La prochaine fois que l'on accuse les supporters de Trump de violences souvenez-vous de cette vidéo
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«C'était la Nuit de cristal ici même aux Etats-Unis» : dans une vidéo très relayée sur Twitter, l'ancien gouverneur de Californie n'a pas hésité à comparer l'intrusion au Capitole de Washington au pogrom contre les juifs dans l'Allemagne nazie.
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L'ancien acteur n'a pas hésité à dresser un parallèle historique entre cet événement et les agissements des nazis au XXe siècle. «Mercredi, c'était la Nuit de cristal ici même aux Etats-Unis», a-t-il ainsi déclaré, rappelant que la Reichskristallnacht, nuit de déchaînement contre les juifs en 1938, avait été effectuée selon lui par «l'équivalent nazi des Proud Boys», en référence à un mouvement de la droite américaine, majoritairement pro-Trump, revendiquant la défense des valeurs occidentales.
My message to my fellow Americans and friends around the world following this week's attack on the Capitol. pic.twitter.com/blOy35LWJ5
— Arnold (@Schwarzenegger) January 10, 2021
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L'ultimatum est lancé. Dans un long article intitulé «Pourquoi nous tenons responsables ceux qui ont menti pour Trump» , le directeur de la rédaction du magazine américain Forbes a lancé un avertissement à toutes les entreprises qui embaucheront les anciens conseillers de Donald Trump.
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Dans le viseur du puissant journaliste américain ? Sean Spicer, Kellyanne Elizabeth Conway, Sarah Huckabee Sanders, Stephanie Grisham et Kayleigh McEnany, tous anciens conseillers de Donald Trump qui, pour Randall Lane, se sont rendus coupables d'avoir aidé à diffuser les «mensonges» du président américain pendant quatre ans.
Un comportement jugé irresponsable par la rédaction de Forbes, qui a donc pris cette décision inédite et irrévocable : «Que ce soit clair pour les entreprises : Embauchez un de ces fabulistes cités plus haut, et Forbes considérera que tout ce que votre entreprise relaiera est un mensonge. Nous allons scruter, vérifier et revérifier, investiguer avec le même scepticisme que lorsque nous lisons un tweet de Trump. Vous voulez vous assurer que le plus puissant magazine économique du monde vous considère comme une potentielle source de désinformation ? Embauchez ces personnes.»
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Après Facebook, c’est Twitter qui a décidé de bannir Donald Trump de sa plateforme. Le compte de l’ancien président des États-Unis n’est donc plus accessible pour éviter l’incitation à la haine, quelques jours après les incidents du Capitole. Il s’agit “clairement de censure” pour le spécialiste des réseaux sociaux et enseignant à Sciences Po Paris, Fabrice Epelboin. […]
Il y a “un risque d’incitation à la violence”, justifie Twitter. Cet argument est-il vraiment recevable, selon vous ?
C’est très problématique, parce que c’est exactement le même argument utilisé par les autorités chinoises vis-à-vis de ce qui se passe à Hong-Kong. C’est le même argument utilisé par tout un tas de régimes autoritaires vis-à-vis des réseaux sociaux. […]
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L’étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres: Twitter, sa plateforme de prédilection, a suspendu son compte de façon permanente vendredi, deux jours après les émeutes de ses partisans qui ont envahi le Capitole pendant plusieurs heures.
« Après examen approfondi des tweets récents de @realDonaldTrump et du contexte actuel - notamment comment ils sont interprétés (...) - nous avons suspendu le compte indéfiniment à cause du risque de nouvelles incitations à la violence » de la part du président américain sortant, a expliqué l’entreprise dans un communiqué.
After close review of recent Tweets from the @realDonaldTrump account and the context around them we have permanently suspended the account due to the risk of further incitement of violence.https://t.co/CBpE1I6j8Y
— Twitter Safety (@TwitterSafety) January 8, 2021
Jeudi, Facebook et d’autres services comme Snapchat ou Twitch ont aussi suspendu le profil du locataire de la Maison-Blanche pour une durée indéterminée.
Mais Twitter compte plus que les autres pour Donald Trump, il y avait plus de 88 millions d’abonnés.
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Dans un long communiqué, l’épouse de Barack Obama a réagi aux récents événements du Capitole et appelé Facebook et Twitter à radier le président sortant de leur plateforme.
Prétextant un « comportement monstrueux », l’épouse de Barack Obama a ainsi enjoint les « compagnies de la Silicon Valley à aller encore plus loin que les mesures qu’elles avaient déjà prises, en bannissant de façon permanente cet homme de leur plateforme ». Ceci dans le but d’« empêcher que leur technologie ne soit utilisée par les dirigeants du pays pour alimenter l’insurrection ».
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Rappels :
Pour la première fois, Twitter, Facebook et YouTube ont pris la décision de censurer le président des Etats-Unis. Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, est même allé plus loin ce mercredi en annonçant la suspension du compte de Donald Trump « indéfiniment et au moins pour les deux prochaines semaines ».
Les dirigeants de ces réseaux sociaux ont pris la décision de suspendre le président au motif que ce dernier a enfreint leurs règles, affirment-ils. Mais ce choix n'est-il pas également l'effet d'une pression populaire, alors que de nombreux internautes leur ont reproché d'avoir permis l'organisation en amont, puis la diffusion en direct, de l'invasion du Capitole? Décryptage.
Entre Donald Trump et Twitter, c'est je t'aime moi non plus depuis de longs mois. Le président américain, qui a fait du réseau social son canal de prédilection et en est l'une des personnalités les plus suivies avec quelque 88 millions d'abonnés, a pourtant fustigé à de nombreuses reprises la politique de Twitter, qu'il considère trop injuste à l'égard des conservateurs.
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Rappels :
Il surpasse l’ancien dirigeant démocrate qui occupait la première place depuis 12 ans
Donald Trump est l'homme le plus admiré des Etats-Unis devant Barack Obama, selon l'institut Gallup qui a dévoilé mercredi son 74ème sondage annuel sur les personnalités les plus admirées aux Etats-Unis.
18% des sondés l'ont placé en première ou seconde position ce qui représente le meilleur score de cette enquête. Donald Trump arrive juste devant son prédécesseur Barack Obama, qui occupait la tête du classement depuis douze ans.
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Des représentants républicains qui présentent leurs propres électeurs lors du Collège électoral, un décret de 2018 contre l'ingérence extérieure : les options de Donald Trump, qui refuse de concéder, s'amenuisent mais existent encore. «Nous avons juste commencé à nous battre !» : le président américain l'avait annoncé le 12 décembre, après le rejet par la Cour Suprême du recours présenté par l'Etat du Texas, il n'entend pas concéder.
Et ce n'est pas le vote du Collège électoral en faveur de Joe Biden le 14 décembre qui devrait faire évoluer sa position, quand bien même le chef de la majorité républicaine au Sénat américain Mitch McConnell a reconnu la victoire du démocrate.
L'équipe juridique du chef d'Etat l'a dit à de nombreuses reprises : estimant que le scrutin a été marqué par une fraude de grande ampleur (ce que nie son rival), elle entend contester le résultat de l'élection jusqu'au bout, à savoir la date butoir du 6 janvier. C'est en effet à cette date que le Congrès se réunira pour ouvrir et comptabiliser officiellement les votes du Collège électoral sous l'autorité du vice-président Mike Pence.
Or, dans cette élection décidément chaotique, un événement singulier s'est produit le 14 décembre : les représentants républicains de sept Etats (l'Arizona, la Pennsylvanie, le Michigan, la Géorgie, le Wisconsin, le Nouveau Mexique et le Nevada) ont envoyé leurs propres grands électeurs lors du Collège électoral.
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I have been doing this. I agree! https://t.co/1YTTGwxlxx
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) December 12, 2020
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YouTube va supprimer à partir d'aujourd'hui tout contenu affirmant qu'une "fraude massive ou des erreurs" ont modifié l'issue de l'élection présidentielle américaine du 3 novembre, a annoncé le géant du streaming vidéo.
YouTube va supprimer à partir d'aujourd'hui tout contenu affirmant qu'une "fraude massive ou des erreurs" ont modifié l'issue de l'élection présidentielle américaine du 3 novembre, a annoncé le géant du streaming vidéo #AFP pic.twitter.com/pw3wRFekL8
— Agence France-Presse (@afpfr) December 9, 2020
Les détracteurs de YouTube réclament depuis longtemps que l'entreprise cesse d'héberger des vidéos de désinformation destinées à saper la confiance dans les résultats des élections. «Suffisamment d'États ont certifié leurs résultats électoraux pour déterminer un président élu. Pour cette raison, nous commencerons à retirer tout contenu publié aujourd'hui (ou à n'importe quel moment après) qui induit en erreur les gens en affirmant qu'une fraude massive ou des erreurs ont modifié l'issue de l'élection présidentielle américaine de 2020», a affirmé YouTube dans un billet publié ce mercredi sur son blog. L'entreprise californienne précise que cette politique est conforme à celle qu'elle appliquait lors des élections américaines précédentes.
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"Ce discours sera probablement le plus important que j'ai tenu": Trump s'adresse aux Américains dans une vidéo.
Donald Trump n'a pas l'intention de rendre les armes. Alors qu'il a donné son feu vert à la transition le 23 novembre, l'actuel locataire de la Maison-Blanche a réitéré son désir de lever le voile sur ce qu'il considère être l'élection " la plus frauduleuse de l'histoire des Etats-Unis". Dans un discours qu'il a caractérisé comme étant potentiellement " le plus important qu'il ait délivré", il a fait le point sur son combat judiciaire pour dénoncer les fraudes électorales et les irrégularités" qui ont eu cours lors de la présidentielle américaine. " Il s'est passé de très mauvaises choses durant cette ridiculement longue période de temps", a lancé le président américain à l'entame de son speech, pointant du doigt le fait que l'élection ne se résume désormais plus à une seule journée.
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A lire également :
Des affrontements ont éclaté dans les rues de Washington, la capitale des États-Unis, ce samedi 14 novembre, après la gigantesque manifestation des militants favorables à Donal Trump. Des petits groupes d’ultra gauche s’en sont pris aux partisans du président des États-Unis qui conteste toujours sa défaite face à Joe Biden la semaine dernière.
This is horrific. Trump supporters are being assaulted by Black Lives Matter activists and Antifa in DC.
Thanks to @stillgray pic.twitter.com/fFHztDF84A
— IceWind (@IceWind86585905) November 15, 2020
Antifa and BLM members attack people who are eating dinner near BLM Plaza. They threw projectiles and a large firework. pic.twitter.com/w96nbZaJ8F
— Julio Rosas (@Julio_Rosas11) November 14, 2020
A older Trump supporter on a bicycle was knocked down and had liquid dumped on him by BLM-antifa rioters in DC. pic.twitter.com/juPwidaO8y
— Andy Ngô (@MrAndyNgo) November 15, 2020
Brutal assault by a violent armed group who was later arrested for assault and illegal weapon (firearms and concealed knives) charges. pic.twitter.com/vuj2Hn6hj5
— Kalen From Scriberr (@FromKalen) November 14, 2020
BLM groups threaten elderly couple and attempts to steal their Trump Flag #MillionMAGAMarch pic.twitter.com/1kIYO2mg4e
— Jorge Ventura Media (@VenturaReport) November 14, 2020
Antifa militants harass and assault a family of Trump supporters including children. pic.twitter.com/MuN8Jfb9HB
— Ian Miles Cheong (@stillgray) November 14, 2020
At BLM plaza where Trump supporters are being ran out by BLM and ANTIFA members.
Right before I started rolling they grabbed this woman’s hair and stole her American flag.
Trump supporters are either being escorted out by police or attacked by a mob pic.twitter.com/WObSZ44lQW
— Savanah Hernandez (@sav_says_) November 14, 2020
Les antifas pro-Biden s’attaquent à une mère et ses enfants qui reviennent de la manif pro-Trump à #Washington pic.twitter.com/Y7YpvjlcgI
— Damien Rieu (@DamienRieu) November 14, 2020
Les antifas pro-Biden s’attaquent à une mère et ses enfants qui reviennent de la manif pro-Trump à #Washington pic.twitter.com/Y7YpvjlcgI
— Damien Rieu (@DamienRieu) November 14, 2020
Countless assaults in DC. This is out of control. pic.twitter.com/YD0b7ULZpj
— Henry Rodgers (@henryrodgersdc) November 15, 2020
DC: Hundreds of Antifa and BLM have swarmed “The Capital Hilton” hotel on an effort to intimidate Trump Supporters occulting the building
Lasers are being pointed at the attendees rooms pic.twitter.com/oCXP8VBCUs
— Drew Hernandez (@livesmattershow) November 14, 2020
DC: A man was physically assaulted in front of Union Station
His face is bloodied from the physical assault pic.twitter.com/Dxz2BS1ytB
— Drew Hernandez (@livesmattershow) November 14, 2020
This is giant. Hundreds of Proud Boys and supporters marching on the streets of DC chanting “FUCK ANTIFA” two hours ahead of the #MillionMAGAMarch. pic.twitter.com/KfZpEq7KYE
— Ford Fischer (@FordFischer) November 14, 2020
EN IMAGES – Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des «Proud Boys», se sont rassemblés dans la capitale samedi 14 novembre pour contester la défaite de leur candidat.
Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des groupuscules de droite, ont afflué dans les rues de Washington ce samedi 14 novembre, plusieurs jours après la défaite de leur candidat aux élections présidentielles. L’objectif ? Soutenir la théorie d’une éventuelle fraude défendue par le président sortant.
Malgré l’absence de preuve d’un piratage du scrutin, confirmée par les autorités électorales, les manifestants ont crié «Quatre ans de plus! Quatre ans de plus!» et «USA! USA!» devant Freedom Plaza, tout en agitant des drapeaux «Trump 2020» et des panneaux «Halte au vol».
👋 Comme promis, #DonaldTrump est passé à la « Marche pour Trump ».#Election2020 #MarchForTrump pic.twitter.com/leLa6TsTXw
— INSIDE USA 🇺🇸 (@Inside_US4) November 14, 2020
11/14/2020 - Washington, D.C.#MarchForTrump #MAGA🇺🇸🦅 pic.twitter.com/07KbzbjZvf
— Dan Scavino🇺🇸🦅 (@DanScavino) November 14, 2020
(...)
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Quatre ans après avoir signé la désormais célèbre lettre “Never Trump” condamnant le candidat à la présidence Donald Trump comme un danger pour l’Amérique, le diplomate à la retraite Jim Jeffrey recommande au nouveau gouvernement Biden de poursuivre la politique étrangère menée par Trump au Moyen-Orient.
Mais même s’il loue le président pour ce qu’il décrit comme une approche réussie de “realpolitik” dans la région, il reconnaît que son équipe a régulièrement induit en erreur les hauts dirigeants sur le nombre de troupes en Syrie.
“Nous avions toujours des tours de passe-passe pour ne pas laisser nos dirigeants comprendre combien de troupes nous avions là-bas”, a déclaré Jeffrey dans une interview. Le nombre réel de troupes dans le nord-est de la Syrie est “bien plus important que” les quelque deux cents soldats que Trump avait initialement accepté de laisser là-bas en 2019.
[…]
Officiellement, Trump a accepté l’année dernière de maintenir plusieurs centaines de troupes américaines – entre 200 et 400, selon diverses informations de l’époque – stationnées dans le nord-est de la Syrie pour “sécuriser” les champs de pétrole détenus par les alliés kurdes des Etats-Unis dans la lutte contre l’ISIS. Il est généralement admis que le nombre réel est plus élevé que cela – des fonctionnaires anonymes estiment le nombre à environ 900 aujourd’hui – mais le chiffre précis est classifié et reste inconnu, même semble-t-il à des membres de l’administration Trump désireux de mettre fin à ce qui est qualifié de “guerres éternelles”.
Alors qu’il quitte à nouveau la fonction publique, Jeffrey ne se moque pas pour autant du président qui divise.
La décision de 2018 de l’ambassadeur de carrière de servir dans l’administration Trump malgré son opposition politique au président – et de défendre ses politiques sur le chemin du départ – est à l’image d’un fonctionnaire décrit par ses collègues comme le parfait fonctionnaire apolitique. Jeffrey n’émet aucune polémique sur le caractère du président, même s’il affirme qu’il maintient sa décision de signer la lettre ouverte de 2016 qui dit que Trump est “erratique” et “agit avec impétuosité”.
[…]
Jeffrey pense que Trump a atteint une sorte d’ “équilibre” politique et militaire dans un certain nombre de conflits froids et chauds différents, produisant une situation qui est à peu près la meilleure qu’une administration puisse espérer dans une région aussi désordonnée et volatile.
[…]
“Personne, parmi tous nos alliés [au Moyen-Orient]”, ne veut vraiment voir partir le président Trump a-t-il déclaré. “La vérité est que le président Trump et sa politique sont très populaires parmi tous nos États populaires dans la région. Citez-moi un pays qui ne soit pas heureux”.
Interrogé sur la manière dont il conseillerait l’administration Biden lorsqu’elle reprendra son portefeuille, Jeffrey a déclaré qu’il exhorterait le président élu à maintenir le cap fixé par l’équipe Trump. Certaines choses que l’équipe de M. Biden pourrait vouloir défaire – comme le démantèlement de l’accord nucléaire avec l’Iran – pourraient maintenant être infaisables, selon lui. Mais surtout, n’essayez pas de “transformation”. N’essayez pas de “transformer la Syrie en Danemark”. L’équilibre, c’est la stabilité.
“Je pense que l’équilibre que nous avons créé est un pas en avant et je le préconise”, a déclaré Jeffrey.
“Je vous dis simplement la réalité telle que je l’ai vue. Je n’essaie pas de faire des faveurs à qui que ce soit. Parce qu’il est très important que quand la nouvelle équipe arrive, elle ne se dise pas, si ça a été fait par Trump, c’est que c’est mauvais”.
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[La scène se déroule avant que les médias ne déclarent Joe Biden gagnant de l’élection]
L'excuse prétextant qu'avec la gauche il n'y a plus de violences n'a jamais été aussi fausse.
Thanks to @Lukewearechange
“Asking people to be peaceful is white supremacy“@ValentiniBack
@ChWilhouCH
@Samanth81386879
@DanyRiviera pic.twitter.com/QlhYMnrNSO— IceWind (@IceWind86585905) November 9, 2020
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Autres scènes "pacifiques" de la part des gentils militants de gauche :
Gli effetti collaterali della metanfetamina spiegati in 60 secondi. #Trump #RadioSavana
Thanks to @RadioSavana and @BobbiaOdille pic.twitter.com/67NuZ47VII
— IceWind (@IceWind86585905) November 9, 2020
Tollerant Left beating up a life-size doll of #Trump With Baseball Bats... 👇
Thanks to @based_belgium and @ChWilhouCH pic.twitter.com/AKHHxm3JR9
— IceWind (@IceWind86585905) November 9, 2020
Note : Pendant ce temps, nos médias "impartiaux" incitent la population romande à se moquer de Donald Trump et de ses partisans à la moindre occasion tout en cachant les exactions violentes des Républicains.
Il est visiblement important d'être du même côté que la famille Soros :
We just elected the first African-American, South Asian and female Vice President in @kamalaharris! This is a historic moment, but to everyone highlighting the critical role of the black community, particularly the role of black women, in this election... pic.twitter.com/imcOXpbstP
— Alexander Soros, PhD (@AlexanderSoros) November 7, 2020
Sitôt la victoire en Pennsylvanie de Joe Biden annoncée samedi en fin de matinée, et donc son élection à la présidence, une foule en liesse s’est réunie face à l’Hôtel de Ville et au Convention Center de Philadelphie, où les bulletins étaient dépouillés.
[...]
John me demande ce que j’ai pensé de cette élection. Ses yeux semblent fatigués par la journée festive et arrosée, comme pour des milliers de personnes en ce jour où Joe Biden a été annoncé élu à la présidence des États-Unis. «Il y a beaucoup d’espoir dans cette élection, mais il y aura aussi sûrement des déceptions par la suite», admettent-ils, lucides. John déclare alors: «Ce qui est sûr, c’est que si Trump avait gagné aujourd’hui, Philadelphie serait en feu ce soir.»
[...]
« Ça a été quatre ans de souffrances, c’est un homme odieux, vraiment odieux, Je suis si heureuse qu’il s’en aille, même si maintenant on va devoir se soucier de tous les gens qui ont voté pour lui, car eux sont toujours là », dit Jacqueline Brown, 58 ans, professeure d’université venue à vélo rejoindre la foule à Columbus Circle.
« Je suis submergé par la joie, dit aussi Bernie Jacobs, 84 ans, qui prenait ses bagels et son café à côté de la Trump Tower. Tous les matins, on vient ici et on critique Trump, ça durait depuis quatre ans, c’était trop. On le détestait dès le premier jour où il est arrivé au pouvoir (…). Il a été un président de rien du tout, avec un ego surdimensionné et zéro talent. »
Emmi Braselton, 37 ans, graphiste indépendante d’Atlanta, se promène avec sa fille Sylvie, âgée de 2 ans, qui lui a demandé : « C’est quoi, tout ça, maman ? » « Je lui ai dit : “Le gentil a gagné.” Et aussi : “Il y a désormais une femme à la vice-présidence”. Elle m’a répondu : “Je veux être présidente” », raconte-t-elle.
[...]
Malgré des résultats incertains et des soupçons de fraude électorale, Joe Biden a été déclaré Président des Etats-Unis par les médias américains. Selon notre chroniqueur Grégory Roose, cette victoire est celle de la médiacratie contre la démocratie.
Rien n’aura été épargné à Donald Trump. Dès l’annonce de sa candidature, en juin 2016, le futur président des Etats-Unis est dépeint par la presse comme un « milliardaire excentrique » au style « violent et agressif » (Le Monde, 16 juin 2015), un « troll » qui n’a « aucune chance de gagner » (20 minutes, 30 juillet 2015), un « complotiste délirant », « raciste invétéré » et « beauf multirécidiviste » (Libération, 26 août 2015). Les attaques coordonnées de la bulle médiatique internationale, dont la ligne éditoriale est majoritairement libérale-libertaire, ne cesseront jamais au cours de son mandat. Donald Trump a même été la cible d’une formidable inversion accusatoire : c’est lui qui aurait mené une guerre sans pitié contre les médias, et non pas l’inverse : en août 2018, à l'initiative du Boston Globe, une centaine de titres américains se posaient en victime en publiant un éditorial dans lequel ils dénonçaient la « rhétorique anti-média du président américain ». Etre la cible permanente des médias, tel est le prix à payer lorsque l’on n’est pas le candidat du système.
Le mot d’ordre de la médiacratie ? Plus jamais ça. Tous les efforts sont déployés pour semer le trouble et la peur au sein de l’opinion publique pour faire élire Joe Biden, le concurrent démocrate de Donald Trump, fut-il un vieil homme accusé d’agression sexuelle, dont la famille est qualifiée d’ « usine à scandale ». Joe Biden a également cumulé les inquiétants et séniles lapsus, à peine relevés par les médias, tout au long de sa campagne. Au cours d’un entretien à la télévision américaine, il a déclaré : « Je vais battre Joe Biden » (sic). Le jour du scrutin, il a présenté au mégaphone son « fils Beau Biden », pourtant décédé en 2015, avant de confondre ses deux petites-filles. Mais le plus inquiétant de ses « lapsus », est celui par lequel il déclare que son propre camp est responsable de « l’organisation de fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’histoire politique américaine ».
Imaginons un instant que cette phrase fut prononcée par Donald Trump. Elle aurait fait le tour du monde, suscitant les tribunes et les chroniques les plus acerbes, les plus effrayantes. Mais dans la bouche de Joe Biden, candidat des médias, cette phrase devient un « lapsus » sorti de son contexte. Des centaines de médias prétendent
[...]
Dans un article du New York Post, un militant détaille ses techniques pour trafiquer le vote par correspondance. Des révélations mises en doute par des partisans démocrates.
La démocratie américaine menacée ? Oui, mais par les démocrates ! Voilà une démonstration qui pourrait surprendre bien des spectateurs, habitués aux analyses sur les risques de confiscation du pouvoir par Donald Trump. Alors que la tension monte aux États-Unis autour de l'élection présidentielle, et des risques pesant sur le vote dans le contexte de lutte publique contre le coronavirus, le New York Post a en effet publié la «confession» d'un fraudeur engagé à gauche, qui affirme avoir truqué de nombreuses élections fédérales. Essentiellement dans le New Jersey, où il réside, mais en décrivant un système de manipulation existant dans de nombreux autres États. Le mobile du passage aux aveux ? Le militant serait un soutien acharné de Bernie Sanders et ne se voit pas soutenir la candidature de Joe Biden.
[...]
Et c'est dans ce type de votes que le témoin du New York Post affirme que la fraude «est plus une règle qu'une exception». À l'appui de sa démonstration, un véritable mode d'emploi de la fraude, avec plusieurs procédés possibles. La première technique consiste à utiliser l'enveloppe d'un votant, pour y mettre un bulletin obligatoirement démocrate. Il faut au préalable faire le tour des domiciles et convaincre les citoyens de laisser les fraudeurs poster leur courrier de vote à leur place. Une mission «beaucoup plus facile qu'on ne le pense», d'après le fraudeur cité par le journaliste Jonathan Levine, en se faisant passer pour une association de service public. Ensuite, l'enveloppe est ouverte à la vapeur, puis on y glisse un nouveau bulletin en falsifiant la signature. Pour éviter toute suspicion, les enveloppes rouvertes sont ensuite disséminées dans toutes les boîtes postales de la ville.
[...]
“Dites-nous où vous travaillez.“
“Je travaille à la poste de Traverse City. Plus spécifiquement la branche de Barlow.”
“Votre patron vous a dit à vous et à vos collègues quelque chose qui vous a choqué ce matin. Qu’était-ce ?“
“Nous avons reçu une directive ce matin nous ordonnant de collecter tous les votes par correspondance que nous trouverions dans des boîtes à lettre, des boîtes de collecte, tout ce qui sert à récolter du courrier en général, et d’ensuite les séparer afin qu’ils puissent les tamponner manuellement avec la date du jour précédent. Afin que ce soit clair aujourd’hui nous sommes le 4 novembre.”
[…]
[…] l’inspecteur général nous informe qu’il est maintenant au courant de cette affaire, que ça tombe dans sa juridiction, ils évaluent si ils vont enquêter […]
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