Nous parlions de cette attaque anti-Blanc ici.
Loin de remettre en question la présence de tels individus en Suisse, la police s'inquiète de la "diffusion d'une telle vidéo". On comprend bien qu'une telle séquence pose problème à nos autorités.
Ainsi, la police évite étrangement de définir cette agression comme étant raciste et préfère procéder à la chasse aux commentaires, agitant des menaces de sanction très claires. Oui, c'est ainsi qu'elle prétend protéger notre population. L'agression en elle-même? Bof...
De son côté, le 20 Minutes évite soigneusement de décrire le contexte, la situation étant résumée par une unique phrase faisant abstraction de l'origine ethnique de l'agresseur. Pour le journaliste, l'important n'est visiblement pas l'agression mais les commentaires des autochtones qui oseraient se révolter face à cette situation abjecte.
Dans sa logique, la population suisse doit accepter tout et n'importe quoi sous peine d'être étiquettée comme raciste, un petit paragraphe rappelant les conséquences judiciaires.
Mais ne vous inquiétez pas, l'agresseur ne risquera pas la moitié de ce qui est prévu par la loi à notre encontre, le racisme ne pouvant être que le fait des Blancs.
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La police cantonale jurassienne s'alarme du large partage d'une séquence montrant une agression à la gare, mardi soir.
Mercredi, la police rappelle que ce genre de réactions sur Facebook tombe sous le coup de la loi et qu'ils représentent des infractions pénales passibles de prison. «Les autorités vont analyser les suites à donner à ces commentaires, à savoir s'ils entrent dans le champ d'application du Code pénal suisse», communique la police jurassienne.
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Communiqué de la police :