Finlande: La police invite les enfants à dénoncer les parents qui critiquent le gouvernement sur internet (vidéo)

Le système socialiste occidental est aux abois et ce que les médias d’état qualifient de « populisme » constitue, à leurs yeux, un danger majeur : les peuples blancs se réveillent et le risque d’une révolution générale se précise chaque jour un peu plus. Conséquence : des mesures policières de type totalitaires sont progressivement mises en place.

Nos lecteurs se demanderont si par le terme « totalitaires », nous n’exagérons pas. Qu’ils en jugent par ce clip vidéo réalisé à destination des enfants par la police finlandaise. En substance, les forces de sécurité du pays demandent aux enfants de surveiller leurs parents et, si ces derniers critiquent le gouvernement, de les dénoncer immédiatement à l’État.

Ce que vous venez de voir était une procédure standard dans les régimes communistes d’Europe de l’Est ou de Russie soviétique.

Dans le clip, on peut notamment entendre mis en chanson le slogan suivant :

« Quand vous mettez une insulte abominable sur internet, vous devrez bientôt payer une énorme amende… Attention, attention, attention ! Ne mettez rien de stupide sur les réseaux sociaux, s’il vous plaît !

La petite fille, habillée en policière, invite les enfants visés par le clip à devenir des auxiliaires de police contre leurs propres parents, dans leur intimité.

L’exemple de Pavlik Morozov

Selon  » l’histoire  » officielle de l’U.R.S.S., en 1932 Pavlik Morozov, un jeune garçon d’un village de l’Oural, dénonce son père au NKVD, la police politique, pour des menées contre révolutionnaires. Le père fût condamné à 10 ans de camp. Sans doute disparût-il dans un camp de travail du Goulag ou dans une prison désolée de l’enfer stalinien.

Quelques mois plus tard, en septembre 1932, Pavlik et son frère Fyodor âgé de 9 ans sont retrouvés assassinés dans les bois. Le meurtre fût attribué à ses grands-parents, oncles et cousins, qualifiés de  » nid de Koulaks « , et à leur tour ils furent condamnés et exécutés.

Le mythe du héros Pavlik Mozorov pouvait prendre son essor. Pourvu du titre officiel de « Héros des pionniers de l’Union soviétique, informateur 001 », il fût des années durant promu exemple pour la jeunesse soviétique.

Le culte de Pavlik Morozov se développa par la suite pour éduquer les enfants à la haine et à l’idée que « tous les frères ne sont pas des frères », inculquant une morale impitoyable. La personnalité de Pavlik Morozov fût bien sûr trafiquée à des fins de propagande.

Une statue dédiée à l’Informateur 001 Pavlik Morozov, était érigée à Moscou jusqu’en 1991, non loin de l’ambassade américaine. Une nuit d’août 1991, elle a été renversée par la foule.

« Les Espions » dans 1984

Dans son roman « 1984 », George Orwell évoque un système totalitaire où les enfants sont très tôt recrutés par l’État et le Parti comme espions. Extraits (source) :

Cette pauvre femme, pensa Winston, doit vivre dans la terreur de ses enfants. Dans un an ou deux, ils surveilleront nuit et jour chez elle les symptômes de non-orthodoxie. Presque tous les enfants étaient maintenant horribles. Le pire c’est qu’avec des organisations telles que celle des Espions, ils étaient systématiquement transformés en ingouvernables petits sauvages. Pourtant cela ne produisait chez eux aucune tendance à se révolter contre la discipline du Parti. Au contraire, ils adoraient le parti et tout ce qui s’y rapportait : les chansons, les processions, les bannières, les randonnées en bandes, les exercices avec des fusils factices, l’aboiement des slogans, le culte de Big Brother. C’était pour eux comme un jeu magnifique. Toute leur férocité était extériorisée contre les ennemis de l’État, contre les étrangers, les traîtres, les saboteurs, les criminels par la pensée. Il était presque normal que des gens de plus de trente ans aient peur de leurs propres enfants. Et ils avaient raison. Il se passait en effet rarement une semaine sans qu’un paragraphe du Times ne relatât comment un petit mouchard quelconque – « enfant héros », disait-on – avait, en écoutant aux portes, entendu une remarque compromettante et dénoncé ses parents à la Police de la Pensée.

Cet effort vise à faire de l’État et de l’idéologie officielle qu’il porte le détenteur exclusif de l’autorité et du lien social. Les cellules naturelles comme la famille, capables de résister à la loyauté exigée par le gouvernement, sont progressivement détruites par un embrigadement actif de la jeunesse.

Ce qu’entreprend la Finlande s’élargira bientôt à d’autres pays. Le système globaliste n’entend pas laisser les nations blanches et chrétiennes se révolter contre leur plan d’asservissement dont la destruction raciale et identitaire est un élément central. Cet appel à la dénonciation vise tous ceux qui, sur Facebook, s’opposent au remplacement de population et au gouvernement qui le met en place.

Source Via CivilWarInEurope

Délation. Propos anti-migrants sur Nord Littoral : « Chaque semaine on publiera les noms »(vidéo)

RMC – Les grandes gueules – 12/11/15 via Fdesouche.com

Interview de Philippe Hénon, rédacteur en chef de Nord Littoral

 

https://youtu.be/0cSu5scEk6I

France : Nord Littoral fait de la délation

 

Ci-dessus, dessin de Miège

 

Le journal du Nord-Pas-de-Calais a compilé les messages racistes postés sur sa page Facebook, en mentionnant les auteurs. Contactée, la rédaction explique avoir voulu mettre un frein à ces propos punissables par la loi.

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Olivier propose de « construire un camp de concentration » pour être « tranquille ». Jean-Jacques, lui, suggère de « leur rouler dessus », tandis que Lola espère « que par chance, certains mourront peut-être » à la nage. Ces internautes parlent des migrants, qui fuient la Syrie, l’Afghanistan, l’Erythrée ou encore l’Irak. Leurs commentaires ont été postés sur Facebook en réaction à des articles publiés par le site de Nord Littoral.

« Un ramassis de propos inqualifiables »

Un déferlement de violence qui a incité le quotidien régional à « prendre position ». « Être Charlie ne signifie pas pouvoir être raciste, antisémite, haineux, appeler au meurtre… C’est pourtant ce que nous relevons presque tous les jours sur le web », indique la rédaction.

« Depuis plusieurs mois, les commentaires sur le sujet de l’immigration offrent un ramassis de propos inqualifiables. Les Calaisiens ont le droit de dire qu’ils ne veulent pas des migrants dans leur ville. Nord Littoral ne censurera jamais les internautes qui le pensent et l’écrivent. En revanche, il signalera désormais tous les propos répréhensibles du point de vue de la justice », peut-on encore lire sur le site du journal.
Suivant l’exemple du quotidien allemand Bild, qui avait publié dans ses colonnes des commentaires xénophobes avec l’identité des auteurs, le quotidien a compilé ce mardi une partie des messages les plus haineux, avec les noms choisis par leurs auteurs sur Facebook.

« L’idée est née d’un ras-le-bol »

« L’idée est née d’un ras-le-bol de lire quotidiennement des messages haineux envers les migrants et les journalistes, parfois menacés de mort par certains. On efface ces commentaires quand on les voit ou qu’ils nous sont signalés, et on publie régulièrement sur Facebook un rappel de la loi, mais ça ne suffisait plus. On a donc décidé d’une action coup de poing », explique Julien Pouyet, journaliste de Nord Littoral, à BFMTV.com.
« Certains irréductibles nous ont accusés de délation, et nous ont dit qu’ils ne viendraient plus lire nos articles. Mais beaucoup d’autres, au contraire, nous ont soutenu et ont mentionné le fait qu’ils ne venaient plus sur notre page Facebook à cause de ces messages haineux, et que cette démarche leur donnait envie d’y revenir », poursuit le journaliste.
Une démarche destinée également à faire parler du collectif Faites de la tolérance, créé par une députée socialiste du Pas-de-Calais, Brigitte Bourguignon. L’association vient de lancer une pétition pour interpeller Facebook sur sa politique de modération, jugée trop laxiste.

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Des commentaires vulgaires, violents ou déplaisants, chaque site en reçoit et les enlève… Dénoncer leurs auteurs est indigne et ce n’est pas la vocation d’un media se disant d’informations et pluraliste! Pour reprendre une expression prisée des socialistes et alliés: cela nous rappelle les heures les plus sombres de notre Histoire… Et si les heures les plus sombres de notre Histoire ne se conjuguaient plus au passé… (Note de la rédaction de Délits d'im@ge)

Pour les amateurs: délation mode d’emploi!

Allemagne : le quotidien Bild s’attaque aux allemands anti-migrants en publiant leurs noms et photos

Ch. H. Mise en danger de la vie d'autrui et délit d'opinion institué par la bien-pensance: Certains médias censurent aujourd'hui l'identité des criminels étrangers, agresseurs des autochtones sans la moindre honte, laissant les autochtones baigner dans le mensonge du multiculturalisme. Et d'autres médias n'hésitent pas à jeter en pâture des Européens sur la base d'un simple commentaire. Le fait même de réagir à l'invasion de son pays est considéré comme étant pire que les meurtres, viols, violences. On est clairement dans une logique de guerre où le Bild fait une liste de personnes à abattre. C'est extrêmement grave mais cela signifie aussi qu'ils sont dans une logique de guerre.

Le quotidien le plus lu d’Allemagne, Bild, a publié aujourd’hui sur une double page, pour les dénoncer, une sélection des messages haineux et anti-étrangers qui se répandent sur internet face à l’afflux de réfugiés dans le pays.

«Une vague de haine et de hargne contre les réfugiés inonde l’internet! La plupart écrivent leurs commentaires racistes sur Facebook. Ca suffit», explique le tabloïd allemand [...]

«Nous clouons les agigateurs au pilori, monsieur le procureur, chargez-vous en!», écrit Bild en appelant la justice à poursuivre les auteurs des messages haineux. Il reproduit sur la double page une série de commentaires racistes publiés sur le réseau social Facebook, accompagnés du nom de leurs auteurs. «Cassez-vous d’Allemagne», «D’ici à 2020, tous les Allemands seront à la rue et les réfugiés bien installés dans des logements en ricanant dans leur coin», peut-on lire parmi les commentaires les plus modérés publiés par le quotidien. [...]

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