Etats-Unis : Arnold Schwarzenegger instrumentalise l’intrusion au Capitole pour la comparer à la Nuit de cristal

«C'était la Nuit de cristal ici même aux Etats-Unis» : dans une vidéo très relayée sur Twitter, l'ancien gouverneur de Californie n'a pas hésité à comparer l'intrusion au Capitole de Washington au pogrom contre les juifs dans l'Allemagne nazie.

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L'ancien acteur n'a pas hésité à dresser un parallèle historique entre cet événement et les agissements des nazis au XXe siècle. «Mercredi, c'était la Nuit de cristal ici même aux Etats-Unis», a-t-il ainsi déclaré, rappelant que la Reichskristallnacht, nuit de déchaînement contre les juifs en 1938, avait été effectuée selon lui par «l'équivalent nazi des Proud Boys», en référence à un mouvement de la droite américaine, majoritairement pro-Trump, revendiquant la défense des valeurs occidentales.

 

 

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RT France

Le magazine américain Forbes met en garde toutes les entreprises qui embaucheront des ex-collaborateurs de Donald Trump

L'ultimatum est lancé. Dans un long article intitulé «Pourquoi nous tenons responsables ceux qui ont menti pour Trump» , le directeur de la rédaction du magazine américain Forbes a lancé un avertissement à toutes les entreprises qui embaucheront les anciens conseillers de Donald Trump.

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Dans le viseur du puissant journaliste américain ? Sean Spicer, Kellyanne Elizabeth Conway, Sarah Huckabee Sanders, Stephanie Grisham et Kayleigh McEnany, tous anciens conseillers de Donald Trump qui, pour Randall Lane, se sont rendus coupables d'avoir aidé à diffuser les «mensonges» du président américain pendant quatre ans.

Un comportement jugé irresponsable par la rédaction de Forbes, qui a donc pris cette décision inédite et irrévocable : «Que ce soit clair pour les entreprises : Embauchez un de ces fabulistes cités plus haut, et Forbes considérera que tout ce que votre entreprise relaiera est un mensonge. Nous allons scruter, vérifier et revérifier, investiguer avec le même scepticisme que lorsque nous lisons un tweet de Trump. Vous voulez vous assurer que le plus puissant magazine économique du monde vous considère comme une potentielle source de désinformation ? Embauchez ces personnes.»

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CNews.fr

Fabrice Epelboin, spécialiste des réseaux sociaux, parle de la censure de Twitter envers Trump : “le même argument est utilisé par la Chine pour Hong-Kong”

Après Facebook, c’est Twitter qui a décidé de bannir Donald Trump de sa plateforme. Le compte de l’ancien président des États-Unis n’est donc plus accessible pour éviter l’incitation à la haine, quelques jours après les incidents du Capitole. Il s’agit “clairement de censure” pour le spécialiste des réseaux sociaux et enseignant à Sciences Po Paris, Fabrice Epelboin. […]

Il y a “un risque d’incitation à la violence”, justifie Twitter. Cet argument est-il vraiment recevable, selon vous ?

C’est très problématique, parce que c’est exactement le même argument utilisé par les autorités chinoises vis-à-vis de ce qui se passe à Hong-Kong. C’est le même argument utilisé par tout un tas de régimes autoritaires vis-à-vis des réseaux sociaux. […]

France Info

Via Fdesouche

Twitter suspend le compte de Donald Trump de façon permanente

L’étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres: Twitter, sa plateforme de prédilection, a suspendu son compte de façon permanente vendredi, deux jours après les émeutes de ses partisans qui ont envahi le Capitole pendant plusieurs heures.

« Après examen approfondi des tweets récents de @realDonaldTrump et du contexte actuel - notamment comment ils sont interprétés (...) - nous avons suspendu le compte indéfiniment à cause du risque de nouvelles incitations à la violence » de la part du président américain sortant, a expliqué l’entreprise dans un communiqué.

 

Jeudi, Facebook et d’autres services comme Snapchat ou Twitch ont aussi suspendu le profil du locataire de la Maison-Blanche pour une durée indéterminée.

Mais Twitter compte plus que les autres pour Donald Trump, il y avait plus de 88 millions d’abonnés.

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Journaldemontreal.com

Michelle Obama exhorte les géants des réseaux sociaux à bannir définitivement Trump et son “comportement monstrueux”

Dans un long communiqué, l’épouse de Barack Obama a réagi aux récents événements du Capitole et appelé Facebook et Twitter à radier le président sortant de leur plateforme.

Prétextant un « comportement monstrueux », l’épouse de Barack Obama a ainsi enjoint les « compagnies de la Silicon Valley à aller encore plus loin que les mesures qu’elles avaient déjà prises, en bannissant de façon permanente cet homme de leur plateforme ». Ceci dans le but d’« empêcher que leur technologie ne soit utilisée par les dirigeants du pays pour alimenter l’insurrection ».

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Valeurs Actuelles


Rappels :

Donald Trump est l’homme le plus admiré aux États-Unis: il passe devant Barack Obama

Révélation du Sénat : l’administration d’Obama a financé une filiale d’Al-Qaïda

Barack Obama : “Internet est la plus grande menace pour notre démocratie”

Michelle Obama fustige un président Trump «raciste», semant «la peur et la confusion»

Donald Trump bloqué par Twitter, Facebook et YouTube

Pour la première fois, Twitter, Facebook et YouTube ont pris la décision de censurer le président des Etats-Unis. Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, est même allé plus loin ce mercredi en annonçant la suspension du compte de Donald Trump « indéfiniment et au moins pour les deux prochaines semaines ».

Les dirigeants de ces réseaux sociaux ont pris la décision de suspendre le président au motif que ce dernier a enfreint leurs règles, affirment-ils. Mais ce choix n'est-il pas également l'effet d'une pression populaire, alors que de nombreux internautes leur ont reproché d'avoir permis l'organisation en amont, puis la diffusion en direct, de l'invasion du Capitole? Décryptage.

 

Entre Donald Trump et Twitter, c'est je t'aime moi non plus depuis de longs mois. Le président américain, qui a fait du réseau social son canal de prédilection et en est l'une des personnalités les plus suivies avec quelque 88 millions d'abonnés, a pourtant fustigé à de nombreuses reprises la politique de Twitter, qu'il considère trop injuste à l'égard des conservateurs.

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Leparisien.fr


Rappels :

Whatsapp va exclure les utilisateurs qui ne veulent pas livrer leurs données à Facebook

Facebook Gaming va offrir de nombreux services et un salaire minimum garanti aux streamers noirs

L’administration Trump accuse Facebook de discrimination contre les Américains

Facebook modifie ses algorithmes pour réprimer plus sévèrement les propos contre les minorités que ceux contre les Blancs

Le Premier ministre pakistanais veut bannir l’islamophobie sur Facebook. Facebook répond qu’il fera le nécessaire.

États-Unis : Facebook et Twitter censurent des révélations du New York Post sur Hunter et Joe Biden

Donald Trump est l’homme le plus admiré aux États-Unis: il passe devant Barack Obama

Il surpasse l’ancien dirigeant démocrate qui occupait la première place depuis 12 ans

Donald Trump est l'homme le plus admiré des Etats-Unis devant Barack Obama, selon l'institut Gallup qui a dévoilé mercredi son 74ème sondage annuel sur les personnalités les plus admirées aux Etats-Unis.

18% des sondés l'ont placé en première ou seconde position ce qui représente le meilleur score de cette enquête. Donald Trump arrive juste devant son prédécesseur Barack Obama, qui occupait la tête du classement depuis douze ans.

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Rtl.be / I24news.tv

Joe Biden désigné président-élu : de quelles cartes dispose encore Donald Trump ?

Des représentants républicains qui présentent leurs propres électeurs lors du Collège électoral, un décret de 2018 contre l'ingérence extérieure : les options de Donald Trump, qui refuse de concéder, s'amenuisent mais existent encore. «Nous avons juste commencé à nous battre !» : le président américain l'avait annoncé le 12 décembre, après le rejet par la Cour Suprême du recours présenté par l'Etat du Texas, il n'entend pas concéder.

Et ce n'est pas le vote du Collège électoral en faveur de Joe Biden le 14 décembre qui devrait faire évoluer sa position, quand bien même le chef de la majorité républicaine au Sénat américain Mitch McConnell a reconnu la victoire du démocrate.

L'équipe juridique du chef d'Etat l'a dit à de nombreuses reprises : estimant que le scrutin a été marqué par une fraude de grande ampleur (ce que nie son rival), elle entend contester le résultat de l'élection jusqu'au bout, à savoir la date butoir du 6 janvier. C'est en effet à cette date que le Congrès se réunira pour ouvrir et comptabiliser officiellement les votes du Collège électoral sous l'autorité du vice-président Mike Pence.

Or, dans cette élection décidément chaotique, un événement singulier s'est produit le 14 décembre : les représentants républicains de sept Etats (l'Arizona, la Pennsylvanie, le Michigan, la Géorgie, le Wisconsin, le Nouveau Mexique et le Nevada) ont envoyé leurs propres grands électeurs lors du Collège électoral.

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Francais.rt.com

YouTube supprimera tout contenu affirmant “qu’une fraude massive ou des erreurs” ont modifié l’issue de l’élection américaine

YouTube va supprimer à partir d'aujourd'hui tout contenu affirmant qu'une "fraude massive ou des erreurs" ont modifié l'issue de l'élection présidentielle américaine du 3 novembre, a annoncé le géant du streaming vidéo.

 

 

Les détracteurs de YouTube réclament depuis longtemps que l'entreprise cesse d'héberger des vidéos de désinformation destinées à saper la confiance dans les résultats des élections. «Suffisamment d'États ont certifié leurs résultats électoraux pour déterminer un président élu. Pour cette raison, nous commencerons à retirer tout contenu publié aujourd'hui (ou à n'importe quel moment après) qui induit en erreur les gens en affirmant qu'une fraude massive ou des erreurs ont modifié l'issue de l'élection présidentielle américaine de 2020», a affirmé YouTube dans un billet publié ce mercredi sur son blog. L'entreprise californienne précise que cette politique est conforme à celle qu'elle appliquait lors des élections américaines précédentes.

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Le Figaro

États-Unis : “C’est peut-être le discours le plus important que j’ai jamais fait ” déclare Trump pour évoquer des fraudes électorales ; CNN explique qu’ils ne le diffuseront pas

 

Via Fdesouche

"Ce discours sera probablement le plus important que j'ai tenu": Trump s'adresse aux Américains dans une vidéo.

Donald Trump n'a pas l'intention de rendre les armes. Alors qu'il a donné son feu vert à la transition le 23 novembre, l'actuel locataire de la Maison-Blanche a réitéré son désir de lever le voile sur ce qu'il considère être l'élection " la plus frauduleuse de l'histoire des Etats-Unis". Dans un discours qu'il a caractérisé comme étant potentiellement " le plus important qu'il ait délivré", il a fait le point sur son combat judiciaire pour  dénoncer les fraudes électorales et les irrégularités" qui ont eu cours lors de la présidentielle américaine. " Il s'est passé de très mauvaises choses durant cette ridiculement longue période de temps", a lancé le président américain à l'entame de son speech, pointant du doigt le fait que l'élection ne se résume désormais plus à une seule journée.

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Lalibre.be


A lire également :

États-Unis : des conversations des dirigeants de CNN publiées, elles montrent leur parti pris pro-démocrate, anti-Trump

Manifestation pro-Trump à Washington : les antifas et des militants #BLM menacent et agressent des supporters de Trump, dont majoritairement des femmes et des personnes âgées

Des affrontements ont éclaté dans les rues de Washington, la capitale des États-Unis, ce samedi 14 novembre, après la gigantesque manifestation des militants favorables à Donal Trump. Des petits groupes d’ultra gauche s’en sont pris aux partisans du président des États-Unis qui conteste toujours sa défaite face à Joe Biden la semaine dernière.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Dépêche

 

EN IMAGES – Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des «Proud Boys», se sont rassemblés dans la capitale samedi 14 novembre pour contester la défaite de leur candidat.

 

 

Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des groupuscules de droite, ont afflué dans les rues de Washington ce samedi 14 novembre, plusieurs jours après la défaite de leur candidat aux élections présidentielles. L’objectif ? Soutenir la théorie d’une éventuelle fraude défendue par le président sortant.

Malgré l’absence de preuve d’un piratage du scrutin, confirmée par les autorités électorales, les manifestants ont crié «Quatre ans de plus! Quatre ans de plus!» et «USA! USA!» devant Freedom Plaza, tout en agitant des drapeaux «Trump 2020» et des panneaux «Halte au vol».

 

 

(...)

Le Figaro

Via Fdesouche

 

 

 

 

 

 

 

 

États-Unis. Un haut-fonctionnaire : “Trump a atteint une sorte d’ “équilibre” politique et militaire dans un certain nombre de conflits, produisant une situation qui est à peu près la meilleure qu’une administration puisse espérer”

Quatre ans après avoir signé la désormais célèbre lettre “Never Trump” condamnant le candidat à la présidence Donald Trump comme un danger pour l’Amérique, le diplomate à la retraite Jim Jeffrey recommande au nouveau gouvernement Biden de poursuivre la politique étrangère menée par Trump au Moyen-Orient.

Mais même s’il loue le président pour ce qu’il décrit comme une approche réussie de “realpolitik” dans la région, il reconnaît que son équipe a régulièrement induit en erreur les hauts dirigeants sur le nombre de troupes en Syrie.

“Nous avions toujours des tours de passe-passe pour ne pas laisser nos dirigeants comprendre combien de troupes nous avions là-bas”, a déclaré Jeffrey dans une interview. Le nombre réel de troupes dans le nord-est de la Syrie est “bien plus important que” les quelque deux cents soldats que Trump avait initialement accepté de laisser là-bas en 2019.

[…]

Officiellement, Trump a accepté l’année dernière de maintenir plusieurs centaines de troupes américaines – entre 200 et 400, selon diverses informations de l’époque – stationnées dans le nord-est de la Syrie pour “sécuriser” les champs de pétrole détenus par les alliés kurdes des Etats-Unis dans la lutte contre l’ISIS. Il est généralement admis que le nombre réel est plus élevé que cela – des fonctionnaires anonymes estiment le nombre à environ 900 aujourd’hui – mais le chiffre précis est classifié et reste inconnu, même semble-t-il à des membres de l’administration Trump désireux de mettre fin à ce qui est qualifié de “guerres éternelles”.
Alors qu’il quitte à nouveau la fonction publique, Jeffrey ne se moque pas pour autant du président qui divise.

La décision de 2018 de l’ambassadeur de carrière de servir dans l’administration Trump malgré son opposition politique au président – et de défendre ses politiques sur le chemin du départ – est à l’image d’un fonctionnaire décrit par ses collègues comme le parfait fonctionnaire apolitiqueJeffrey n’émet aucune polémique sur le caractère du président, même s’il affirme qu’il maintient sa décision de signer la lettre ouverte de 2016 qui dit que Trump est “erratique” et “agit avec impétuosité”.

[…]

Jeffrey pense que Trump a atteint une sorte d’ “équilibre” politique et militaire dans un certain nombre de conflits froids et chauds différents, produisant une situation qui est à peu près la meilleure qu’une administration puisse espérer dans une région aussi désordonnée et volatile.

[…]

“Personne, parmi tous nos alliés [au Moyen-Orient]”, ne veut vraiment voir partir le président Trump a-t-il déclaré. “La vérité est que le président Trump et sa politique sont très populaires parmi tous nos États populaires dans la région. Citez-moi un pays qui ne soit pas heureux”.

Interrogé sur la manière dont il conseillerait l’administration Biden lorsqu’elle reprendra son portefeuille, Jeffrey a déclaré qu’il exhorterait le président élu à maintenir le cap fixé par l’équipe Trump. Certaines choses que l’équipe de M. Biden pourrait vouloir défaire – comme le démantèlement de l’accord nucléaire avec l’Iran – pourraient maintenant être infaisables, selon lui. Mais surtout, n’essayez pas de “transformation”. N’essayez pas de “transformer la Syrie en Danemark”. L’équilibre, c’est la stabilité.

“Je pense que l’équilibre que nous avons créé est un pas en avant et je le préconise”, a déclaré Jeffrey.

“Je vous dis simplement la réalité telle que je l’ai vue. Je n’essaie pas de faire des faveurs à qui que ce soit. Parce qu’il est très important que quand la nouvelle équipe arrive, elle ne se dise pas, si ça a été fait par Trump, c’est que c’est mauvais”.

DefenseOne

Accessible via une archive Via Fdesouche

Portland : “Ma pancarte Biden est là. Ne détruisez rien, soyez pacifiques” – “Demander aux gens d’être pacifiques c’est du suprémacisme blanc !”

[La scène se déroule avant que les médias ne déclarent Joe Biden gagnant de l’élection]

 

Via Fdesouche

Autres scènes "pacifiques" de la part des gentils militants de gauche :

 

 

 

Note : Pendant ce temps, nos médias "impartiaux" incitent la population romande à se moquer de Donald Trump et de ses partisans à la moindre occasion tout en cachant les exactions violentes des Républicains.

 

 

 

 

Il est visiblement important d'être du même côté que la famille Soros :

 

Etats-Unis. Un démocrate déclare sans complexe : «Si Trump avait gagné, la ville brûlerait ce soir»

Sitôt la victoire en Pennsylvanie de Joe Biden annoncée samedi en fin de matinée, et donc son élection à la présidence, une foule en liesse s’est réunie face à l’Hôtel de Ville et au Convention Center de Philadelphie, où les bulletins étaient dépouillés.

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John me demande ce que j’ai pensé de cette élection. Ses yeux semblent fatigués par la journée festive et arrosée, comme pour des milliers de personnes en ce jour où Joe Biden a été annoncé élu à la présidence des États-Unis. «Il y a beaucoup d’espoir dans cette élection, mais il y aura aussi sûrement des déceptions par la suite», admettent-ils, lucides. John déclare alors: «Ce qui est sûr, c’est que si Trump avait gagné aujourd’hui, Philadelphie serait en feu ce soir.»

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20Min.ch


Note : Les démocrates ne dissimulent pas à quel point ils sont opposés à une décision démocratique qui ne va pas dans leur sens et que l'utilisation de la violence ne leur pose aucun problème. Mais ce sont eux les "gentils". Pendant ce temps, les militants de Trump restent pacifiques malgré les provocations des démocrates comme expliqué plus bas dans le même article :
"En fin d’après-midi, une douzaine de supporters de Trump, munis de drapeaux et de panneaux, se sont invités au tableau (...). Eux contestent les résultats et les invectives verbales de la part des pro-Démocrates ont fusé, mais sans déraper en violence, et en présence de policiers.

Propos recueillis par Le Monde sur l’élection de Joe Biden : “Le gentil a gagné.”

« Ça a été quatre ans de souffrances, c’est un homme odieux, vraiment odieux, Je suis si heureuse qu’il s’en aille, même si maintenant on va devoir se soucier de tous les gens qui ont voté pour lui, car eux sont toujours là », dit Jacqueline Brown, 58 ans, professeure d’université venue à vélo rejoindre la foule à Columbus Circle.

« Je suis submergé par la joie, dit aussi Bernie Jacobs, 84 ans, qui prenait ses bagels et son café à côté de la Trump Tower. Tous les matins, on vient ici et on critique Trump, ça durait depuis quatre ans, c’était trop. On le détestait dès le premier jour où il est arrivé au pouvoir (…). Il a été un président de rien du tout, avec un ego surdimensionné et zéro talent. »

Emmi Braselton, 37 ans, graphiste indépendante d’Atlanta, se promène avec sa fille Sylvie, âgée de 2 ans, qui lui a demandé : « C’est quoi, tout ça, maman ? » « Je lui ai dit : “Le gentil a gagné.” Et aussi : “Il y a désormais une femme à la vice-présidence”. Elle m’a répondu : “Je veux être présidente” », raconte-t-elle.

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Le Monde

Joe Biden, la victoire du candidat des médias

Malgré des résultats incertains et des soupçons de fraude électorale, Joe Biden a été déclaré Président des Etats-Unis par les médias américains. Selon notre chroniqueur Grégory Roose, cette victoire est celle de la médiacratie contre la démocratie.

Rien n’aura été épargné à Donald Trump. Dès l’annonce de sa candidature, en juin 2016, le futur président des Etats-Unis est dépeint par la presse comme un « milliardaire excentrique » au style « violent et agressif » (Le Monde, 16 juin 2015), un « troll » qui n’a « aucune chance de gagner » (20 minutes, 30 juillet 2015), un « complotiste délirant », « raciste invétéré » et « beauf multirécidiviste » (Libération, 26 août 2015). Les attaques coordonnées de la bulle médiatique internationale, dont la ligne éditoriale est majoritairement libérale-libertaire, ne cesseront jamais au cours de son mandat. Donald Trump a même été la cible d’une formidable inversion accusatoire : c’est lui qui aurait mené une guerre sans pitié contre les médias, et non pas l’inverse : en août 2018, à l'initiative du Boston Globe, une centaine de titres américains se posaient en victime en publiant un éditorial dans lequel ils dénonçaient la « rhétorique anti-média du président américain ». Etre la cible permanente des médias, tel est le prix à payer lorsque l’on n’est pas le candidat du système.

Donald Trump, « plus grande menace pour la démocratie américaine depuis la Seconde Guerre mondiale »

Le mot d’ordre de la médiacratie ?  Plus jamais ça. Tous les efforts sont déployés pour semer le trouble et la peur au sein de l’opinion publique pour faire élire Joe Biden, le concurrent démocrate de Donald Trump, fut-il un vieil homme accusé d’agression sexuelle, dont la famille est qualifiée d’ « usine à scandale ». Joe Biden a également cumulé les inquiétants et séniles lapsus, à peine relevés par les médias, tout au long de sa campagne. Au cours d’un entretien à la télévision américaine, il a déclaré : « Je vais battre Joe Biden » (sic). Le jour du scrutin, il a présenté au mégaphone son « fils Beau Biden », pourtant décédé en 2015, avant de confondre ses deux petites-filles. Mais le plus inquiétant de ses « lapsus », est celui par lequel il déclare que son propre camp est responsable de « l’organisation de fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’histoire politique américaine ».

Imaginons un instant que cette phrase fut prononcée par Donald Trump. Elle aurait fait le tour du monde, suscitant les tribunes et les chroniques les plus acerbes, les plus effrayantes. Mais dans la bouche de Joe Biden, candidat des médias, cette phrase devient un « lapsus » sorti de son contexte. Des centaines de médias prétendent

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Valeurs Actuelles

États-Unis : Lorsque les confessions d’un «fraudeur électoral» démocrate alimentaient les soupçons

Dans un article du New York Post, un militant détaille ses techniques pour trafiquer le vote par correspondance. Des révélations mises en doute par des partisans démocrates.

La démocratie américaine menacée ? Oui, mais par les démocrates ! Voilà une démonstration qui pourrait surprendre bien des spectateurs, habitués aux analyses sur les risques de confiscation du pouvoir par Donald Trump. Alors que la tension monte aux États-Unis autour de l'élection présidentielle, et des risques pesant sur le vote dans le contexte de lutte publique contre le coronavirus, le New York Post a en effet publié la «confession» d'un fraudeur engagé à gauche, qui affirme avoir truqué de nombreuses élections fédérales. Essentiellement dans le New Jersey, où il réside, mais en décrivant un système de manipulation existant dans de nombreux autres États. Le mobile du passage aux aveux ? Le militant serait un soutien acharné de Bernie Sanders et ne se voit pas soutenir la candidature de Joe Biden.

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Ouverture d'enveloppes à la vapeur, destruction de votes dans les quartiers républicains...

Et c'est dans ce type de votes que le témoin du New York Post affirme que la fraude «est plus une règle qu'une exception». À l'appui de sa démonstration, un véritable mode d'emploi de la fraude, avec plusieurs procédés possibles. La première technique consiste à utiliser l'enveloppe d'un votant, pour y mettre un bulletin obligatoirement démocrate. Il faut au préalable faire le tour des domiciles et convaincre les citoyens de laisser les fraudeurs poster leur courrier de vote à leur place. Une mission «beaucoup plus facile qu'on ne le pense», d'après le fraudeur cité par le journaliste Jonathan Levine, en se faisant passer pour une association de service public. Ensuite, l'enveloppe est ouverte à la vapeur, puis on y glisse un nouveau bulletin en falsifiant la signature. Pour éviter toute suspicion, les enveloppes rouvertes sont ensuite disséminées dans toutes les boîtes postales de la ville.

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Le Figaro

Un postier du Michigan témoigne : “on nous a ordonné de mettre les bulletins de vote par correspondance de côté pour qu’ils soient tamponnés manuellement avec la date du jour précédent”

“Dites-nous où vous travaillez.“

“Je travaille à la poste de Traverse City. Plus spécifiquement la branche de Barlow.”

“Votre patron vous a dit à vous et à vos collègues quelque chose qui vous a choqué ce matin. Qu’était-ce ?“

“Nous avons reçu une directive ce matin nous ordonnant de collecter tous les votes par correspondance que nous trouverions dans des boîtes à lettre, des boîtes de collecte, tout ce qui sert à récolter du courrier en général, et d’ensuite les séparer afin qu’ils puissent les tamponner manuellement avec la date du jour précédent. Afin que ce soit clair aujourd’hui nous sommes le 4 novembre.”

 

 

[…]

[…] l’inspecteur général nous informe qu’il est maintenant au courant de cette affaire, que ça tombe dans sa juridiction, ils évaluent si ils vont enquêter […]

Via Fdesouche