répandre sur le Web (ici un article sur Slate), veut dire beaucoup de chose de la machine « éducation nationale » en France, gangrénée à tous les niveaux par l'ultra-gauche qui rêve de déconstruire par tous les moyens le « vieux monde bourgeois » (celui dans lequel les enfants osaient apprendre à lire, par exemple) pour le remplacer par le monde égalitaire, égaylitaire, où tout le monde se ressemble dans la même nullité.

Pour nos « élites » nourries par l'argent public et chargées par des organismes étatiques opaques et endogames, de réfléchir aux différentes manières d'imposer une déconstruction générale du vieux monde "bourgeois",  la lecture est une reproduction sociale et bourgeoise (un exemple d'étude sociologique ici). Comprenez que si un enfant se met à lire, alors que ses camarades ne lisent pas, ou ne veulent pas lire, il adopte d'emblée une position de domination intellectuelle intolérable.  Lire, c'est donc continuer la domination de la bourgeoisie sur les classes prolétaires ; de même que demander à l'immigré musulman de s'intégrer à la société, c'est entretenir la domination de l'Église en Occident. Pour eux, on est toujours pris dans la vieille dialectique marxiste : opprimés/oppresseurs, exploités/exploiteurs, prolétaires/bourgeois, etc.

De tels propos ne sont pas si rares dans le système éducatif. Les exemples sont multiples. C'est par l'endoctrinement des enfants que les socialistes/communistes rêvent de changer la société. C'est pourquoi tous les efforts sont portés vers l'école - ABCD de l'égalité, ligne Azur, Charte de la laïcité, scolarisation précoce des enfants, rabotage de l'histoire de France, etc.. Le vieux monde communiste gangrène encore trop l'Éducation Nationale.